Arme de poing utilisée pour les soirée mondaines

Que ce soit ce bâtiment de guerre ou un autre la mort doit être horrible. Se voir noyer n'est pas du tout une chose qu'on envisage.

Il faudrait demander conseil a un certain Be.....a.

Benalla ?
JD

Que ce soit ce bâtiment de guerre ou un autre la mort doit être horrible. Se voir noyer n'est pas du tout une chose qu'on envisage.

On meurt noyé, quand on reste coincé dans un bâtiment en train de sombrer où qu'on tombe à la flotte, sans gilet de sauvetage et sans être accroché à une ligne de vie (par gros temps).

Sinon, avec un gilet de sauvetage, quand on ne se fait pas "aspirer" par le "maelstrom", généré par le bâtiment en train de sombrer, découpé par les hélices (si elles tournent encore), asphyxié par la nappe de mazout, on crève, d'abord, en mer froide ou "tempérée", d'hypothermie - les plus costauds ne tiennent pas beaucoup plus de deux heure dans une eau à + 10/12°, avant que leur température corporelle ne chute à 35° (perte de conscience) ! -... et, en mer chaude, ... bouffé par les requins!

Cà explique pourquoi, de mon temps, dans la "Royale", on ne se bousculait pas pour aller passer "ses 50 points de nage", en piscine - dans une eau à + 18-19° et une distance de l'ordre de 25 m à franchir (sans limite de temps ou presque!) -. alors que lesdits "50 points" n'étaient en rien négligeables pour monter en grade ou accéder à un cours "de promotion" et que, bien souvent, la plupart des matafs, sans être des nageurs professionnels, savaient "nageoter" presque correctement. Pour beaucoup, s'était s'attirer, "inutilement", la poisse!

Que ce soit ce bâtiment de guerre ou un autre la mort doit être horrible. Se voir noyer n'est pas du tout une chose qu'on envisage.

On meurt noyé, quand on reste coincé dans un bâtiment en train de sombrer où qu'on tombe à la flotte, sans gilet de sauvetage et sans être accroché à une ligne de vie (par gros temps).

Sinon, avec un gilet de sauvetage, quand on ne se fait pas "aspirer" par le "maelstrom", généré par le bâtiment en train de sombrer, découpé par les hélices (si elles tournent encore), asphyxié par la nappe de mazout, on crève, d'abord, en mer froide ou "tempérée", d'hypothermie - les plus costauds ne tiennent pas beaucoup plus de deux heure dans une eau à + 10/12°, avant que leur température corporelle ne chute à 35° (perte de conscience) ! -... et, en mer chaude, ... bouffé par les requins!

Je comprend.

Ces accidents de mer étaient fréquents dans les vieilles familles de marins comme la mienne.......Le frère de ma grand mère paternelle en est mort...tombé à la mer de la mature de la goélette quand il a fallu monter carguer une voile alors que le bateau roulait bord sur bord en mer d'Islande....récupéré,il meurt de congestion..Et mon grand père lui s'en tire et sauve son équipage en parvenant à s'agripper aux clins de la coque quand la goélette,mal chargée de sel en vrac s'est retournée en Atlantique au large des côtes portugaises.....C'était au temps des lampes à huile et de la marine à voile.....Mais c'étaient de bons nageurs. En revanche mon père qui était un excellent nageur capable de faire des kilomètres a manqué un jour d'y rester en plongeant d'un navire au milieu d'un bassin portuaire,tétanisé au moment de son contact avec l'eau,incapable de faire un seul geste..Heureusement qu'il y avait des gens sur des bateaux de pêche fort proches.........Moralité:le fait d'être un excellent nageur n'est jamais une garantie pour s'en sortir même si toutes les circonstances sont favorables

Pourtant il y eu des survivants du KMS Bismark

Environ 800 hommes parviendront à se jeter à l'eau, au moment du naufrage, mais il n'y aura que 110 survivants, récupérés par le HMS Dorsetshire (85) puis le HMS Maori (25) et 5 autres, sauvés par des bâtiments allemands (un soum, U-74 (3), au soir du 27 mai, et un navire -météo, Sachsenwald (2), le 28). Au départ de la mission, l'équipage comptait 2092 hommes (5,5% de survivants).

Surprenant vu que les britanniques étaient proches et en nombres, des destroyers ou torpilleurs ont lancé une salve de torpilles, les cuirassés n'ont cessé de se rapprocher, à voire quant ils ont cessé le feu et quand fut donné l'ordre d'abandonner le navire par rapport à l'ordre de sabordage.
Les britanniques n'ont dû faire aucun cadeau.

Autant qu'il m'en souvienne les deux survivants,lors de l'émission ont décrit des coursives remplies de marins se déplaçant affolés,dans tous les sens et les états, relativement à l'abri sauf quand ils approchaient du pont à l'air libre,balayé par les éclats ;un navire qui était sabordé et s'enfonçait lentement...Les radeaux avaient sans doute été pulvérisés par l'enfer d'artillerie......Peut être n'y en avait il pas assez ??

Surprenant vu que les britanniques étaient proches et en nombres, des destroyers ou torpilleurs ont lancé une salve de torpilles, les cuirassés n'ont cessé de se rapprocher, à voire quant ils ont cessé le feu et quand fut donné l'ordre d'abandonner le navire par rapport à l'ordre de sabordage.
Les britanniques n'ont dû faire aucun cadeau.

Le Bismarck avait sombré à 10H38, le HMS Dorchester n'en était pas très loin, puisqu'il avait tiré la dernière torpille "coup de grâce" à 10H30 et 2200 m. Le début du sauvetage des rescapés n'avait débuté qu'à 10H56.
Les Brits n'avaient pas digéré la perte du Hood, disparu des "écrans" en à peine 3 minutes, alors que le Bismarck, lui, n'en finira pas de mourir. Son dernier canon avait cessé de tirer à 9H31 et, au même moment, l'ordre de sabordage (avec un délai de 9 minutes) avait été transmis, mais comme çà coinçait très sérieusement, en raison des dégâts, pour que le personnel des machines puisse "rejoindre" le pont supérieur - il ne restait qu'une étroite échelle d'inspection, dans un puits de tourelle - l'équipe de démolition n'avait pas amorcé les charges de démolition avant +/- 10H00, au moment où l'ordre d'évacuation générale avait été donné ! Les cuirassés britanniques ne cesseront le feu qu'à 10H14 (Rodney) et 10H21 (KG V) - le Dorsetshire tirera, encore, 3 torpilles entre 10H24 et 10h30 -.

Le célèbre fair-play so british très certainement.
C'est quoi, au fait, le rapport avec les soirées mondaines ?
JD

le départ de la discussion: le Bismarck avait des artilleurs de flak de la Luftwaffe qui portaient des pistolets...pas les autres marins à bord