Avions Belges 1940 (Un Oiseau rare le S47)
Posté: 01 Avr 2008, 18:49
Suite à l'accord intervenu en 1937 avec la firme italienne Caproni, la SABCA développa le projet du S. 47 à partir des plans du Caproni Ca 335 Maestrali.
La cellule du prototype fut construite et montée en Italie avant d'être envoyée à Bruxelles, le 19 juin 1939, en vue d'y être exposée au Salon de l'Aéronautique.
Doté de son moteur en Belgique, le prototype effectua son premier vol le 19 septembre 1939 aux mains du pilote P. Burniat.
Présenté aux autorités belges à Evere le 30 novembre suivant, l'appareil fit l'objet d'une commande de 24 exemplaires à monter sous licence par la SABCA.
Photo Soir Illustré 1940
Source inconnue.
Avion identique au S47 mais probablement d'origine Italienne .
Il était destiné à rééquiper les 1ère et 3e Escadrilles du 1/3 Aé.
La SABCA ne put débuter la production de cette commande avant le 10 mai 1940.
Le prototype portant toutefois les couleurs belges avait gagné la Base d'Orléans-Bricy en vue d'être soumis aux tests d'évaluation de l'Armée de l'Air française.
Endommagé lors d'une collision au sol, l'appareil ne put être réparé avant l'arrivée des troupes allemandes.
Il se trouvait encore à Orléans à la mi-1943.
La cellule du prototype fut construite et montée en Italie avant d'être envoyée à Bruxelles, le 19 juin 1939, en vue d'y être exposée au Salon de l'Aéronautique.
Doté de son moteur en Belgique, le prototype effectua son premier vol le 19 septembre 1939 aux mains du pilote P. Burniat.
Présenté aux autorités belges à Evere le 30 novembre suivant, l'appareil fit l'objet d'une commande de 24 exemplaires à monter sous licence par la SABCA.
Photo Soir Illustré 1940
Source inconnue.
Avion identique au S47 mais probablement d'origine Italienne .
Il était destiné à rééquiper les 1ère et 3e Escadrilles du 1/3 Aé.
La SABCA ne put débuter la production de cette commande avant le 10 mai 1940.
Le prototype portant toutefois les couleurs belges avait gagné la Base d'Orléans-Bricy en vue d'être soumis aux tests d'évaluation de l'Armée de l'Air française.
Endommagé lors d'une collision au sol, l'appareil ne put être réparé avant l'arrivée des troupes allemandes.
Il se trouvait encore à Orléans à la mi-1943.