Post Numéro: 7 de Loïc Charpentier 12 Juil 2016, 17:17
L'enquête du 13 mai 1940 fait partie de la procédure classique, en cas de disparition "en zone de combat". Plusieurs possibilités sont, dès lors, "ouvertes", tué mais non identifié, "égaré" dans une autre unité -charge à elle d'indiquer sa présence provisoire - , fait prisonnier, désertion éventuelle au feu - attitude passible du conseil de Guerre-. L'état allemand, transmis à l'EM. français, à la fin de la campagne, viendra confirmer que le "susdit" a été fait prisonnier le 13 mai 1940, ce qui entraine, de facto, la fermeture de l’enquête.
En février 1972, à 45 ans, il est dégagé de toute activité militaire (y compris dans la réserve).