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Un brillant polytechnicien aux commandes de l'aéronautique Française: Albert Caquot

Cette rubrique est consacrée uniquement aux Personnages les plus importants du conflit, militaires et/ou politiques.
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Re: Un brillant polytechnicien aux commandes de l'aéronautique Française: Albert Caquot

Nouveau message Post Numéro: 51  Nouveau message de Loïc Charpentier  Nouveau message 06 Mai 2022, 11:52

Dog Red a écrit:Chez les Allemands le Bf 109 est adapté mais le temps passera pour développer le Fock Wulf 190 et le Me 262, ceux-là aussi trop peu (voire trop tard).


En ce qui concerne le FW 190, son entrée en service date de juillet 1941. En gros, à l'époque, Allemands et Anglais se marquaient à la culotte.
Le gros problème, côté français, avait été la "déculottée" de mai-juin 1940, qui avait coupé court à tout développement et production nationale intensive, dans le cadre du conflit.
Sinon, pour le Me 262, Achtung! ... car, là, il s'agissait d'un appareil à réaction, avec, à la clé, un sérieux problème de mise au point des moteurs, des puissances requises, plus, également, celles de la voilure et du dessin de l'appareil. ::mal-a-la-tete:: Les avancés & travaux allemands dans le domaine de "l'appareil à réaction" avaient été, très largement, exploités par les Vainqueurs, à la sortie du conflit.

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Re: Un brillant polytechnicien aux commandes de l'aéronautique Française: Albert Caquot

Nouveau message Post Numéro: 52  Nouveau message de coyote  Nouveau message 06 Mai 2022, 12:31

Le cas du 262 est un cas à part car en plus des retards pris chez Messerschmitt pour la mise au point (premier vol en avril...1941 !!) , AH n' a pas pu s'empêcher d'en rajouter une couche et une grosse. Celle de vouloir (d'exiger) transformer un chasseur très prometteur en bombardier ou chasseur bombardier .

La seule note positive pour les Alliés c'est que ces tergiversations teutonnes ont retardé l'entrée en service et sa production. Les réacteurs eurent de très nombreux problèmes (feux au réacteur-perte de puissance etc..)

Je c rois que l'on s'éloigne sérieusement de Mr A Caquot ::pipo::
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Re: Un brillant polytechnicien aux commandes de l'aéronautique Française: Albert Caquot

Nouveau message Post Numéro: 53  Nouveau message de Dog Red  Nouveau message 06 Mai 2022, 12:34

Merci pour vos précisions éclairées.
J'avais le souvenir (imprécis visiblement) que la Luftwaffe avait peiné à aligner le Fock Wolf en nombre (et 1943 en tête plutôt que 1941).

Par le petit bout de la lorgnette, CAQUOT attire le regard sur une problématique bien plus large et pas que franco-française : la mise en place d'une production aéronautique de guerre performante.

Pas sûr qu'on s'éloigne sérieusement du sujet.
Celui-ci est profond.
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Re: Un brillant polytechnicien aux commandes de l'aéronautique Française: Albert Caquot

Nouveau message Post Numéro: 54  Nouveau message de Loïc Charpentier  Nouveau message 06 Mai 2022, 17:17

Dog Red a écrit:Merci pour vos précisions éclairées.
J'avais le souvenir (imprécis visiblement) que la Luftwaffe avait peiné à aligner le Fock Wolf en nombre (et 1943 en tête plutôt que 1941).

Par le petit bout de la lorgnette, CAQUOT attire le regard sur une problématique bien plus large et pas que franco-française : la mise en place d'une production aéronautique de guerre performante.

Pas sûr qu'on s'éloigne sérieusement du sujet.
Celui-ci est profond.


Voui, il est profond, mais pour diverses raisons historiques. La décennie 1930-1940 avait, à ses débuts, été marquée par le passage essentiel du biplan au monoplan cantilever, comme l'évoquait, très justement, Alfred, au poste N°25. Cette évolution technique avait débouché, entre autres, sur la problématique "Moteur", les constructeurs français ayant, alors, éprouvé de sérieuses difficultés pour la mise au point de motorisations "uniques" dans la catégorie 500-1000 CV. Par exemple, la firme Gnome & Rhone, durant la Der des Ders, avait été la "Reine" incontestée du moteur "tournant" (avec l'hélice!), pour des puissances qui frirtouillaient avec les 200/250 CV, et, qui, de par son fonctionnement, assurait, sans problème, le refroidissement du bloc-moteur. Quand il avait fallu, pour des raisons aérodynamiques, capoter les moteurs, oublier leur rotation et assurer leur refroidissement, aussi bien par air que par liquide, çà avait été une toute autre paire de manches, à la fois, techniquement, et économiquement, car l'Armée française, alors que les budgets qui lui étaient accordés, durant la première moitié des années 30, étaient du genre "bouts de ficelles" avait sérieusement tiré la tronche en constatant le chiffrage des nouvelles motorisations, sur les factures des constructeurs!

A çà, il faut rajouter l'évolution de l'hélice, qui jusque là, était confectionnée en bois et, généralement, à pas fixe - au passage, la toute première série de Spitfires britanniques, livrée en 1937, était encore équipée d'une hélice bipales en bois! -, car on était passé à la génération des hélices en alu, bipales et à pas variable manuel - on en a un bon exemple, avec la "Tante Ju 52", qui jusqu'à la fin de son très long service opérationnel, avait conservé ce type de fonctionnement - avant d'attaquer l'ère, dans le seconde moitié des années 30, des hélices tripales, dotées d'un dispositif de variation de pas quasiment "automatique" (sans intervention directe du pilote), soit hydraulique, soit électrique.

Je vous laisse juste imaginer la tronche du Chef de la facturation, au sein de l'Armée, chargé du budget "factures " des fournisseurs agréés de branche "Armée de l'Air". Le "Gars", qui avait commencé, peinard, sa carrière, en tant que subalterne, du temps de l'entoilage, du bois, du moteur "rotatif" et du biplan, puis s'était retrouvé, dès lors, au sommet de sa "hiérarchie", confronté, brutalement à des sommes "mirobolantes" ou, à tout le moins, mal évaluées, pour d'évidentes raisons de méconnaissance générale de la toute fraiche complexité technique inhérentes.

Un, les constructeurs, pour des raisons évidentes de progrès techniques incessants avaient, souvent, tendance à sous-estimer le coût final de leur production, deux, en ce qui concerne l'Armée Française, toutes branches confondues, en temps de paix, la règle est de serrer au maximum le "kiki" à ses fournisseurs agréés. Dès lors, par exemple, dans le cadre d'un marché d'état de fournitures, le fournisseur, qu'il soit privé ou nationalisé (après 1936) - encore que les fabricants de moteurs, eux, avaient échappé aux nationalisations du Front Populaire -, est contraint, par avance, d'établir son "budget" final - coût de production et marge nécessaire pour son équilibre financier -, sur la base d'un marché global, fixé à la signature du contrat, en espérant que deux choses, un, que la quantité commandée soit finalement honorée, deux, que son service d'études de coût de fabrication ait pu ne pas planter, sur la base, au mieux, d'une demi-douzaine de prototypes assemblés et essayés.

On peut rajouter, à l'envie, la mise en service du train d’atterrissage rétractable, de la verrière, des tous premiers circuits d'oxygènes, heureusement, très peu nombreux, la multiplication des indicateurs sur le tableau de bord des chasseurs, etc. Le brave garçon, chargé de gérer la facturation "constructeurs", qui avait pris son poste en 1929-1930, avait du se retrouver, en 1936, confronté à un "budget " factures, multiplié par 3 ou 4 - je suis gentil! - mais si lesdits "dépassements" avaient été, plus ou moins bien, anticipés.

Nous avions connu un phénomène assez similaire, dans la Marine Nationale, entre 1880 et 1914, avec, notamment, la grimpée en flèche des crédits affectés à la construction de cuirassés et croiseurs-cuirassés, pour cause d'avancées technologiques, sauf qu'il faut, généralement, 5 à 6 ans pour construire un cuirassé, phénomène qui permet, au Ministère, de pouvoir solliciter des rallonges annuelles budgétaire auprès de l'Assemblée, alors que, avec l'aviation, çà se complique, vu la vitesse de production des constructeurs, sensés honorer leurs marchés, en gros, en l'espace de 4-5 ans.

Si on y regarde de plus près, sur le plan européen, en oubliant l'URSS, seules, la Luftwaffe et la Royal Air Force avaient été capables de s'affranchir, correctement, de la révolution technique "1930". Côté allemand, en regard des très généreux et larges budgets attribués par le III.Reich au "gros" Hermann, qui, accessoirement, avait eu le bol de ne pas s'enquiquiner, comme en France, avec un parc de vieilleries volantes, vu que la construction de Luftwaffe était partie de zéro; côté britannique, par la faiblesse intrinsèque et historique de son armée de Terre, ses deux seuls soucis initiaux étant la Royal Navy et la RAF.

Si on se réfère à l'Armée française, les "priorités" étaient multiples, à l'heure des "budgets rikikis", car il lui fallait assurer le renouvellement et l'entretien des parcs de matériels existants, pour les trois Armes, l'Armée de Terre, sa composante aérienne, et l'Armée de Mer. La "méthode" avait plus ou moins bien fonctionné en 1914, car les combats avaient, alors, essentiellement, fait appel à l'Infanterie et à l'Artillerie - même, si côté français, cette dernière était, alors sous-dimensionnée -, tandis que, sur mer, la Royal Navy avait, elle, assuré l'essentiel des tâches. A l'époque, ni aviation, ni chars qui pouvaient jouer un rôle essentiel.

Durant l'Entre-Deux-Guerres, la France s'était, très largement, illusionnée sur le rôle essentiel de sa seule Armée de Terre, considérée, alors, comme la "meilleur du monde", sauf que, au printemps 1940, les avions, blindés allemands et leurs tactiques d'emploi, l'avaient ratiboisée en six semaines!

Les Brits avaient, alors, sauvé leur peau, grâce à leur insularité et la RAF. A l'inverse, l'US Army, toutes branches confondues, en 1938-1940, ne valait pas tripette, sauf que les Américains disposaient, depuis le milieu de la décennie 1910, d'un monumental parc industriel, d'une démographie très importante - pour y recruter, si nécessaire, la main d'oeuvre nécessaire, dans le cadre d'une éventuelle économie de guerre - et, surtout d'un isolement naturel géographique, qui la mettait à l'abri de toute réplique sérieuse, sur son territoire national, de la part d'un éventuel adversaire! Sa menace stratégique possible la plus sérieuse, de nos jours, se résume, encore, aux performances des seuls missiles balistiques intercontinentaux!

A noter que c'est du kif-kif bourricot pour notre territoire de Saint-Pierre et Miquelon, le Canada et, même, l'Australie ou la Nouvelle-Zélande, ce qui permet, au passage, "d'étalonner" les limites d'extension d'un éventuel conflit continental européen, si la France et l'Allemagne, les premières nations concernées, ne se décident pas, rapidement, à faire le forcing pour mettre en place une négociation diplomatique sérieuse et calmer le jeu!

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Re: Un brillant polytechnicien aux commandes de l'aéronautique Française: Albert Caquot

Nouveau message Post Numéro: 55  Nouveau message de Alfred  Nouveau message 07 Mai 2022, 14:24

Après ce départ de Caquot,La production de matériel aérien sous la direction du ministère de l'air ne s'améliore pas de façon très sensible,lors des discussions ministérielles de 1936 sur la nationalisation des sociétés aéronautiques,Cot a souligné l'état de vétusté,de dispersion des installations et du matériel de production,,l'anémie économique et financière....Daladier plus tard ,en novembre 1938,mentira à Chamberlain également à propos de livraisons américaines attendues et très considérables sous peu ( plus de mille avions) alors que les discussions franco-américaines n'en sont qu'au point de départ et alors que de très importants blocages dus à la politique intérieure américaine existent et que tant Curtiss que les autres fournisseurs ne possèdent ni les moyens financiers ni techniques d'augmenter sous quelques semaines leur production....

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Re: Un brillant polytechnicien aux commandes de l'aéronautique Française: Albert Caquot

Nouveau message Post Numéro: 56  Nouveau message de Alfred  Nouveau message 07 Mai 2022, 15:07

Une relation locale d'A;Caquot ,Guy La Chambre devientle successeur de Cot le 18 janvier 1938...l'amélioration de la production sera très progressive,on passerait suivant l'etat major de 40 avions produits en mars 1938 à 300 enAoût 1939...Le 16 septembre 1939Albert Caquot retrouve le poste qu'il avait occupé à l'époque de Laurent Eynac..... Cependant,dés sa reprise ,il va se heurter au fameux général Vuillemin dont les impératifs de production et productvité ne sont pas les siens......La limite sera atteinte lors d'une réunion en décembre 1939 quand Albert Caquot accompagné de l'ingénieur Maurice de Lorris entendra les généraux se féliciter du faible nombre de pertes de l'armée de l'air du au faible nombre de missions demandées et du faible nombre de sorties,en conséquence desquelles,ces messieurs se déclarent totalement satisfaits des cadences de production et du faible nombre d'appareils mis en service tant en ce qui concernait les bombardiers Leo que les chasseurs Dewoitine dont la production s'amorce suite à leur ordre de cessation de production de la chaine des Morane.dernière décision à laquelle Cacquot s'était opposé car s'attendant à une offensive allemande dans un avenir très proche......Il écrit une lettre au ministre en date du 12 janvier 1940 faisant part de son découragement et de sa décision de démission suit au refus par la commission de contrôle dde commander au x constructeurs tous les équipementsqui manquent pour le fonctionnement des appareils afin d'accélérer la production définitive..........Le ministre accepte sa démission en mars 1940.......lui demandant toutefois de continuer à présider toutes les compagnies de constructeurs nationalisées............

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Re: Un brillant polytechnicien aux commandes de l'aéronautique Française: Albert Caquot

Nouveau message Post Numéro: 57  Nouveau message de coyote  Nouveau message 07 Mai 2022, 15:25

Grand merci Alfred de toutes ces informations. Quel gâchis .

Comment se fait il que Vuillemin qui avait vu de ses yeux la production de masse de l' aéronautique allemande lors de sa visite en août 1938 a t'il pu tenir un tel raisonnement en 1939 ? C'est purement ahurissant et très gravement coupable de sa part !

On peut comprendre le désenchantement d' A. Caquot devant tant de bassesse et d'imbécilité crasse de la part de certains très hauts placés.
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Re: Un brillant polytechnicien aux commandes de l'aéronautique Française: Albert Caquot

Nouveau message Post Numéro: 58  Nouveau message de Alfred  Nouveau message 07 Mai 2022, 16:30

A titre personnel,je me demande fort sincèrement si une grande partie de ce désastre n'était pas voulu........Il se trouve que lors de mon passage aux armées,je me suis trouvé dans un état major général au contact de gens qui avaient connu l 'armée de l'air de 1940...Ils m'avaient expliqué pourquoi et comment le pacte avec l'URSS en 1935 avait été saboté par des responsables aux constructions navales....les soviétiques avaient demandé aux français des plans pour des carènes de gros navires;...les français avaient livré des plans aux proportions faussées de manière a freiner les navires....une forme de sabotage pour que les Russes ne puissent en aucun cas s'entendre avec nous.....or il y avait eu des projets également de production d'avions en commun..........

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Re: Un brillant polytechnicien aux commandes de l'aéronautique Française: Albert Caquot

Nouveau message Post Numéro: 59  Nouveau message de Alfred  Nouveau message 26 Juin 2022, 11:12

Albert Caquot était à l'origine des barrages producteurs d'énergie électrique de Vezin et de la Roche qui boit en Normandie........La destruction finale de l'un de ces barrages qui empêchaient de dormir les écolos depuis 1919 a été commencée la semaine dernière: cela fournissait trop peu 5 000 000de KWpar an......,il avait été nécessaire de renforcer par des Diesels cette production à cause de la sécheresse ...on achètera et subventionnera quelques machines à vent pour remplacer mais sans aucune capacité de stockage d'énergie: toutes les batteries étant d'une capacité risible face à celles de grandes retenues d'eau

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Re: Un brillant polytechnicien aux commandes de l'aéronautique Française: Albert Caquot

Nouveau message Post Numéro: 60  Nouveau message de coyote  Nouveau message 26 Juin 2022, 12:00

Je viens de lire une appréciation faite par Marcel Bloch (Dassault) au sujet d'Albert Caquot dont il disait.... « C'est un des meilleurs techniciens que l'aviation ait jamais connu. C'était un visionnaire qui, dans tous les domaines, abordait l'avenir. Il était en avance sur tout le monde. »

Que cela est bien dit !
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