Bonsoir,
J'ai lu vos sujets sur la Résistance Allemande, et cela me pose une question principale à t'elle existé réellement au début du nazisme, tous les Allemands idolâtraient cet homme????
Quand le pouvoir est passé dans les mains d'Hitler il a fait son ménage par ses hommes de mains, ses camps, les travaux forcés, c'étais un régime très bien structuré, fondé sur l'endoctrinement des masses, de la jeunesse, et j'en passe.
Certains ont eu la chance de partir d'Allemagne (SOURCE LIFE LA GUERRE ECLAIR)
L'opposition au nazisme équivalait à des vacances forcés est sans retour et plus souvent la mort, et vu le contexte de l'époque il fallait être très prudent de ses convictions pour la Résistance Allemande, comme en France d'ailleurs, régime de Vichy, on se méfiât de tout le monde, amis, voisins, c'était le but recherché (la délation) on ne peut pas s'imaginer le contexte de cette époque, même au travers des livres et des documentaires, un contexte de peur permanente, ma position à cette époque je ne sais pas, résistant, collabo, passif???? ce qui à joué c'étais aussi le contexte familial, notre éducation, et pourtant certains on surmonté cette obstacle et on fait ce qui fallait faire pour notre liberté.
Je leurs rend hommage de cette liberté que j'ai reçu en héritage PS
Je tiens cette histoire de mon grand père, la maison était occupé par les troupes Allemandes, ils étaient en train de boire du café, et quand l'officier est sorti fumer, un soldat à sorti des photos de sa famille en pleurant , il expliquais à mon grand père que la guerre était une chose vilaine, et qu'il ne réverrait plus sa famille.
D'autres avaient le goût du sang et aimaient ça, le pouvoir de vivre ou mourir sur un individu.
La guerre change l'homme, ils essayent de survivre, d'autres deviennent des démons, d'autres ont des cicatrices qui ne se referment jamais, mon dieu que la guerre est jolie
Si vous cherchez des renseignements sur la résistance Allemande suivre ce lien
http://resistanceallemande.online.fr/Vous avez aussi LA ROSE BLANCHE source internet, sujet décrit si dessous.
Le groupe de résistance La Rose Blanche fut fondé au printemps 1942, à l'université de Munich, par Hans Scholl et Alexander Schmorell.
Les jeunes étudiants refusaient d'accepter le totalitarisme dans lequel avait sombré l'Allemagne, et voulaient sauvegarder leur indépendance d'esprit face au "nihilisme intellectuel" que représentait le nazisme. Ils parlèrent de la situation politique avec Kurt Huber, professeur à l'université de Munich, réputé pour ses cours de philosophie qui impressionnaient et influençaient beaucoup les étudiants. Kurt Huber les encouragea à résister et devint le mentor de la Rose Blanche.
Révoltés par la dictature hitlérienne et les souffrances causées par la guerre, les étudiants se décidèrent à agir pendant l'été 1942. Hans Scholl et Alexander Schmorell rédigèrent les quatre premiers tracts ; ils les envoyèrent par la poste de la fin du mois de juin à la mi-juillet à des destinataires soigneusement choisis à Munich, principalement des intellectuels. Les étudiants se référèrent dans leurs tracts à d'éminents penseurs et écrivains comme Schiller, Goethe, Novalis, mais aussi Lao Tseu, Aristote, et citèrent également la Bible. Les destinataires de ces tracts, pour la plupart écrivains, professeurs d'université, directeurs d'établissements scolaires, libraires et médecins de Munich et de ses environs, étaient censés reproduire les tracts et les envoyer au plus grand nombre possible de gens.
En juillet 1942, Hans Scholl, Alexander Schmorell et Willi Graf furent incorporés dans la Wehrmacht en tant qu'étudiants en médecine, pour servir comme infirmiers au front de l'Est ; ils furent envoyés en URSS pour trois mois. De retour en Allemagne, ils prirent contact avec d'autres groupes de résistance. Hans Scholl et Alexander Schmorell se mirent ainsi en relation avec Falk Harnack, le frère de Arvid Harnack, l'un des dirigeants de l'organisation Harnack-Schulze-Boysen. Pendant l'hiver 1942-1943, lorsque la bataille de Stalingrad atteignit son paroxysme, les étudiants rédigèrent avec leur professeur Kurt Huber le cinquième tract de la Rose Blanche. Des milliers d'exemplaires furent imprimés et distribués non seulement à Munich, mais aussi à Augsbourg, Francfort, Stuttgart, Salzburg, Linz et Vienne.
Les étudiants écrivirent sur les murs des slogans pacifistes et antifascistes, collectèrent du pain pour des détenus de camps de concentrations et s'occupèrent de leurs familles. Les actions de la Rose Blanche furent prises en exemple à partir de janvier 1943 par des intellectuels du sud de l'Allemagne et de Berlin. Leurs tracts furent également recopiés et distribués à Hambourg par un groupe de jeunes gens en contact avec la Rose Blanche, qui s'était constitué autour de Hans Konrad Leipelt, étudiant en chimie. En février 1943, après la défaite de Stalingrad, Kurt Huber rédigea le sixième tract. Il fut imprimé à plus de 2 000 exemplaires, distribué et envoyé par la poste. Le 18 février 1943, Hans Scholl et sa sœur Sophie lancèrent des centaines de tracts dans la cour intérieure de l'université de Munich ; le concierge les arrêta et les livra à la Gestapo. Ils furent condamnés à mort, car leurs appels au ressaisissement éthique des consciences allemandes fut considéré par les nazis comme un crime politique majeur. Le réseau de Hambourg fut lui aussi démantelé par la Gestapo à l'automne 1943. Hans et Sophie Scholl, ainsi que Christoph Probst, un autre membre du groupe, furent guillotinés le jour même de leur condamnation, le 22 février 1943 ; d'autres résistants, Alexander Schmorell, Willi Graf et le Professeur Kurt Huber furent exécutés quelques mois plus tard. Dix autres membres de la Rose Blanche furent assassinés les années suivantes, dont huit à Hambourg. 80 personnes furent arrêtées dans le sud de l'Allemagne, et 50 personnes dans la région de Hambourg ; elles furent condamnées à des peines de prison allant jusqu'à cinq ans, pour avoir été en contact avec la Rose Blanche.