Prosper Vandenbroucke a écrit:Certes les aspects valent la peine d'être développés, ce qui me dérange c'est que de nombreux auteurs (même la télé, le web) ont repris le fait que l'instituteur aurait DECOUVERT l'écrit, or ce qui apparaît, c'est le fait que c'est lui qui avait écrit le texte lui-même.
Il n'y a rien qui "apparait". Les deux versions étaient déjà connues. Quant à la télé et au web... on y voit de tout. Il faut être critique. Et les auteurs, ils sont faillibles, les moins scrupuleux (ils sont nombreux) se recopient généralement les uns les autres. Surtout avec une anecdote aussi croustillante.
Prosper Vandenbroucke a écrit:Pour quelle raison?, je n'en sais rien, ce n'est pas parce qu'il était germanophone qu'il était germanophile.
Quand on retrouve un texte en allemand sur le tableau noir d'un instituteur germanophone on doit naturellement se poser les bonnes questions.
La signature m'a toujours dérangé dans cette histoire :
"Un officier allemand".
Quand tu signes un écrit tu t'identifies ou sinon tu ne signes pas.
On ne saura jamais.