Très grosse déception
Oui très grosse déception. Pourquoi me direz-vous?
Je m'explique.
Vous savez, ou vous devriez savoir, que le PC de Stéphane a eu quelques caprices ou si vous voulez en d'autres termes, le bidule s'est planté, d'où grosse perte de données enregistrées.
En dépit de cela l'Histomag n°52 a quand même pu être mis en ligne dans un délai raisonnable.
Mais que dois-je constater?
- Mise en ligne de l'Histomag n°52 par Stéphane ce vendredi 15 février à 16h48
- Envoi d'un mail de masse signalant la mise en ligne du dit Histomag, toujours par Stéphane, quelques minutes plus tard.
Je sais et je comprends très bien que tout le monde ne sait pas être en ligne en même temps et cela 24 heures sur 24, mais lorsque je constate que depuis la mise en ligne par Stéphane et l'heure actuelle, plus de 5 heures ont passées, pendant lesquelles de nombreux membres et invités, se sont connectés ( 83 durant la dernière heure ) et cela sans laisser, ne fut-ce qu'un mot d'encouragement ( sauf 6 dont deux admins ), je suis en droit de me poser des questions.
- Sachez que de nombreux bénévoles passent leur temps libre à rechercher et à rédiger des articles.
- Sachez que ces articles doivent être soumis à lecture et relecture puis à correction.
- Sachez que les articles et photos récoltés doivent être mis en pages.
- Sachez que tout cela doit être mis en format pdf.
- Sachez enfin que tout cela demande du temps et de la bonne volonté afin de pouvoir vous livrez un magazine bimestriel entièrement gratuit et imprimable.
Dès lors les questions que je me pose coulent de source.
- Les articles abordés ne vous intéressent pas?
- La présentation du magazine ne vous convient pas ou ne vous satisfait pas
- Vous préférez payer le prix fort pour avoir un magazine papier?
- Le magazine en format pdf est trop lourd à charger?
- L'impression du magazine vous coûte trop cher en cartouches d'encre?
Désolé pour ce coup de gueule.
Ceux qui me connaissent très bien savent que ce n'est pas dans mes habitudes mais ici je ne pouvais pas dire amen devant tant d'indifférence
Prosper, vraiment très