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"André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Vos recherches bibliographiques ou archivistiques vous mènent à une impasse ? Vous avez une question précise à propos d'une source bibliographique, iconographique ou matérielle ? Posez là ici. Elle intéressera certainement les limiers du forum.

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 421  Nouveau message de Beogles  Nouveau message 29 Avr 2018, 10:23

Loïc Charpentier a écrit:
Beogles a écrit:Bonjour, j'ai une nouvelle question. Qu'est-ce qu'un obus "bifuselé" ?
Je cite "Et c'est le mardi, pour nous le premier jour de combat. L'ordre est venu de tirer : "Obus FA-GP, charge I, 41°".
Il doit s'agir, selon mes recherches, d'un obus en fonte aciérée, modèle 1917 bifuselé, noir, ogive jaune. Je ne sais pas ce que signifie "bifuselé" pour un obus.
Merci et bonne journée.


Bonjour,

Obus FA-GP = obus en Fonte Aciérée- Grande portée ou Grande Puissance (?)- les obus "bifuselés" sont à droite sur le croquis ci-après (fuselé vers l'ogive & fuselé vers le culot)

Image

Exemples de charge N°1 (jour) (nuit)

Image


Ah ! Merci. Je comprends maintenant. ::super:: Bonne journée.


 

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 422  Nouveau message de Beogles  Nouveau message 29 Avr 2018, 10:32

brehon a écrit:Bonjour,
Beogles a écrit:Que signifie : "Par 25" ?

Ça peut être la direction, 25° (par rapport au nord).



Merci. Un complément d'information me serait utile.
Je cite : "Et c’est le mardi , pour nous le premier jour de combat. (Note : Il s'agit du 14 mai 1940) L’ordre est venu de tirer. « Obus FA-GP , charge I, 41° . ? Où tirons-nous ? C’est interdit de tirer à cette distance. Nous ne devons pas dépasser 39°. "
Le mercredi 15, en fin de journée, ils tirent "par 25".
Est-ce que j'ai raison de penser que, plus l'angle de tir est court plus l'ennemi est proche ?
Cordialement.


 

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 423  Nouveau message de Loïc Charpentier  Nouveau message 29 Avr 2018, 10:52

Beogles a écrit:
brehon a écrit:Bonjour,
Beogles a écrit:Que signifie : "Par 25" ?

Ça peut être la direction, 25° (par rapport au nord).



Merci. Un complément d'information me serait utile.
Je cite : "Et c’est le mardi , pour nous le premier jour de combat. (Note : Il s'agit du 14 mai 1940) L’ordre est venu de tirer. « Obus FA-GP , charge I, 41° . ? Où tirons-nous ? C’est interdit de tirer à cette distance. Nous ne devons pas dépasser 39°. "
Le mercredi 15, en fin de journée, ils tirent "par 25".
Est-ce que j'ai raison de penser que, plus l'angle de tir est court plus l'ennemi est proche ?
Cordialement.


Avec un canon, dont l'élévation maximale est, généralement, inférieure à 45° ( tir tendu ou assimilé), oui, mais çà dépend, également, du type de charge propulsive utilisée (lot de gargousses généralement identifiée par un N° d'ordre, d'où charge 0, 1 ou 2).
Avec un obusier ou un canon-obusier pouvant servir dans les deux registres, - de 45° & + de 45° d'élévation (tir parabolique), l'angle peut être élevé pour tirer à des distances courtes ( par exemple, recherche d'une trajectoire descendante plongeante du projectile pour "taper" sur un objectif soit non visible, soit protégé.
Dernière édition par Loïc Charpentier le 29 Avr 2018, 11:00, édité 1 fois.

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 424  Nouveau message de brehon  Nouveau message 29 Avr 2018, 11:00

Beogles a écrit:
brehon a écrit:Bonjour,
Beogles a écrit:Que signifie : "Par 25" ?

Ça peut être la direction, 25° (par rapport au nord).



Merci. Un complément d'information me serait utile.
Je cite : "Et c’est le mardi , pour nous le premier jour de combat. (Note : Il s'agit du 14 mai 1940) L’ordre est venu de tirer. « Obus FA-GP , charge I, 41° . ? Où tirons-nous ? C’est interdit de tirer à cette distance. Nous ne devons pas dépasser 39°. "
Le mercredi 15, en fin de journée, ils tirent "par 25".
Est-ce que j'ai raison de penser que, plus l'angle de tir est court plus l'ennemi est proche ?
Cordialement.

C'est plus facile de répondre quand toutes les infos sont données du premier coup. :roll:
Pour le mardi il s'agit évidemment du pointage du canon en site. Ce qui, pour une charge donnée, implique une distance.
Pour le mercredi, c'est plus ambigu. Il peut s'agir également du réglage en site par analogie avec la phrase précédente.
Ma première réponse était à une phrase sortie de son contexte.
Cordialement.
Yvonnick

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 425  Nouveau message de Tarpan  Nouveau message 29 Avr 2018, 11:22

Quant je disais que l'artillerie est une arme à part :D ,considérée par les autres et par elle-même comme savante voir supérieure. Il faut en effet dans la mesure du possible fournir dans ces questions le maximum d'informations concernant le contexte précis comme le souligne Brehon, car en effet "Est-ce que j'ai raison de penser que, plus l'angle de tir est court plus l'ennemi est proche ? " n'est pas vrai dans tout les cas, comme l'expilque tres bien Loïc dans le cas d'un tir en cloche sur un objectif proche et masqué par exemple. Les subtilités de la balistique (La balistique est la science qui a pour objet l'étude du mouvement des projectiles.) sont telles que l'artillerie est une arme d'expert qui évolue sans cesse avec le temps et les technologies en plus de principes initiaux parfois trés complexes suivant les cas.

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Nouveau message Post Numéro: 426  Nouveau message de Loïc Charpentier  Nouveau message 29 Avr 2018, 12:34

L'artillerie est, historiquement, l'arme technique par excellence. Un bon exemple est l'esprit scientifique & technique, sans ambiguïté, de sa principale école de cadres (de l'Artillerie)... l'Ecole Polytechnique, dont l'emblème est, toujours, deux canons croisés. Elle fournira, entre 1804 et jusqu'à un passé récent, l'essentiel des officiers d'artillerie de l'armée française et complétera, également, l'instruction d'officiers artilleurs de nations alliées.
J'ai un peu fouillé dans mes vieux grimoires pour voir si je pouvais te dénicher un document "simple" pour aider à la compréhension de l'aspect technique générale de l'Artillerie, mais c'est peine perdue. Dès la troisième page, çà dérape, le plus souvent, vers la formule mathématique! ::mal-a-la-tete:: . L'un des documents les plus "simples" est un Cours d'Artillerie Navale, datant de 1914, mais sa "simplicité" relative s'arrête à la page 17 (sur les 250 que compte l'ouvrage! ::malades:: ).

Il y a deux populations distinctes au sein de l'Artillerie :
1) Celle des servants à qui on a appris les manœuvres à exécuter pour régler leur pièce et identifier les projectiles et les charges propulsives y afférant; on peut y associer les officiers subalternes (sous-lieutenants, lieutenants) chargés de transmettre les ordres à leur batterie sur le terrain, sauf qu'ils avaient été formés pour un travail plus compliqué.
2) Les cadres de l'artillerie qui ont pour rôle de calculer, en fonction de la ou les cibles, la concentration nécessaire de pièces, les distances, les portées (en fonction des pièces disponibles), le type de munition à utiliser, en tenant compte de la cible, de la T°, de l'humidité ambiante, des vents en altitude, etc. Certes, au fil des décennies, notamment, à dater des années 1880, la technique empirique du "doigt mouillé", qui avait largement prévalu jusqu'en 1870, avait laissé la place à des collections d'abaques, par type de pièce, qui facilitaient d'autant le réglages des pièces... mais ce n'était pas avec son malheureux Certificat d'Etudes que le pinpin de base pouvait espérer les exploiter. Par comparaison, ces considérations techniques n'avaient pas l'usage dans l'Infanterie ou la Cavalerie, dont les règles d'engagement étaient beaucoup plus simples (en apparence!).

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 427  Nouveau message de Tarpan  Nouveau message 29 Avr 2018, 13:09

Et ne parlons pas d'artillerie navale :surprise2: grossesurprise :shock: ::mal-a-la-tete:: (cibles en mouvement à partir de plates formes instables) ::malades::

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 428  Nouveau message de Loïc Charpentier  Nouveau message 29 Avr 2018, 13:32

Tarpan a écrit:Et ne parlons pas d'artillerie navale :surprise2: grossesurprise :shock: ::mal-a-la-tete:: (cibles en mouvement à partir de plates formes instables) ::malades::


Je ne te le fais pas dire! Par contre, le cours d'artillerie naval de 1914, lui, il a, au moins, la "décence" d'attendre la 17ème page pour virer dans l’abscons, bourré de formules mathématiques! ::mortderire::
Si j'envoie ce type de document à Bernadette, en dépit de la meilleure volonté possible de sa part pour essayer de comprendre et en l'absence de la moindre connaissance dans ce domaine très technique, c'est, hélas, peine perdue. Quand çà part dans la formule mathématique, je n'ai pas honte à dire que, moi-aussi, je décroche! :D

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 429  Nouveau message de thucydide  Nouveau message 01 Mai 2018, 21:22

Beogles a écrit:Et encore une question.
(J'espère que je ne l'ai pas déjà posée. Je n'arrive pas à m'y retrouver sur le site pour faire une recherche uniquement dans ce fil).
Nous sommes le mercredi 15 mai 1940 : "Je me souviens de ce tir, commandé par l'observatoire, pour arrêter une colonne de tanks. Par 25..."

Que signifie : "Par 25" ?
::Merci::

Un tir le 15 mai, mais avec quel canons, puisqu'ils avaient reçu l'ordre de saboter leurs pièces et de les abandonner le 13 mai?

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 430  Nouveau message de Beogles  Nouveau message 01 Mai 2018, 22:17

thucydide a écrit:
Beogles a écrit:Et encore une question.
(J'espère que je ne l'ai pas déjà posée. Je n'arrive pas à m'y retrouver sur le site pour faire une recherche uniquement dans ce fil).
Nous sommes le mercredi 15 mai 1940 : "Je me souviens de ce tir, commandé par l'observatoire, pour arrêter une colonne de tanks. Par 25..."

Que signifie : "Par 25" ?
::Merci::

Un tir le 15 mai, mais avec quel canons, puisqu'ils avaient reçu l'ordre de saboter leurs pièces et de les abandonner le 13 mai?


Bonsoir, et merci pour l'intérêt porté à mes questions.
C'est bien le mercredi 15 mai qu'ils ont reçu cet ordre, et non le 13.
Voici le résumé que j'ai fait de ces deux jours., ainsi que le début du passage concernant le 15 mai 1940.
Résumé :
10-12-05/1940 Rien, ou pas grand-chose, sinon des avions et des passages de réfugiés.
13-05-1940 Début du sentiment de guerre. Pitoyable exode des réfugiés.
14-05-1940 Première journée de combat.
15-05-1940 Deuxième journée de combat. « Elle fut décisive pour nous en effet ». Pire que la précédente. Après 18 h 30, ordre de rendre le matériel inutilisable. Partent en courant, contournent Bulson, et « dans la nuit qui s’avance », se dirigent vers Chémery, lieu de rendez-vous. Une heure d’arrêt. Repartent pour Oches, harassés.

Voici la partie du texte qui décrit le début de la journée du mercredi 15 mai 1940 :
"Cette journée de mercredi s’annonce bien. Elle fut décisive pour nous, en effet. Ce fut la répétition de la journée précédente. Mais en pire. Les ordres de tir sont plus rapprochés. Je me souviens de ce tir, commandé par l’observatoire, pour arrêter une colonne de tanks. Par 25…
Et c’est l’aviation. Quelle journée ! Dès le matin, au {lever du} jour, c’est la 'trottinette' qui passe et nous observe. Elle est bientôt suivie par l’aviation de combat. Il ne se passe pas une seconde, dans toute la journée, sans avion dans le ciel. Ils sont par escadrilles de 10, 20, 30, 40, 50, 60,70, 80 même. Ils arrivent, cherchent leur objectif, se mettent en file indienne, et tournent en rond au-dessus. Puis, un derrière l’autre, piquent dessus en lâchant leur bombe. 60 avions piquant sur un même point, cela fait impression. Et nous assistons, impuissants, à ces attaques. Sur Sedan, nous les voyons opérer toute la journée. À notre gauche une batterie de DCA, fort active d’ailleurs, est anéantie. À droite, c’est Haraucourt qui brûle ; derrière, ce sont le PC du général et du colonel qui sont 'sonnés'. Et c’est toujours ainsi, pendant des heures et des heures. Il faut tirer malgré tout. À quand notre tour ? Mes hommes tiennent à peu près le coup, mais leur ardeur s’émousse. Il n’y a pas un seul avion ami pour nous protéger.
“Halte au feu” ! Un peu de repos bien gagné… Hélas, voici une escadrille qui se dirige vers nous. Ça y est nous sommes 'bons'. “Aux abris !” En un clin d’œil, nous y sommes, tandis que le ciel est rempli d’un vacarme épouvantable. Tout à coup, un avion pique sur nous, moteur au ralenti, lâche sa bombe qui descend en miaulant et, comme un lutteur s’arrachant à l’étreinte, d’un coup de moteur effrayant, remonte vers le ciel. Je suis au fond du trou, avec une partie de ma pièce. Couraud est près de moi. La bombe miaule, où va-t-elle tomber ? Trois secondes d’angoisse, de silence, de recueillement, et c’est l’explosion faisant rejaillir dans tous les coins des éclats. Cette fois, nous sommes baptisés. Trois bombes viennent de tomber à quelque 30 m de ma pièce, près d’un de mes dépôts à munitions qu’elles ont tout 'chamboulé'. Il n’a pas sauté, heureusement. La route est coupée en deux. Une heure de travail, et elle sera remise en état. Toute la batterie est au travail. On discute fort, c’est le premier coup dur. trois bombes sont tombées sur la 7ᵉ, 3 sur la 9ᵉ batterie. Partout pas de mal, pas de blessés.
Je garderai longtemps présentes à ma mémoire ces quelques secondes d’attente, lors de la chute de la bombe. C’est là l’effet moral produit par l’aviation. Cela vous travaille.
Ma pièce se laissa intimider. Il fallait tirer sous la menace perpétuelle de l’aviation… Cela tiraillait les nerfs qui, plus d’une fois, lâchèrent. C’est ainsi qu’à deux reprises le pointeur, pas peureux cependant, maître de lui à l’ordinaire, sauta de sa place. Je dus alors le remplacer, et tirer avec deux ou trois hommes. Cela durait deux, trois minutes, et tout revenait dans l’ordre. Mais c’était dur.
Trois hommes durent partir vers 1 h à la soupe. Poulat était en tête. Au retour, ils furent pris à partie par des avions (ils n’étaient que cinq ou six en tout cependant) qui les mitraillaient. Avec eux se trouve un Marseillais, un jeune qui faisait le 'fort' en temps ordinaire. La peur le prit ; il allait de plat ventre en plat ventre, libérant à chaque coup soit une rondelle de saucisson, soit une écuelle de soupe.
Nous avions un excellent repas ce jour-là. Il arriva vers 3 h… et froid. Les émotions n’avaient pas manqué ce jour-là. Je mangeais de bon appétit.
La fin de l’après-midi fut plus calme. Il est vrai que le dernier tir avait été effectué à un angle minimum. Nous tirions à 8 km. Cela allait mal.
6 h… “Disposition de route”. Ce n’est pas un petit travail. Il nous faut combler les 'circulaires' démolir les claies qui barrent notre sortie, rassembler le matériel. Nous sommes fatigués, mais tout le monde se met au travail.
6 h 30. Je vois arriver Monteil et sa camionnette. Que veut-il ? “Que faites-vous ?” nous dit-il, affolé, “l’ordre est arrivé de partir. La 9ᵉ batterie a fait sauter ses pièces et s’en va ; je viens chercher du matériel pour le lieutenant.” Je ne le crois qu’à demi, rien ne nous permet de voir s’il dit vrai, nous sommes isolés dans ce coin.
Le lieutenant, prévenu, saute au téléphone… rien ne répond. {Il} court d’un côté et d’autre et, finalement, revient en disant : “démolissez les pièces, rendez-vous à Chémery” ; “Ils sont là”. Avec une hâte fébrile il faut démolir la culasse et, à grand coup de masse, rendre toute pièce inutilisable. On rassemble à la hâte le matériel personnel…"

etc...


 

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