STURM BATAILLON AOK 7 Cela vous dit quelque chose?????

Quelqu'un pourrait- il m'informer sur ce qu'il advint du STURM BATAILLON AOK 7 ,rattaché à la 709 ème
division d'infanterie , suite à l'engagement de ces unités de la wehrmacht dans les combats du 6 juin
1944 aux environs de SAINTE MERE L'EGLISE ? Quel fut le destin des hommes affectés à la Stabsbatterie
du Sturmbataillon? Y eût-il des survivants faits prisonniers au nombre desquels aurait pu figurer l'ober-
gefreiter ERNST HOCK né le 9 mars 1920 à GROSSOSTHEIM (BAVIERE) ,jeune couturier enrôlé de force dans les unités sacrifiées après son internementau camp de concentration de SACHSENHAUSEN ?
Merci

[Prosper Vandenbroucke]

Bonjour Roger-Christian,
Voici des liens vers des sites trouvés via le moteur de recherches de Go……………
http://www.lexikon-der-wehrmacht.de/Gli ... AOK7-R.htm
https://forum.axishistory.com/viewtopic.php?t=124338
https://www.dday-overlord.com/bataille- ... e/azeville
https://www.forum-der-wehrmacht.de/inde ... lon-aok-7/
le Stürmbataillon AOK 7 était commandé par le Major Hugo Messerschmidt et le P.C. se trouvait à Le Vicel
Le matin du 6 juin, la Pz.J.-Abt 709 rejoint le I./SturmBataillon AOK 7 du Major Hugo Messerschmitt, stationné près de Foucarville, pour former un Kampfgruppe qui fait mouvement sur Ste- Mère-Eglise aux mains des paras américains pour reprendre cet important nœud routier. Elle est mise à disposition du I./GR. 1058 de la 91. LD pour soutenir la contre-attaque menée au nord de la ville avec des forces conséquentes. Lors de la progression, un Marder est détruit sur la route venant de Montebourg. L’offensive est stoppée par le 505th PIR et à l’entrée nord de Ste-Mère-Eglise, du côté de l’hospice, un canon d’assaut StuG. 40 est touché et se consumera jusqu’au 7 juin. Dans les jours qui suivent le débarquement, la 709. ID essaie de contenir la progression des troupes de la 4 e DI mais elle accumule les pertes. Le 16 juin, elle ne dispose plus que du tiers de ses effectifs. Sa dernière mission est de défendre Cherbourg assiégé.
http://fr.1001mags.com/parution/uniform ... e-integral

Désolé, mais pour Ernst HOCK je n’ai rien trouvé, cela ne veut pas dire qui il n’y a rien, mais personnellement je n’ai rien vu.
Bien amicalement
Prosper

http://www.lexikon-der-wehrmacht.de/Gli ... AOK7-R.htm
Pour ceux qui parlent comme les méchants dans les films ...
http://www.grossostheim-im-krieg.de/htm ... sion2.html

Approximatif ...
Bien entendu, il y a eu aussi des cas tragiques: le caporal Ernst Hock, âgé de 21 ans, né à Großostheim de profession tailleur, est tombé amoureux du travailleur forcé polonais Zofa Stefanijak en 1941, né le 24 septembre 1920 à Ztoczow. Dénoncés par un "cher" citoyen de la Gestapo, Großostheimer, Stefanijak et Hock ont ​​été arrêtés le 5 juillet 1941 par la Gestapo de Würzburg pour diffamation de l'honneur allemand. Hock a été envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen, où il est resté emprisonné jusqu'au 6 octobre. Puis il fut enrôlé en tant que soldat dans l'un des prétendus "tas perdus" (compagnie de probation) et tomba en 1944 à Cherbourg en France. Le destin de Zofa Stefanijak est inconnu. La dernière chose qu'elle sait à son sujet, c'est qu'elle a été emmenée à la prison d'Aschaffenburg. Il faut cependant supposer qu'elle a été exécutée; Le point 7 du dépliant sur les obligations des travailleurs forcés polonais déclare clairement que ceux qui établissent des relations sexuelles avec une Allemande ou un Allemand, ou les approchent d'une autre manière avec immoralité, seront punis de mort. La peine de mort était généralement appliquée par pendaison.

[Prosper Vandenbroucke]

Merci Alcide, j'avais mis ce lien en ligne.

Excuse-moi, vire mon post si ça gêne.

[Prosper Vandenbroucke]

Pas de soucis, cela ne me gène nullement Alcide, ce n'était qu'a titre d'information!!!!!!!
Cela fait juste doublon mais ce n'est pas gênant

Bonsoir,

Ce qui est étonnant, c'est que le Sturmbataillon AOK 7 n'avait rien d'une unité
disciplinaire, mais peut être assimilée, au moins dans sa première mouture jusqu'en juin 44,
à une unité d'élite mis sur pied par la Waffenschule du AOK 7 . Jusqu'à sa montée
au front, ce bataillon servait comme "unité de démonstration" dans laquelle les
chef de bataillon et les chefs de compagnie de l'armée faisaient l'apprentissage de
nouvelles tactiques ou de nouveaux armements .

Roger

Merci à mes trois interlocuteurs pour leurs réponses dont je regrette de n'avoir pris connaissance que tardivement.
S'agissant du destin de SOFIA STEFANIAK ,je suis on ne peut mieux en mesure de témoigner qu'elle fut épargnée de la pendaison.Arrêtée par la "gestapo ",elle fut jugée et condamnée à l'internement au camp de Ravensbruk dont elle fut élargie parla suite pour être soumise au travail forcé comme "stuck"à l'usine "KARL KOCH"à Gardelegen près de Magdeburg .Quant à "l'obergefreiter "ERNST HOCK,les informations confuses et contradictoires sur son destin expliquent le besoin de précisions complémentaires éprouvé lorsqu'il existe un lien entre ce destin et une histoire.
Bien cordialement à vous trois,
R.C.D.

Merci à mes trois interlocuteurs pour leurs réponses dont je regrette de n'avoir pris connaissance que tardivement.
S'agissant du destin de SOFIA STEFANIAK ,je suis on ne peut mieux en mesure de témoigner qu'elle fut épargnée de la pendaison.Arrêtée par la "gestapo ",elle fut jugée et condamnée à l'internement au camp de Ravensbruk dont elle fut élargie parla suite pour être soumise au travail forcé comme "stuck"à l'usine "KARL KOCH"à Gardelegen près de Magdeburg .Quant à "l'obergefreiter "ERNST HOCK,les informations confuses et contradictoires sur son destin expliquent le besoin de précisions complémentaires éprouvé lorsqu'il existe un lien entre ce destin et une histoire.
Bien cordialement à vous trois,
R.C.D.

C'est plus qu'une surprise, je suis tellement habitué au pire , dans de telles situations humaines, infligé par les sbires du 3e Reich que le fait qu'elle est survécu en paraît presque incroyable.
Quant au Sturmbataillon 7aok, il était sans aucun doute une unité d'écolage ou de type Lehr, pour la formation des cadres , l'apprentissage à des tactiques nouvelles, mais aussi éprouver et mettre au point les tactiques développées du retour d'expérience.
Mais aussi un bataillon de choc pour des actions décisives et mis en réserve pour agir promptement en cas de débarquement.