Il ne faudrait pas, non plus, exagérer de manière excessive les "exactions" - j'insiste sur les guillemets - commises par certains éléments des troupes américaines, durant la période qui avait , immédiatement, suivi le D-Day.
il convent de rester raisonnable, car il avait s'agit de violences sexuelles à l'encontre d'autochtones de sexe féminin, qui, souvent, n'avaient pas, toujours, fait preuve de mesure dans leur engouement "spontané" consécutif à la Libération, la quasi-totalité des coupables ayant été traduite devant la justice militaire.
Il est vrai, aussi, que la Wehrmacht, durant l'occupation de la France, avait été très stricte , voire impitoyable , sur le sujet, mais, en parallèle, les déportations, souvent fatales, s'étaient, elles-aussi, multipliées! A tout çà, il convient d'ajouter les règlements de compte nationaux, consécutifs à la Libération, dont les emprisonnements, la tonte, voire pire, de jeunes filles et femmes considérées comme coupables de collaboration.
Quand çà commence à ouvrir sa gueule, en Normandie, en septembre 1944, le gros des troupes alliés s'est, déjà, enfoncé dans le territoire français, vers le Nord et le Nord-Est.
Les statistiques connues attesteraient qu'il y aurait eu, notamment, plus de viols, au prorata du temps passé, en Normandie, du fait des troupes alliées (notamment américaines) que durant toute l'occupation allemande, mais le premier article citée, évoque, aussi, les aimables "pinces-fesses" dansants, organisés par le "nouvel occupant", qui favorisait l'accouplement. Je suis désolé, mais "Libération ou non", les jeunes femmes françaises n'étaient pas, non plus, obligées de s'y précipiter "les deux fesses en avant" dans une meute de mâles en rut! Le reste, distribution, plus ou moins privilégiée, de rations ou accidents de la route, ressort, directement, du bouleversement consécutif à 4 ans de disette et ;à une circulation automobile réduite à sa plus simple expression, du fait des dictats allemands!
Perso, j'ai un peu tendance à comparer ces protestations - quelque soit leur bien-fondé - à celles qui étaient survenues après les marches des Gilets Jaunes, à propos des blessures subies par certains manifestants, alors que la manifestation était interdite et que l'ordre de dispersion avait été ordonné!
Hélas, la Choupinette qui passait" à la casserole", à l'été 1944, par exemple, dans la chaleur consécutive à une bamboula, n'avait, bien souvent, qu'à s'en prendre qu'à elle-même - sans écarter, pour autant, un certain nombre d'actes de viol manifestes -. Un paquet de gonzesses, à l'intellect limitée, y avait vu l'opportunité pour obtenir, ainsi, pour elles, d'abord, et leurs possibles rejetons, ensuite, l'obtention de la nationalité américaine, sauf que si la relation sérieuse et continue n'étant pas avérée, c'était peine perdue! Cà nous fait un paquet de ""râleuses" éconduites (sciemment), en septembre 1944!
L'article publié , le 30 mai 2019, dans le Point, ne vaut, même, pas peau de lapin, car il existe des documents officiels de l'US Amy, beaucoup plus fiables et sérieux sur le sujet!