Poste avancé de Gergovie

Le second poste est plus important. Sa construction démarre en 1960 et portera le nom de Gergovie. Il sera achevé en 1961. Comme le montrent les photos qui vont suivre, l’ouvrage défensif est massif, constitué de moellons, parpaings et béton. L’épaisseur des murs est à l’épreuve des projectiles. L’espace qui l’entoure a été largement dégagé permettant une parfaite visibilité en cas de harcèlement. Il a été construit avec méthode par de vrais maçons. Il faut citer à cet égard Guy Buil qui rejoindra plus tard Batna pour suivre le peloton de S/off.
L’aire qui entoure le poste durant sa construction a servi de base occasionnelle lors d’importantes opérations. Elle faisait face au redouté djebel Arhane, des Benis Melloul, là où se cachaient dans des grottes, des bandes de rebelles. Des obusiers de 155 étaient installés en batterie d'une manière permanente.

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IR13 - Gare de Kinkempois à Angleur ( Coordonnées approximatives : 50°36'15.2"N 5°33'46.5"E )

Etat : N'existe plus.
Accessibilité : Assez simple, le long du chemin de fer au fond de la rue Renory.
Visitable : Non.

IR13 se situait à quelques mètres de l'actuelle cabine d'aiguillage de la gare de Kinkempois à laquelle il ressemblait passablement. Sa mission était de défendre l'accès au Sart-Tilman ainsi que les accès arrivants de Seraing. Le corps de garde était situé juste à côté, celui-ci était de taille assez imposante. Je ne sais pas quand cet abri a été détruit. Détail interessant, l'intérieur des volets d'embrasures étaient peints de façon à ce que une fois ouverts, on ne puisse les distinguer.
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Le 5 septembre 1939, 940 alsaciens, et plus précisement de Schiltigheim arrivent à Saint-Junien, fuyant les zones de combat. Ils sont les premiers de flots journaliers ininterrompus jusqu'au 28 septembre. A la fin du mois ils sont quelques 3 800 réfugiés recensés dans notre commune qui ne compte que 10 000 habitants. Certains sont logés chez les particuliers, d'autres dans les immeubles communaux, comme les écoles, la salle des fêtes, la bourse du travail, le manoire du Châtelard.
Parmi eux arrive la famille Vorberg. Frédéric Vorberg est un peintre. Il n'est pas passé à la postérité, mais il a eu le mérite de continuer à peindre pendant son exile. Si vous connaissez des peintures ou autres dessins, merci de me communiquer vos informations. Les archives municiaples détiennent de nombreuses fiches sur les régugiés. Faites-moi part de vos recherches.

Cette plaque se trouve à côté du monument aux port au jardin public de Sausset-les-Pins.
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Au fond, face à l'entrée de l'ancien cimetière un triple tombeau avec une inscription "Aux morts de la Libération".
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Louis Devèze, André Trioulet et Lucien Raynaud, 3 jeunes ont été déchiquetés sautant sur des mines dans le quartier du Rouveau à Sausset-les-Pins : André au moment de la Libération lors du débarquement en Provence en août 1944.

De plus, une dame s'appelait Madame Toubaud, propriétaire de la Réserve a perdu la vie, tout en voulant récupérer sa chèvre.
Elle est décédée le même jour que Louis Devèze, André Trioulet et Lucien Raynaud et qui étaient membres de la...

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Sdkfz 7 ( 8 tonnes ) tractant soit un s.10 cm K 18, soit un 15 cm s.FH 18 en Roumanie position Stand-by.