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101 Régiment d'infanterie

Vos recherches bibliographiques ou archivistiques vous mènent à une impasse ? Vous avez une question précise à propos d'une source bibliographique, iconographique ou matérielle ? Posez là ici. Elle intéressera certainement les limiers du forum.

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101 Régiment d'infanterie

Nouveau message Post Numéro: 1  Nouveau message de phil37  Nouveau message 26 Déc 2009, 19:02

Bonjour,
Toujours dans le cadre de recherches familiales destinées concernant un membre de ma famille, je cherche tout renseignement et toute information sur la 101ème Régiment d'Infanterie qui a notamment combattu dans le Loiret en juin 1940. Je cherche plus particulièrement des renseignements sur la (ou les) compagnie(s) de mitrailleuses qui se sont distinguées au combat les 10 et 11 juin. Selon mes sources, l'une de ces compagnies aurait été fait prisonnière le 18 juin 1940 dans la localité de Ladon.
D'après ce que j'ai pu trouvé jusqu'ici, le 101 RI était en 1939 un régiment de réserve.
J'ai aussi trouvé le lien suivant sur ses combats en juin 1940 à la page suivante :
http://pagesperso-orange.fr/gatinais.hi ... guerre.htm
Un grand merci d'avance à toutes et tous.
Cordialement
Philippe


 

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Re: 101 Régiment d'infanterie

Nouveau message Post Numéro: 2  Nouveau message de Prosper Vandenbroucke  Nouveau message 26 Déc 2009, 22:24

Bonjour Philippe,
Le 101ème R.I. appartient à la 41ème D.I. (Général Bridoux) attachée au 18 Corps d'armée de la 2ème Armée Française. C'est effectivement un régiment de réserve A du type Nord-Est.
Ces quelques infos proviennent du site ATF 40
http://www.atf40.fr/ATF40/
Malgré des recherches sur Google, je n'ai rien trouvé de plus.
Comme tu fais une recherche au sujet d'un membre de ta famille, il est possible que tu puisses obtenir des renseignements auprès de la Caserne Bernadotte à Pau. Je dis cela sans aucune garantie car je ne suis pas au courant des arcanes de la législation française en la matière
Amicalement et bonnes recherches
Prosper ;)
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Re: 101 Régiment d'infanterie

Nouveau message Post Numéro: 3  Nouveau message de Daniel Laurent  Nouveau message 27 Déc 2009, 06:17

Bonjour,
Philippe, as-tu obtenu une copie du dossier militaire de cette personne ? Comme tu es membre de sa famille, tu en as tout a fait le droit.


 

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Re: 101 Régiment d'infanterie

Nouveau message Post Numéro: 4  Nouveau message de Anne  Nouveau message 04 Déc 2014, 16:21

Bonjour Philippe,
Peut-être un peut tard...
je viens de lire "l'auto biographie" de mon grand-père, et il semblerait qu'il faisait partie de ce régiment.
Ci-dessous les informations qu'il nous a laissé. Je n'ai fait aucune vérifications, je ne connais donc pas l'exactitude des noms et dates:
(copié-collé de son mémoire)

- 28 mai : Capitulation de la Belgique. Défection de l’armée anglaise GORTH.
- 30 mai : Dans le sous secteur XIVRY, relève du 101e R.I. par le 12e Zouaves.
- 31 mai - 3 juin : Cantonnement à REVILLE-aux-BOIS, marche de 25 km.
- 4 juin : BETHINCOURT (mort homme cote 304)
- 5 juin : VARENNE : Cantonnement à COURCELLE après un trajet à vélo la nuit.
- 8 juin : Départ de COURCELLE le soir pour mouvement rapide, par camion, de toute la division d’infanterie.
- 9 juin : Embarquement à 11 km, près de CLERMONT-EN-ARGONNE, direction rivière MARNE.
- 10 juin : Longue attente sur les routes, en plein soleil, pendant le survol d’avions ennemis, sans mitraillage ni bombardement ; une grande chance. Il n’en n’est pas de même par ailleurs ; de nombreuses ambulances nous croisent. Débarquement du P.C. à CHARLY à 104 km. Rédaction des opérations.
A 10h 30, le 1er bataillon est au contact. Toutes sortes de troupes descendent, alors que nous montons en ligne : fantassins sans armes, à cheval, sur voiturettes, sur chenillettes, à pied, artilleurs avec ou sans leurs canons, hommes isolés et même officiers. Ils viennent de SOISSONS, se battant en faisant retraite ; sans ravitaillement, vivres et munitions depuis deux jours. Ce sont ces hordes que nous devons relever !
Nous-mêmes, sans ravitaillement depuis la veille, devons forcer les boutiques dans la ville, entièrement évacuée, sous l’oeil bienveillant des gardes mobiles chargés de la circulation.
Le P.C. se déplace à LUCY-LE-BOCAGE (Nièvre) à 14 h. La première impression de grande pagaille se dissipe, les fuyards étant déjà passés ou prisonniers. L’ennemi est au contact de nos 1e et 2e bataillon, le 3e en réserve. Nous n’avons trouvé aucune position organisée et devons nous installer rapidement. Journée fiévreuse en résumé, étant donné la proximité de la bagarre.
- 11 juin : Dans la nuit, léger recul, vive canonnade. A midi, sur ordre, repli sur COUPRU. Fait un prisonnier. A 16 h nouveau repli sur DOMPTIN. Toute la journée, de sérieux engagements, de nombreuse pertes, tués et blessés que l’on ne peut encore évaluer. Certains groupes doivent même être abandonnés du fait de reculs provoqués par l’ennemi très supérieur en nombre. Le sergent DECONNINCK, ancien du P.C. de 5e R.I., est tué. Le P.C. du 3e bataillon est touché par l’artillerie : les capitaine et lieutenant adjoint, l’adjudant et des motocyclistes sont gravement blessés.
De DOMPTIN, liaison difficile avec les bataillons tous engagés. Une section entière de la 5e compagnie est disparue. Après avoir enfin pu toucher tous les bataillons, décrochage à la nuit noire.
Passé CHARLY, franchi la MARNE, nous pensons en avoir fini pour un temps, la résistance devant être organisée derrière la Marne. Là l’ennemi devrait être cloué sur place.....
- 12 juin : Cruelle déception lorsqu’au petit jour, toujours sur la route, nous ne rencontrons âme qui vive. Installation du P.C. à LA NOUE ( Seine et Marne). Le régiment prend position derrière la MARNE. Faisons sauter le pont. L’ennemi, maintenu sur l’autre rive, reste très actif. Incessants bombardements d’artillerie de part et d’autre. Notre repli n’a évidemment pas été assez rapide. Les hommes, quoique « crevés » doivent se maintenir sur place.
CHÂTEAU-THIERRY serait déjà aux mains de l’ennemi.
- 13 juin Dans la nuit, les boches franchissent la Marne. Réussite d’une contre attaque commandée par le Capitaine KAIGRE, 5e compagnie. Appui de 3 chars. Celui-ci est tué à la tête de ses hommes, le Capitaine BINET, très grièvement blessé.
A 10 h, repli à PETIT-VILLIERS. Position occupée : route départementale 407, de la FERTÉ-SOUS-JOUARRE à MONTMIRAIL.
A 14 h, repli pour passer le GRAND MORIN. 20 ponts pour le Secteur du Régiment.
Déjà beaucoup d’hommes s’égarent ou, la fatigue aidant, restent dans les fossés. Mais il n’y a pas à dire, il faut marcher ! vu, au passage, les villages rapidement évacués par leurs habitants.
Quel cauchemar ! Itinéraire : BOITRON, LA TRÉTOIRE, REBAIS, LA VANNE, ST SIMEON.
Pour l’Etat Major du Régiment, en voiture ou camion secrétariat pour les officiers ; pour l’Adjudant chef GUILLEMOT et moi, à moto (elles assurent les liaisons) ; mais pour la troupe, à pied.
Cantonnement du P.C. à St RÉMY de la VANNE (Seine et Marne). Les unités sont au bivouac dans les bois. Il est naturellement impossible de faire prendre position aux hommes après de telles marches forcées, coupées de contre-attaques. Au P.C la nuit se passe à attendre les ordres de repli qui tardent, l’ennemi pouvant nous surprendre, n’étant pas couverts par un obstacle naturel. Sans surprise cependant.
- 14 juin : Après des difficultés pour le ravitaillement en essence du P.C., départ vers 7 h.
Marche forcée qui permet à la Division de franchir la SEINE (55 km).
CHAMBONNOIS, CHOISY-EN-BRIE. Là se situe le départ de l’Adjudant Chef GUILLEMOT qui volontairement part à moto avec le sergent-chef LECOMTE, pour s’occuper de ravitaillement en vivres, essence et campement. Destination la C.H.R. (compagnie hors rang) en bivouac dans les bois de BRAY-SUR-SEINE. Nous ne l’avons pas revu.
CHEVRU, FRETOY, BANNOST, grand-halte en forêt de JOUY, CHENOISE,
CUCHARMOY, LA CHAPELLE, ST SULPICE, ST LOUP, SEGNOLLES, CESSOY.
L’ennemi nous talonne à tel point que l’itinéraire change 2 fois dans la journée. Entre-temps, le PETIT MORIN est franchi.
DONEMARIE : ici encombrement inextricable des routes par les populations civiles qui viennent de débarquer d’un train et sont complètement affolées. Où aller ? Elles ne savent. A DONEMARIE notre 3e bataillon est stoppé par des blindés légers. Donc changement d’itinéraire.
Là nous perdons notre officier de renseignement, Lieutenant MAGILL et son motocycliste, PORTET, probablement faits prisonniers.
CHATENAY-LA-CHAPELLE, LA TOMBE, franchissement de la SEINE, après quoi nous espérons nous reposer. Les ponts sautent. Contre-ordre : il faut poursuivre la retraite.
- 15 juin : A 5 h du matin, ce qui reste de la Division a passé l’YONNE à MISY-SURYONNE.
Bombardement du pont par avions italiens (les SALAUDS !) et mitraillage. Nombreux civils tués ou blessés. Ma première grosse alerte personnelle : une bombe est tombée à 20 m environ et a coupé le pont au bout duquel se trouve le P.C. Embouteillage extraordinaire sur place, pour le passage impossible de ce pont.
Sur plusieurs kilomètres et 4 colonnes de largeur sur la route d’accès, civils et militaires sont bloqués. C’est un désordre jamais vu encore ! Je pensais retrouver l’Adjudant-chef GUILLEMOT dans cette région : personne et il me faut perdre mes illusions ; il est purement et simplement allé se mettre à l’abri...
VILLENEUVE-la-GUYARDE : encore de gros dégâts causées par les bombardements et beaucoup de victimes.
CHAMPIGNY-sur-YONNE, VILLEMANOCHE. Égaré avec mon motard, je cherche un officier du P.C., le Régiment se trouvant dans les environs. Passage à PONT-SUR-YONNE, coquette ville gravement ravagée par des bombardements aériens. Là encore, nombreux civils et militaires tués ou blessés. Les avions italiens continuent à mitrailler. Un gros réservoir d’essence flambe encore qui, la nuit dernière, éclairait de ses lueurs sinistres. Je rencontre enfin le Commandant MORIN, chef du 2e bataillon.
Installation du P.C. à FOSSOYE. Le régiment a pour mission de prendre position de l’autre côté de l’YONNE. Sans aucun repos depuis plusieurs jours, les hommes ne peuvent même plus se tenir éveillés. De même pour moi, tous mes actes sont effectués inconsciemment, comme dans un songe.
L’ennemi ne tarde pas à se révéler, aurait franchi l’Yonne l’après-midi et occupé PONTSUR-YONNE, à droite de notre Secteur. Cela ne va pas sans de nouvelles pertes de notre côté, après une marche de 70 km en 24 heures.
Le soir du 15, nouveau repli en direction de BAZOCHE.
- 16 juin - Marche dans la nuit du 15 au 16 : BRANNAY-DOLLOT. Le 16 au matin, les 3e bataillon, CDT et CRE font halte à DOLLOT et reçoivent la mission d’assurer l’arrière garde de la division. A plusieurs reprises les liaisons par motocyclistes se trouvent coupées avec le gros de la Division. Cependant le Lieutenant DELACROIX, notre officier de liaison, parvient à passer avec l’ordre de repli dans l’après-midi.
Départ à 16h, CHEROY-JOUY les BORDES où nous rejoignons les autres éléments du Régiment. Il faut passer le LOING et la marche, ininterrompue depuis longtemps, continue toujours sans ravitaillement. Les cuisines roulantes ont été perdues à BRAY-SUR-SEINE ;
BRANSLES - DORDIVES (Loiret) - NANGIS. Partout, des civils affolés, exténués comme nous, talonnés par l’ennemi, en outre ne sachant plus où aller. Nous traversons des villages incendiés par les bombardements aériens. Et encore des victimes militaires et civils jonchent les fossés le long des routes. Le LOING est franchi dans la nuit, aux environs de PREFONTAINE. Les ponts sautent là aussi. Arrivée dans cette localité. - 17 juin. Encore une nuit blanche. Le régiment bivouac aux alentours et nous attendons les ordres. Confiants et DISCIPLINÉS.
Dans la nuit du 16 au 17, le Général BRIDOUX commandant la 41e Division d’Infanterie, réunit les Chef de Corps. D’après certaines rumeurs, il aurait eu l’intention de poursuivre la retraite pour nous faire passer la Loire, à 60 kms de là. Le Lieutenant-Colonel BROSSE, commandant le Régiment, rappelle que les hommes sont à bout et ne peuvent plus marcher, après une semaine entière de combats et de replis. Décision : laisser les hommes au bivouac et, au matin, reprendre position. L’ennemi nous talonne toujours. Les civils, toujours plus nombreux, voient des espions partout.
Au petit jour, à 2 km de GONDREVILLE, le Régiment prend position en rase campagne. Aussitôt, le contact. Au P.C. chacun creuse son trou pour se mettre à l’abri. Les bataillons demandent des munitions : il n’y en a plus !
Nous restons là peu de temps. Vers 11 heures, le Régiment se regroupe sur la route, en direction de GONDREVILLE. Le Colonel est là, au bord de la route, admirant ses hommes, encore debout.
Ce qui reste de la Division s’engage dans l’unique rue de GONDREVILLE. L’avant-garde, à la sortie du village, est reçue à coup de mitrailleuse. Il faut rechercher ces armes automatiques pour les neutraliser et poursuivre. Peu après, de partout nous sommes cernés. Toutl’Etat-Major de la Division et celui du Régiment sont présents là. Le Général BRIDOUX tente une sortie en voiture : son chauffeur est tué !
Les boches nous renvoient un soldat, qu’ils avaient fait prisonnier, avec un message pour le Général : se rendre avant 15 heures, sinon nous serons soumis à un violent bombardement d’artillerie. Le Général ne répond pas.
Peu après, nous sommes survolés par des avions ; mais ils ne nous inquiètent pas. Un tir de mortier ramène dans les caves ceux qui ne sont pas en position autour du village.
Là se place ma seconde chance d’être revenu de ce carnage. Le P.C., y compris le Colonel, se trouve juste à l’entrée d’une cave dans laquelle, tout naturellement, je me précipite.
Mais elle est déjà pleine et je ne puis entrer m’y mettre à l’abri. Le soldat VOGADE, dessinateur au P.C., m’indique une autre cave, qu’il a repérée. Courant, nous y allons tous deux. Nous venons de franchir 50 mètres en quelques secondes. Sifflement brutal ! Aussitôt, plongeon à terre : pas un trou, uniquement le sol battu. Violente détonation, là, tout près. Cris de douleur. Des pierres et de la terre sur mon dos. La fumée se dissipe. Encore un bond et voici cette cave où
nous pouvons nous remettre de nos émotions. D’autres hommes arrivent. Là, tout près où nous nous étions jetés à terre, cinq pionniers sont tués. Je l’ai donc échappé belle : je me trouvais à 4 mètres.
Diverses nouvelles nous parviennent dans cette cave. Les sapeurs du 10e Génie viennent de se rendre. Il est évident que, immobilisés, nous n’avons plus d’issue.
Le bombardement par mortiers cesse. A 16 heures 40, avec le Colonel et son état-major, nous nous rendons à l’ennemi. Sans songer à la honte qui devrait nous accabler, nous n’avons qu’une idée en tête : se reposer ENFIN !

Cordialement
Anne


 

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Re: 101 Régiment d'infanterie

Nouveau message Post Numéro: 5  Nouveau message de Jumbo  Nouveau message 04 Déc 2014, 17:24

Oui Anne, un peu de retard puisque le post initial de Philippe date de décembre 2009 et qu'il n'est plus membre du forum. Cependant tes infos pourront peut-être servir à d'autres qui font des recherches sur un parcours comme toi. ;)
"Dans les situations critiques, quand on parle avec un calibre bien en pogne, personne ne conteste plus. Y'a des statistiques là-dessus." (Jean Gabin) Mélodie en sous sol

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Re: 101 Régiment d'infanterie

Nouveau message Post Numéro: 6  Nouveau message de dynamo  Nouveau message 04 Déc 2014, 22:20

C'est une belle évocation de ces unités d'infanterie prises dans une retraite interminable jusqu'à l'inéluctable reddition .
La dictature c'est "ferme ta gueule", et la démocratie c'est "cause toujours".
Woody Allen.

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