Prosper Vandenbroucke a écrit:A.H. évoque, en septembre 1944, une attaqua massive sur le front de l'ouest. Il a la conviction qu'une fois le redressement militaire allemand assuré, il pourra infliger une défaite sévère aux armées anglo-américaines et que du fait ce cette victoire inattendue cela pourrait déboucher sur une solution politique ( paix négociée et séparée ), ce qui lui laisserait les coudées franches à l'est. Y croit-il encore vraiment ?
Prosper
Joachim Fest a écrit dans ses Derniers Jours de Hitler, à propos de l'offensive des Ardennes qu'elle n'était en dernière analyse qu'une façon militaire de détruire les derniers restes de l'armée allemande, précipitant ainsi la chute finale. On retrouve là le tempérament joueur de Hitler : ça passe totalement ou ça casse totalement. Pas de demi-mesure.