Déjà, par exemple, un, le Groupe Kering, c'est 30 000 personnes, qu'Il convient, déjà, de payer ! Certes, il travaille dans le domaine du "produit de luxe", sauf que, un, il impose de la qualité "très stricte" de production, donc des professionnels bien payés, deux, exige une force vente mondiale coûteuse - sans compter ma propre expérience, j'en ai connu plusieurs, dans le seul domaine des parfums et eaux de toilettes, qu'on ne risquait de motiver avec un SMIC ! - Conclusion : le CA est très important - on ne parle, toujours, pas du résultat final (après impôts) ! -, mais les coûts de personnels (frais inclus) sont , eux, tout aussi, importants. Si on regarde bien, le bénéfice brut avant impôts est, au mieux, dans la moyenne haute, sauf que çà fait, apparemment, de gros chiffres ! Dans notre univers de "smicards" (français)- pas tous, fort heureusement! -, où on prétend, désormais, vouloir niveler les revenus par le bas, pour satisfaire aux attentes des moins "favorisés" et satisfaire, ainsi les "aigris" et les" malchanceux", certains sont prêts à sacrifier sur l'autel du "communisme" éculé , façon Karl Marx -qu,i lui, s'était "sagement" cantonné dans la théorie livresque - les (très) rares performances de l'industrie française.
Qu'est-ce que çà peut vous faire, que ces "donations" soient "privées" ou " de société", les chefs d'entreprise et les administrateurs ne sont rémunérés que sur la marge nette après impôts, à l'exception du seul dirigeant à la tête de la Direction générale, qui, lui, touche un salaire mensuel -. Dans le cas du groupe Kering, il avait investit son propre pognon - quelques aient été son origine et les risques inhérents! -. Comme c'est sa propriété, çà lui coûte , de fait, dès le premier euro.
On aura beau faire, il y aura, toujours, des dirigeants et des "dirigés" et, d'une façon ou d'une autre, leur sort sera plus ou moins favorable!
