Mes films préférés avec ceux déjà cités plus haut, notamment ceux de Audie :
Normandie-NiemenMon film d'aviation préféré
Date de sortie
26 février 1960
Réalisé par
Jean Dréville
Avec
Pierre Trabaud, Roland Menard
Genre
Guerre
Nationalité
Français, russe
Des pilotes de l'armee de l'air, qui refusent l'armistice et l'occupation, se rendent en URSS en 1942, pour reprendre les combats. Renforces en 1944, ils deviennent la legendaire escadrille "Normandie Niemen".
http://www.youtube.com/watch?v=krMMZa9cfwQ&feature=relatedPour les amateurs, une interview de Jean Dréville sur les conditions de tournage du film. Bigrement intéressant.
http://memoire.blogs.allocine.fr/memoire-189652-35___hommage_a_jean_dreville__partie_16.htmLa bataille d'AngleterreCertainement le meilleur film sur les combats aériens.
Réalisé par Guy Hamilton
Avec
Chef D'escadron Harvey Christopher Plummer
Maréchal Evill Michael Redgrave
Sir David Kelly Ralph Richardson
Chef d'escadron Robert Shaw
Maréchal Traddford-Leigh-Mallory Patrick Wymark
Officier Maggie Harvey Susannah York
Commandant Willoughby Robert Flemyng
Chef d'escadron Edwards Barry Foster
pilote officier Archie Edward Fox
Un soldat (non crédité) Harry Fielder
http://www.youtube.com/watch?v=KZ-2X609LRE&feature=relatedEn 1940, après l'écroulement de la France, le Royaume-Uni est la cible suivante des Allemands et la RAF constitue un maigre barrage avec à peine 600 chasseurs à opposer aux milliers d'appareils de la Luftwaffe. Après une courte scène sur la débâcle en France, le film débute sur les préparatifs de défense sur les terrains d'aviation de la RAF dans le sud de l'Angleterre tandis que, de l'autre côté de la Manche, en France, les Allemands préparent l'invasion.
Les Allemands organisent un débarquement d'invasion et prennent pour cibles les navires dans la Manche. En prélude à cette invasion, la décision est prise d'attaquer les stations radars et les aérodromes du sud de l'Angleterre afin d'obtenir la supériorité aérienne. La RAF compte alors dans ses rangs de nombreuses jeunes recrues inexpérimentées et des étrangers. Les pertes en matériel et surtout en pilotes sont terribles pour le Royaume-Uni et son aviation s'affaiblit de jour en jour. Mais des pilotes polonais (et autres nationalités, comme les Tchèques et un discret français) sont lancés dans la bataille. Mais une escadrille de bombardiers allemands se perd et prend pour cible Londres et espérant toucher quelques cibles d'occasion avant de se retirer vite vers ses bases.
Cette erreur conduit au bombardement vengeur de Berlin par la RAF. Hitler, furieux, veut alors réduire à néant la capitale britannique et ordonne à ses bombardiers de prendre les villes britanniques pour cible. Cette décision relâche la pression sur les aérodromes britanniques et permet ainsi à la RAF de se réorganiser et de s'attaquer aux escadrilles de bombardiers avec davantage de succès. Les Spitfire et Hurricane remportent de grandes victoires et le débarquement allemand est remis à plus tard. Hitler a d'autres projets en tête. Les attaques s'estompent et le Royaume-Uni est sauvé.
Le TambourMême si le film n'est pas entièrement sur la seconde guerre mondiale, il traverse le nazisme et en est fortement marqué.
http://www.youtube.com/watch?v=2ewzWkFZOFk Date de sortie
19 septembre 1979 (2h 42min)
Réalisé par
Volker Schlöndorff
Avec
David Bennent, Mario Adorf, Angela Winkler...
Genre
Comédie dramatique
Nationalité
Polonais, ouest-allemand, français, yougoslave
L'histoire du Tambour est racontée sous la forme d'un long monologue, dont le narrateur n'est autre que le héros lui-même, Oskar Matzerath, un bien étrange personnage. Doté d'une intelligence innée hors du commun, il reçoit en cadeau, pour son troisième anniversaire vers la fin des années 1920, un tambour de fer-blanc laqué rouge et blanc. Ce jour-là, il décide de ne jamais rejoindre le monde des adultes et de cesser de grandir. Il va ainsi conserver sur le monde un regard d'enfant implacable et inflexible. Niant toutes les convenances sociales et espérances, il se sert de son tambour pour éprouver le monde et pour battre la mesure de l'humeur ambiante. Ainsi, figé dans son corps de petit garçon de trois ans, son tambour en permanence rivé à son cou, le narrateur raconte sur un mode épique et très noir sa traversée des années 1930, de la Seconde Guerre mondiale et de la revitalisation économique qui s'ensuit.
Pour l'anecdote, Le Tambour a été interdit de diffusion dans certaines provinces du Canada, en raison de sa description explicite de la sexualité des mineurs.