Le décompte morbide continue et touche à sa fin, tandis que l'oubli tente de s'installer.
Honneur à ceux qui ont su tout risquer pour une Patrie qui était leur de coeur, même si elle ne leur reconnaissait pas la citoyenneté.
Honneur aux "étrangers", honneur aux frères des territoires de l'Empire, oubliés voire méprisés après-guerre, demi-soldes d'une République qui leur doit tout et qu'elle n'a pas su récompenser à la hauteur de leur engagement.
Honneur à vous, Yves de Daruvar. Et que vous reposiez en paix.