Eichmann avant Jérusalem: la vie tranquille d'un génocidaire. Bettina, Stangneth. Calmann-Lévy. novembre 2016.
« Lors de son procès à Jérusalem en 1961, Eichmann se présenta comme un petit bureaucrate n'ayant fait qu'obéir aux ordres, et Hannah Harendt soutint la thèse de la banalité du mal selon laquelle il n'aurait fait preuve d'aucun fanatisme particulier, se contentant de gérer sa carrière. L'historienne démonte ce point de vue, nouveaux documents à l'appui prouvant la haine antisémite du tortionnaire.»