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"André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Vos recherches bibliographiques ou archivistiques vous mènent à une impasse ? Vous avez une question précise à propos d'une source bibliographique, iconographique ou matérielle ? Posez là ici. Elle intéressera certainement les limiers du forum.

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 221  Nouveau message de Beogles  Nouveau message 25 Juin 2017, 16:54

"avec les disponibles" : que veut-il dire ?

Après l’émotion provoquée par les bruits de guerre de septembre 38 et l’entrevue de Munich1 je pars enfin pour la maison. Hélas, cinq mois, cinq mois bien courts, m’amènent au 20 mars 1939. Je dois rentrer à nouveau… ça chauffe encore. L'accueil ? Celui d’égoïstes et de jaloux tout heureux de voir arriver du monde qui va les soulager dans leur service et à l’occasion payer quelque apéritif. Des preuves : j’ai pris en un mois plus de services qu’en quatre ou cinq mois de mon active. L’adjudant chef Bayard dit lors de la première entrevue avec les disponibles : “pour moi vous êtes des bleus, des vrais bleus”...

"J'essaie de partir avec mon régiment. C'est impossible".

Pourquoi était-il impossible de partir avec son régiment ?

"Pendant 15 jours me voilà travaillant au centre mobilisateur. J’inscris les arrivants et les fais acheminer vers leur cantonnement. Ce régime ne peut durer. Je suis jeune, ma place n’est pas là. J’essaie de partir avec mon régiment. C’est impossible. Finalement il est demandé quatre sous-officiers pour aller au 185e d’artillerie lourde cantonné à Pont-du-Château. Je suis volontaire ."

La force de l’armée, la discipline, était sapée par l’esprit civil. Le mal était irréparable. Le 185e ne faisait pas exception. Il fallait user de diplomatie ; éviter d’avoir l’air de commander. Moyennant quoi on arrivait à quelque résultat. Mais ce n’était pas du solide. Qu’allait-il arriver au moindre coup dur ? D’où cette grande discussion avec cet ami Marcoux. “L’armée n’a aucune discipline, c’est dégoûtant, ce n’est plus l’armée”. Il avait parfaitement raison. Je m’en rends compte beaucoup plus maintenant. Mais à l’époque je parlais en s.officier ayant eu à lutter contre l’état d’esprit signalé plus haut. D’autre part que pouvait faire l’armée quand son gouvernement sape le fondement de sa force. Rien. La France était pourrie dans tous ses rouages.

Que veut dire mon père par "Que pouvait faire l'armée quand son gouvernement sape le fondement de sa force" ?
En quoi le gouvernement sapait-il le fondement de la force de l'armée, qui, clairement, pour mon père, est la discipline.


 

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 222  Nouveau message de brehon  Nouveau message 25 Juin 2017, 17:19

Bonjour,
Beogles a écrit:"J'essaie de partir avec mon régiment. C'est impossible".

Pourquoi était-il impossible de partir avec son régiment ?

"Pendant 15 jours me voilà travaillant au centre mobilisateur. J’inscris les arrivants et les fais acheminer vers leur cantonnement. Ce régime ne peut durer. Je suis jeune, ma place n’est pas là. J’essaie de partir avec mon régiment. C’est impossible. Finalement il est demandé quatre sous-officiers pour aller au 185e d’artillerie lourde cantonné à Pont-du-Château. Je suis volontaire ."

Ton père était affecté au centre mobilisateur et il aurait préféré être dans son régiment. Mais ce n'était pas lui qui décidait de son affectation.
Le fait qu'il se soit porté volontaire pour le 185e RAL laisse à penser qu'il n'en faisait pas partie auparavant. D'où l'intérêt de la démarche que je t'ai suggérée par MP il y a quelques jours.
Cordialement.
Yvonnick

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 223  Nouveau message de Loïc  Nouveau message 25 Juin 2017, 19:24

il y'a toujours besoin d'un noyau de jeunes cadres pour brasser avec des unités où il y'a en a moins,
il devait être avec le 16e RA de Clermont-Ferrand, un régiment d'active qui accouche en temps de guerre du 216e formé, entre autres, par la batterie et le Groupe auxquels il appartenait (16e batterie = VIe Groupe)
la Fontaine-du-Berger c'est un des deux camps militaires que nous avons en Auvergne, celui-ci est prés de Clermont, les artilleurs y viennent canonner au pied des volcans

les disponibles c'est la fraction des plus des jeunes réservistes ou pour le dire d'une autre façon celle des conscrits libérés du service militaire "actif" depuis peu de temps qui sont naturellement les premiers rappelés en cas de mobilisation, entre les crises qui succèdent en 1938-1939 pour ces classes c'est un peu le va-et-vient entre retours à la vie civile et à la caserne avant la dernière mobilisation d'août septembre 1939 qui y met un terme et doit être la cinquième sur les 2 dernières années

Salutations
Loïc Lillian

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 224  Nouveau message de Loïc Charpentier  Nouveau message 25 Juin 2017, 21:13

Beogles a écrit:Je me permets de revenir un peu en arrière, sur ce que vous m'avez expliqué concernant les canons et les obus
75,105,155 ; que le 77 n'existait plus en 1940 mais correspondait au 105 . Vous m'avez aussi indiqué qu'un tir de 77 (105) aurait dû leur signaler que l'ennemi était très proche.

Est-ce que je peux en conclure que plus le calibre est gros, plus la portée de l'obus est longue ?
Et donc qu'un obus 75 tire encore plus près qu'un obus 77=105 ?

Merci,
b.


Il n'y avait plus de 7,7 cm dans l'artillerie divisionnaire allemande; les batteries légères étaient dotées d'obusiers légers de 10,5 cm (36 pièces), les batteries lourdes d'obusiers de 15 cm (12 pièces)
La portée des pièces lourdes (15 000 m max) était supérieure de près de 5000 m à celle des obusiers légers (10 000 max, pour le 10,5 cm le.FH 18); de ce fait, rien qu'en analysant les débris récupérés ,10,5 ou 15 cm, après le pilonnage, on pouvait, plus ou moins en déduire leur éloignement. C'est de l'approche grossière, certes, mais çà donne, néanmoins, une bonne idée de la position de l'artillerie adverse.

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 225  Nouveau message de thucydide  Nouveau message 25 Juin 2017, 21:25

Loïc Charpentier a écrit:
Beogles a écrit:Je me permets de revenir un peu en arrière, sur ce que vous m'avez expliqué concernant les canons et les obus
75,105,155 ; que le 77 n'existait plus en 1940 mais correspondait au 105 . Vous m'avez aussi indiqué qu'un tir de 77 (105) aurait dû leur signaler que l'ennemi était très proche.

Est-ce que je peux en conclure que plus le calibre est gros, plus la portée de l'obus est longue ?
Et donc qu'un obus 75 tire encore plus près qu'un obus 77=105 ?

Merci,
b.


Il n'y avait plus de 7,7 cm dans l'artillerie divisionnaire allemande; les batteries légères étaient dotées d'obusiers légers de 10,5 cm (36 pièces), les batteries lourdes d'obusiers de 15 cm (12 pièces)
La portée des pièces lourdes (15 000 m max) était supérieure de près de 5000 m à celle des obusiers légers (10 000 max, pour le 10,5 cm le.FH 18); de ce fait, rien qu'en analysant les débris récupérés ,10,5 ou 15 cm, après le pilonnage, on pouvait, plus ou moins en déduire leur éloignement. C'est de l'approche grossière, certes, mais çà donne, néanmoins, une bonne idée de la position de l'artillerie adverse.

Au plus l'obus est allégé et les parois fines, au plus il est destiné à des portées longues?

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 226  Nouveau message de Alfred  Nouveau message 25 Juin 2017, 23:38

Plus la charge propulsive contenue dans la douille est importante plus la portée est longue.Vous augmentez la charge de l'obus et diminuez ses parois pour augmenter l'effet de souffle.
La distance se règle aussi par l'incidence du tube par rapport au niveau horizontal (la hausse)

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 227  Nouveau message de Beogles  Nouveau message 26 Juin 2017, 06:30

Alfred, Thucydide, Loïc Charpentier.
Merci pour les explications concernant la portée des obus.
Bien noté
b.


 

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 228  Nouveau message de Beogles  Nouveau message 26 Juin 2017, 09:22

Je rassemble ici un certain nombre de questions que je me pose au cours de la relecture du document. Je vais donc à la pêche aux réponses.
Et je crois que j'en aurai encore, des questions...


APPARTEMENT OU CASERNE ?

Mon père, alors au 185e RALT de Pont-du-Château, va partir en train, après la mobilisation. Il dit ceci :
"Le temps de Pont-du-Château s'achève". ...le 19 septembre je quitte l'appartement si aimablement offert par M. et Mme Charrier.

Pourquoi était-il dans un appartement et pas à la caserne ?

DEPART EN TRAIN ET DEBARQUEMENT

" 0 h 30 le train démarre. Je ne parlerai pas ici du trajet. Il fut ce que peut être un tel trajet. Où allions nous, personne n’en savait rien. Officiers, s.officiers étaient dans des wagons de voyageurs, les hommes dans les classiques huit chevaux - 40 hommes. Du temps de guerre. Les ordres arrivaient à certaines gares et nous expédiaient quelque 100 km plus loin. Cosne2, Auxerre, Troyes… Nous allons vers l’est. Personne ne réalise le danger qu’il aurait couru si l’aviation s’était mise de la partie. Panzani, encore lui, continue à faire de siennes, donnant des ordres ridicules tout en tremblant dans sa culotte. Minuit… nous voici arrivés. Nous sommes à Vienne-la-Ville. Il fait une nuit sombre, il faut débarquer. Manoeuvre facile avec un quai latéral. En demi-heure tout devrait être fini. Mais le capitaine est toujours là. Il ne connaît rien au matériel mais veut commander. Total : il faut trois fois plus de temps, on risque l’accident à chaque moment, les hommes fatigués s’énervent ou se cachent… la guerre s’annonce bien !"

Il s'agit du train qui mène le 185e de Clermont-Ferrand vers Vienne-la-Ville où ils "débarquent".

Est-ce que je peux en conclure que les pièces étaient également chargées dans le train et que, lorsque, par la suite il dit "Le tracteur avance lentement" je peux supposer que le tracteur tractait une pièce d'artillerie ?

DU TEMPS DE GUERRE

Il devait faire salle temps ce 20 septembre 1939.


NOUS ETIONS HABITUES A L ARTILLERIE

"Neuvilly, aussi curieux que cela paraisse, sera pour nous la période d’instruction. La batterie se composait en effet de gens ignorant totalement le matériel. Le capitaine avait travaillé dans le 75. Les 2 lieutenants Couraud et Duc(dont je n’ai pas encore parlé ne les connaissant pas assez) l’ignoraient aussi. Parmi les s.off, seul le m.d.l chef, Heydet, venant de Belfort connaissait le 155 de Marine. Pougnard, déjà âgé, avait oublié, Nicolas, Deplagne et moi étions habitués à l’artillerie. Les autres, si ma mémoire est fidèle, faisaient partie de l’infanterie ou de tout autre service fort éloigné des canons. "

Ici il apprend à se servir du canon 155 "de Marine". Il dit "Nicolas, Deplagne et moi étions habitués à l'artillerie". Mais le canon, c'est de l'artillerie. Alors à quoi était-il habitué ? Quelle avait été sa formation en artillerie ?

MANOEUVRES DE FORCE

"Jusqu'au 13 octobre.. nous allons nous initier un peu aux manoeuvres de force (le plus difficile) et au pointage (fort facile).

Qu'appelle-t-il "manoeuvres de force" ?

TRAVERSEE DE VERDUN

"Le 19 octobre nous partons pour un nouveau cantonnement : Piennes1. L’itinéraire nous amène à contourner Verdun, la traversée de cette ville étant interdite aux convois militaires."

Pouquoi les convois militaires ne pouvaient-ils pas traverser Verdun ?

"NOS CAMIONS S ANNONCAIENT BONS, LA TRACTION NULLE" - CONTRADICTION ?

C'est contradictoire, il me semble. Si les camions étaient bons, ils devaient avoir une bonne traction, c'est-à-dire, je pense ne pas s'essoufler dans une côte ou quand ils sont chargés.

S'AGISSAIT IL D UN EXERCICE ? VOIR LA DERNIERE PHRASE.

"Le 16 au soir, je vais comme à l’ordinaire me coucher bien tranquillement chez mes hôtes. Toute la nuit passent des convois hippo. Il pleut à torrent. Le matin à 6 h j’entends Nicolas qui m’appelle. “Dépêche-toi mon vieux, nous sommes prêts à partir, on avait oublié de te prévenir.” Je me lève en un clin d’oeil et fais mes adieux à Mme Helck et prends mon linge tout mouillé (car elle l’avait mis à tremper la veille). Je trouve la batterie rassemblée, les lieutenants sont tout en fièvre. Qu’y a-t-il ? On parle d’envahissement possible du Luxembourg et nous en sommes tout près. Je dois partir en camion pour faire préparer l’emplacement de ma pièce3. Celle-ci viendra derrière avec le brigadier. Nous sommes vite rendus sur la route stratégique qui conduit à la ligne Maginot. C’est là que nous devons nous installer. C’est une route en lacet au milieu d’une forêt. Le choix de cet emplacement est difficile. Il est 10 h que rien n’est encore définitivement fixé. Enfin on se met d’accord etc… au travail.

Tout est prêt mais les pièces ne sont pas là. Elles vont si vite... La nuit est venue quand elles arrivent. L’ordre est donné d’attendre au lendemain pour mettre en batterie. Je m’installe avec ma pièce dans le tracteur pour essayer de dormir car je suis fatigué. A 11 h grand branlebas… il faut être prêt à tirer le lendemain à 8 h. Il est facile de deviner l’effervescence qui régna. Heydet doit en savoir quelque chose. Lui seul était suffisamment familiarisé avec le matériel pour faire cette mise en batterie7. Il s’y employa toute la nuit. Pour ma pièce, trois câbles furent cassés. Mais à 8 h j’aurais vraisemblablement pu tirer. Par contre la première pièce n’était pas encore en place.

Vous dire dans quel état nous étions tous à 8 h est inutile. Il fallait pourtant travailler, améliorer notre emplacement. L’ordre de tirer pouvait arriver d’un moment à l’autre. Les munitions arrivaient, il fallait les remuer. Quel travail, quelle journée !

Le régime continue donc toute la matinée dans l’attente d’événements nouveaux. Ceux-ci ne viennent évidement pas. Résultat : un exercice excellent en lui-même mais dont nous nous serions bien passés. D’autre part cela nous avait valu de quitter la ferme9, ce que nous regrettions beaucoup, nous y étions si bien…

Je suppose qu'il s'agit d'un exercice, et pas d'une fausse alerte. CORRECT ?

PROPRIETAIRE A L ARMEE


Mon père fait la liste des hommes de sa pièce et les décrit, puis, fait la même chose pour les s.officiers. L'un d'eux est décrit comme "propriétaire à l'armée".

Simon. C’est un “propriétaire à l’armée”avec sa dose de roublardise qui frise la bêtise. Bon type au fond mais qui a toujours peur d’être roulé ou de ne pas faire comme les autres. A conservé le type du vieux propriétaire avec avec ses qualités et ses défauts.

Que veut-dire mon père par cette expression , "propriétaire à l'armée".

Merci pour l'aide que vous pourrez m'apporter sur l'un ou l'autre point. ::Merci::
b.


 

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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 229  Nouveau message de iffig  Nouveau message 26 Juin 2017, 10:45

Bonjour,

Les manoeuvres de force ont pour but de modifier la position d'un fardeau, éventuellement d'en assurer le déplacement (définition donnée par l'actuelle Ecole d'Application de la Sécurité Civile).
Dans le contexte, il s'agit de positionner les pièces en batterie dans leurs emplacements. Beaucoup d'efforts physiques et de coordination sont nécessaires, d'où l'appréciation de ton père ....

Je te signale, par ailleurs, que j'ai posté sur ce forum une image où l'on voit le calot, très particulier, en usage dans l'Armée Royale Yougoslave.

viewtopic.php?f=51&p=625275#p625275

Il a été aussi porté par les Tchetniks après 1941. Bon, cela ne nous dit rien sur la présence d'éventuelles svastikas ajoutées par les prisonniers serbes :cheers: .
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Re: "André SEGOL, Maréchal des Logis au 185RALT"

Nouveau message Post Numéro: 230  Nouveau message de Beogles  Nouveau message 26 Juin 2017, 11:04

iffig a écrit:Bonjour,

Les manoeuvres de force ont pour but de modifier la position d'un fardeau, éventuellement d'en assurer le déplacement (définition donnée par l'actuelle Ecole d'Application de la Sécurité Civile).
Dans le contexte, il s'agit de positionner les pièces en batterie dans leurs emplacements. Beaucoup d'efforts physiques et de coordination sont nécessaires, d'où l'appréciation de ton père ....

Je te signale, par ailleurs, que j'ai posté sur ce forum une image où l'on voit le calot, très particulier, en usage dans l'Armée Royale Yougoslave.

viewtopic.php?f=51&p=625275#p625275

Il a été aussi porté par les Tchetniks après 1941. Bon, cela ne nous dit rien sur la présence d'éventuelles svastikas ajoutées par les prisonniers serbes :cheers: .


Bien lu, bien vu, bien noté, MERCI b.


 

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