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"André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Vos recherches bibliographiques ou archivistiques vous mènent à une impasse ? Vous avez une question précise à propos d'une source bibliographique, iconographique ou matérielle ? Posez là ici. Elle intéressera certainement les limiers du forum.

MODÉRATEUR: Dog Red

Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 231  Nouveau message de brehon  Nouveau message 26 Juin 2017, 11:37

Bonjour Bernadette,
Beogles a écrit:Ici il apprend à se servir du canon 155 "de Marine". Il dit "Nicolas, Deplagne et moi étions habitués à l'artillerie". Mais le canon, c'est de l'artillerie. Alors à quoi était-il habitué ? Quelle avait été sa formation en artillerie ?


Cela signifie qu'avant d'être muté au 185e RALT ton père faisait partie d'un régiment qui n'était pas doté du 155mm de Marine. Il a donc eu, ainsi que d'autres, artilleurs d'origine ou pas, à se former sur ce matériel.
Cordialement.
Yvonnick

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 232  Nouveau message de iffig  Nouveau message 26 Juin 2017, 12:15

Re

Concernant Verdun interdite aux convois militaires : de façon générale, on évite de faire traverser les villes par des convois militaires.
C'est un peu un principe, comme les tranchées en zig-zag.

Les villes sont trop malcommodes à traverser par des convois ; la circulation militaire de la place gênerait les convois (et vice-versa) ; en outre les autorités veulent éviter les victimes civiles qui résulteraient du bombardement d'un convoi militaire pendant qu'il traverse une ville. Il y a toutes sortes de raisons encore.


Il est assez normal qu'un contournement ait été mis en place.
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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 233  Nouveau message de Dog Red  Nouveau message 26 Juin 2017, 12:48

Pour les événements du 16 (au fait... n'as-tu pas la date exacte ?), soit "alerte ou exercice", il y a de fortes chances pour que cela ait été une fausse alerte. La Drôle de guerre n'en a pas manqué.
A tel point qu'en Belgique, l'alerte du 10 mai 1940 n'a pas été considérée avec zèle de bout en bout de la frontière. Il a dû en être de même en France jusqu'au franchissement de la frontière par la Luftwaffe.

Si tu pouvais préciser le mois de ce fameux "16", il serait plus facilement possible de trancher.
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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 234  Nouveau message de Loïc Charpentier  Nouveau message 26 Juin 2017, 16:38

Halte au feu! Cà fait beaucoup de question formulées en même temps! ::mortderire::

Si je me réfère au "texte", les pièces (canons de 155 mm Modèle 16), après avoir été sabordées sur site et sur ordre, avaient été abandonnées. Sous toute réserve de texte supplémentaire, le personnel de la batterie n'avait, donc, retraité qu'avec ses seuls véhicules légers, camions et tracteurs ... qui avaient été chargés sur un train - les véhicules sur des wagons-plateaux, la troupe dans des wagons de marchandises (fermés) (hommes, quarante, chevaux en long, huit), les sous-officiers, dans des wagons de 3ème ou 2ème classe, les officiers, dans des wagons de 1ère classe (ou de 2ème classe, si la "SNCF" n'avait rien d'autre sous la main! Cela dit, on trouvait, "assez" facilement, un wagon de 1ère, pour ces messieurs, du temps où il existait trois classes de wagons de voyageurs).

Les priorités de circulation des convois ferroviaires, en temps de guerre, font un peu partie des mystères de la "Seuneuceufeu". Elle était sensée satisfaire aux nombreux ordres et injonctions du Grand-Quartier-Général, qui classait, en priorité N°1, les convois de matériels, de munitions, de renfort, montant "au front", et, en priorité X, les convois d'unités "débandées" refluant vers l'arrière, dans l'optique d'une "future" réorganisation. Dans un tel contexte, ces derniers étaient dirigés sur des voies secondaires et des détours interminables, pour éviter d'entraver la circulation sur les voies, considérées comme "prioritaires" (montée vers le front). En plus, il ne faut pas oublier que les "réfugiés" s'étaient, eux-aussi, accumulés dans les gares et prenaient d'assaut les convois "civils" pour essayer de s'éloigner des zones de combat. Bref, un aimable "boxon", car il fallait que toutes les locomotives de ces convois ferroviaires - pour qui il fallait trouver des wagons! - puissent se ravitailler, à échéance régulière, en eau et en charbon ; ce qui, vu le nombre de convois civils & militaires, devait tenir du casse-tête logistique, car il était, également, indispensable de ravitailler les dépôts de charbons, soit par la route, soit par voie ferrée! ::mal-a-la-tete:: En plus, les équipes de cheminots devaient être relevées, régulièrement, même en tirant sur la ficelle pour leur temps de travail (ce qu'ils ont fait sans râler).
A tout celà, il faut rajouter les destructions de voies ferrées par la Luftwaffe, les chefs de gare qui n'ayant, toujours, pas reçus les ordres relatifs à l'acheminement des convois, s'en tenaient, strictement aux consignes qu'ils avaient reçues... pas d'ordre à votre sujet, vous restez là! J'ai cru "comprendre" que des convois de chars "prioritaires" étaient restés, faute d'ordre réceptionné, coincés en rase-campagne!

La batterie de ton "Pôpa" a, après son périple ferroviaire, été, semble-t-il, rééquipée avec du nouveau matériel, qu'ils avaient récupéré en gare mais qui a leur posé problème, car, apparemment, ce n'était pas le même matériel que celui qu'ils servaient, auparavant (mise en batterie et service de la pièce différents). En principe, la "gestion" opérationnelle du matériel était du ressort de l'encadrement (officiers) des batteries - qui était instruit des différents modèles de pièces en service dans l'artillerie de campagne française - en ce cas précis, les différents modèles existants de 155 mm - et, réglementairement, disposer des manuels réglementaires de manoeuvre, pour "aider" leurs équipes. Mais, d'après ce que j'ai cru comprendre des "extraits", du côté des gradés "à galons dorés horizontaux", l'ambiance était à l'incompétence (coupable) crasse!

En ce qui concerne le “propriétaire à l’armée”, il s'agissait d'un vieux kroumir, sous-officier artilleur engagé, qui, très probablement, ancien de 14-18, considèrait que la pièce et sa mise en œuvre constituaient son domaine privé de compétence (ou d'incompétence, vu de l'autre côté). Ce genre d'individu, assez connu, tant dans le privé qu'au sein de l'armée, a tendance à garder, par devers lui, ses "connaissances" - sentiment de supériorité à la c.. ! -, sans les partager avec les "bleus" et les "réservistes". C'est une attitude lamentable, mais elle continue, néanmoins, à se pérenniser. Dans les années 70-80, elle avait constitué un des éléments (subjectifs) de la mise à la retraite "anticipée" - grassement indemnisée - de nombreux "petits cadres" (chef de bureau, petits chefs de services), incapables de transmettre leur "savoir" à de potentiels successeurs.

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 235  Nouveau message de iffig  Nouveau message 26 Juin 2017, 16:56

Loïc Charpentier a écrit :

Ce genre d'individu, assez connu, tant dans le privé qu'au sein de l'armée, a tendance à garder, par devers lui, ses "connaissances" - sentiment de supériorité à la c.. ! -, sans les partager avec les "bleus" et les "réservistes". C'est une attitude lamentable, mais elle continue, néanmoins, à se pérenniser. Dans les années 70-80, elle avait constitué un des éléments (subjectifs) de la mise à la retraite "anticipée" - grassement indemnisée - de nombreux "petits cadres" (chef de bureau, petits chefs de services), incapables de transmettre leur "savoir" à de potentiels successeurs.



Je vois le genre ..... :roll:
Par ailleurs, une des questions posée concerne le fait que le père de Bernadette était logé dans un appartement et non à la caserne.
C'est une pratique assez courante chez les sous-officiers et officiers : lorsque leur unité est statique pendant un certain temps et que le casernement est
déficient, ils peuvent loger en ville.

Par ailleurs encore, les étudiants Serbes aux svastikas faisaient peut-être partie de Jugoslavenski Narodni Pokret, un mouvement fasciste yougoslave, dirigé par un Serbe, Dimitrije Ljotić ; ou bien ils essayaient de le faire croire ; ou bien non. C'est un mystère qui risque bien de rester non-résolu :mrgreen:
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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 236  Nouveau message de Loïc Charpentier  Nouveau message 26 Juin 2017, 17:07

iffig a écrit:
Je vois le genre ..... :roll:
Par ailleurs, une des questions posée concerne le fait que le père de Bernadette était logé dans un appartement et non à la caserne.
C'est une pratique assez courante chez les sous-officiers et officiers : lorsque leur unité est statique pendant un certain temps et que le casernement est
déficient, ils peuvent loger en ville.



...Billet de logement, établi par la garnison locale! :D
En principe, l'hébergeur était dédommagé par l'armée, mais en juin 1940, çà avait, peut-être, posé problème.

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 237  Nouveau message de iffig  Nouveau message 26 Juin 2017, 17:10


Le père de Bernadette a écrit :

je quitte l'appartement si aimablement offert par M. et Mme Charrier.



Billet de logement ou bien le système D.
Cela a l'air de dater d'une époque où les choses se mettent en place, pas de la campagne de mai-juin 40
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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 238  Nouveau message de Loïc Charpentier  Nouveau message 26 Juin 2017, 17:33

iffig a écrit:

je quitte l'appartement si aimablement offert par M. et Mme Charrier.



Billet de logement ou bien le système D.
Cela a l'air de dater d'une époque où les choses se mettent en place, pas de la campagne de mai-juin 40


Effectivement, il y avait les deux versions, bénévolat ou réquisition. En général, le bénévolat était, en partie, compensé par des "cadeaux" de l'hébergé.
Il existait, même en 39-40, une solidarité patriotique, dans la population provinciale frontalière, notamment chez les personnes qui avaient vécu la Der des Ders.
La réquisition par billet de logement ou la mise à disposition par bénévolat, avait du être mise en place, dès l'été 1939, voire, même, bien avant, au niveau des mairies; c'est pour çà que je parlais de la garnison locale, l'unité expédiée, par exemple, de Clermont-Ferrand, n'avait, elle, aucune connaissance locale particulière. En cherchant bien, on devrait dénicher des listes de "réquisitions de logements civils" ( pour officiers et sous-officiers, exclusivement), dans les départements frontaliers.

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 239  Nouveau message de Loïc  Nouveau message 26 Juin 2017, 18:10

En août septembre 1939 vu le nombre d'hommes rappelés (4 à 5 millions) à l'échelon national, cela dépasse souvent au niveau local les capacités d'hébergement des villes de garnison traditionnelles , en l'occurrence dans le Puy-de-Dôme, Clermont-Ferrand, Riom et Issoire
aussi certains régiments comme le 185e RALT achèvent leur mise sur pied dans des cantonnements à la périphérie (granges, écuries, et autres bâtiments de type collectif écoles, institutions colonies de vacances) :
ainsi le 185e à Lempdes et Pont-du-Château qui d'ailleurs abritait un camp militaire dans les années 1870-1875

Salutations
Loïc Lilian
Dernière édition par Loïc le 26 Juin 2017, 18:14, édité 2 fois.

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 240  Nouveau message de Loïc Charpentier  Nouveau message 26 Juin 2017, 18:12

DEPART EN TRAIN ET DEBARQUEMENT

" 0 h 30 le train démarre. Je ne parlerai pas ici du trajet. Il fut ce que peut être un tel trajet. Où allions nous, personne n’en savait rien. Officiers, s.officiers étaient dans des wagons de voyageurs, les hommes dans les classiques huit chevaux - 40 hommes. Du temps de guerre. Les ordres arrivaient à certaines gares et nous expédiaient quelque 100 km plus loin. Cosne2, Auxerre, Troyes… Nous allons vers l’est. Personne ne réalise le danger qu’il aurait couru si l’aviation s’était mise de la partie. Panzani, encore lui, continue à faire de siennes, donnant des ordres ridicules tout en tremblant dans sa culotte. Minuit… nous voici arrivés. Nous sommes à Vienne-la-Ville. Il fait une nuit sombre, il faut débarquer. Manoeuvre facile avec un quai latéral. En demi-heure tout devrait être fini. Mais le capitaine est toujours là. Il ne connaît rien au matériel mais veut commander. Total : il faut trois fois plus de temps, on risque l’accident à chaque moment, les hommes fatigués s’énervent ou se cachent… la guerre s’annonce bien !"

Il s'agit du train qui mène le 185e de Clermont-Ferrand vers Vienne-la-Ville où ils "débarquent".

Est-ce que je peux en conclure que les pièces étaient également chargées dans le train et que, lorsque, par la suite il dit "Le tracteur avance lentement" je peux supposer que le tracteur tractait une pièce d'artillerie ?


Ah, oui, mais, en plagiant Anne Roumanov, ... on ne nous dit pas tout! ::mortderire::
En fait, il s'agit du trajet "Aller" (vers le "front"), en septembre 1939!
Cela dit, çà ne change pas grand-chose au "bordel" ferroviaire ambiant, déjà, décrit, sauf que la Luftwaffe, à cette époque, était très occupée en Pologne!
Voui, dans la mesure du possible, le personnel et son matériel voyageait sur le même train, quand il s'agissait d'une "petite unité". Sinon, pour l'acheminement ferroviaire d'une division au complet, il fallait compter entre 60 et 70 trains!
Sinon, il existait deux façon de charger et décharger un train, soit à partir d'un quai latéral - comme pour un train de voyageurs - soit à partir d'un quai "d’extrémité"; dans ce dernier cas, le premier wagon-plateau vient se positionner sur les butoirs du quai et le matériel est chargé, à la queue-leu-leu, sur la file de wagons, en progressant vers le wagon-plateau de queue. Cà marche, sans problème, avec des chars ou des camions, c'est plus "pointu", avec du matériel en remorque. C'est, nécessairement, plus long. Une fois, le convoi de matériel chargé et dégagé du quai, la loco, sur une voie d'aiguillage, peut se positionner à l'avant du convoi (avec les wagons de "passagers"), selon la direction de son trajet et du réseau d'aiguillage.
Même avec un quai de chargement et déchargement latéral, ce dernier n'est pas, toujours, au même niveau que les wagons; c'est là que çà se complique, car il faut mettre en place des "passerelles".

Voui, il s'agit du remorquage sur route des pièces d'artillerie par leurs tracteurs; soit ces derniers manquaient de puissance et de motricité, soit ils étaient trop "engagés" sur l'arrière, empêchant le ou les essieux-moteur de faire leur boulot; dans l'armée allemande, ils avaient l'habitude de bien charger le plateau du tracteur, pour éviter qu'il ne se retrouve les roues avant, "en l'air". Je ne suis pas certain de me faire bien comprendre! ::mortderire::

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