Je vous propose d’évoquer ici ce recueil de textes intéressants que j'ai découvert aujourd'hui. Voir le lien pour l’introduction :
https://archive.org/stream/LeTestamentP ... ,%2042%20p.)_djvu.txt
Je commence par le premier sur l'Angleterre. Il est daté du 4 février 1945 :
Churchill se prend pour Pitt. Quelle erreur est la sienne! En 1793, Pitt avait trente-quatre ans.
Churchill est malheureusement un vieillard, tout juste capable d'exécuter les ordres du démentiel Roosevelt.
D’abord les situations ne sont nullement comparables. Il faut se replacer dans les conditions de l’époque. Du point de vue de l’Angleterre, Pitt avait parfaitement raison de ne pas transiger avec Napoléon. En s'obstinant comme il l'a fait, dans des conditions impossibles, Pitt préservait les chances qu'avait son pays de jouer le rôle qui fut le sien au 18ème siècle. C'était une politique de vie. En refusant de s'entendre avec moi, Churchill a entraîné son pays dans une politique de suicide. Il a commis la même erreur que commettent les généraux qui conduisent une guerre selon les normes de la guerre précédente. Il s'agit là de schémas qui ne sauraient se superposer. Le fait nouveau, c'est l'existence de ces géants que sont les États-Unis et la Russie. L'Angleterre de Pitt assurait l'équilibre mondial en empêchant toute hégémonie en Europe, en empêchant donc que Napoléon arrivât à ses fins. L'Angleterre de Churchill, tout au contraire, devait permettre l'unification de l'Europe pour maintenir cet équilibre.
Je me suis efforcé d'agir, au début de cette guerre, comme si Churchill devait être capable de comprendre cette grande politique. Il était capable, dans un moment de lucidité, de la comprendre.
Mais il est depuis trop longtemps lié aux Juifs. Mon idée, en ménageant les Anglais, était de ne pas créer l'irréparable à l'Ouest. Plus tard, en attaquant à l'Est, en crevant l'abcès communiste, j'ai eu l'espoir de susciter une réaction de bon sens chez les Occidentaux. Je leur donnais l'occasion, sans y participer, de contribuer à une œuvre de salubrité, nous laissant à nous seuls le soin de désintoxiquer l'Occident. Mais la haine qu'éprouvent ces hypocrites pour un homme de bonne foi est plus forte que leur instinct de conservation. J'avais sous-estimé la puissance de la domination juive sur les Anglais de Churchill. Ils préfèrent en effet sombrer dans la déchéance plutôt que d'admettre le National-Socialisme. Ils eussent admis à la rigueur un antisémitisme de façade de notre part. Mais notre volonté inébranlable de miner à sa base la puissance juive dans le monde, ils n'ont pas un estomac assez solide pour digérer cela !
Le génie de Pitt, c'est d'avoir pratiqué une politique réaliste, en fonction des données du moment. Une politique qui a permis l'extraordinaire essor de son pays et qui lui assura la suprématie mondiale au cours du 18ème siècle. La copie servile de cette politique, et sans tenir compte de circonstances qui ne sont plus les mêmes, ce qu'a fait Churchill, est une pure absurdité. C'est que le monde a changé depuis le grand Pitt ! Si les changements ont été relativement lents pendant un siècle, la première guerre mondiale les a précipités, et la présente guerre nous a conduits à des échéances.
Au début du 18ème siècle, du point de vue de la puissance, l'Europe seule comptait. Les grands empires asiatiques étaient tombés dans un sommeil qui ressemblait au sommeil de la mort. Le Nouveau Monde n'était qu'une excroissance de l'Europe, et personne, raisonnablement, ne pouvait prévoir le prodigieux destin des treize colonies anglaises qui venaient de s'émanciper. Treize ! Moi qui ne suis pas superstitieux, cela m'inciterait à le devenir ! Ce nouvel Etat de quatre millions d'habitants qui s'agrandit démesurément en l'espace de cent ans pour accéder, au début du 20ème siècle, à la puissance mondiale...
Dans la période décisive qui se situe entre 1930 et 1940, la situation était toute différente de ce qu'elle était du temps de Pitt et de Napoléon. L'Europe, épuisée par la grande guerre, avait perdu sa primauté, son rôle directeur n'était plus reconnu. C'était encore l'un des centres d'attraction de la planète mais qui perdait de plus en plus de son importance - à mesure que s'accroissait la puissance des Etats-Unis d'Amérique, celle du colosse Russo-asiatique, celle enfin de l'Empire du Soleil Levant.
Si le destin avait accordé à une Angleterre vieillissante et sclérosée un nouveau Pitt au lieu de ce demi Américain ivrogne et enjuivé, ce nouveau Pitt eût aussitôt compris que la traditionnelle politique d'équilibre de l'Angleterre devait s'exercer à une autre échelle, à l'échelle mondiale. Au lieu de maintenir, de susciter et d'exciter les rivalités en Europe, afin qu'y persistent les divisions, l'Angleterre devait tout au contraire laisser se faire l'unification de l'Europe, à défaut de l'encourager. Alliée à une Europe unie, elle conservait la possibilité de jouer un rôle d'arbitre dans les affaires du monde.
Tout se passe comme si la Providence avait voulu punir Albion des nombreux crimes qu'elle a commis au cours de son histoire, ces crimes qui ont fait sa force. L'arrivée de Churchill, à une période décisive pour l'Angleterre et pour l'Europe, c'est la punition choisie par la Providence. C'était l'homme qu'il fallait à l'élite dégénérée de Grande-Bretagne. C'est à ce Barnum sénile qu'il appartenait de décider de ce que serait le sort d'un immense empire et en même temps celui de l'Europe. L'on peut se demander si le peuple anglais a conservé, à travers la dégénérescence de ses élites, les qualités qui justifièrent sa domination sur l'univers. J'en doute, car chez lui nul sursaut ne s'est produit, semble t'il, pour répondre aux erreurs de ses chefs. De nombreuses occasions se sont présentées pourtant qui eussent permis à l’Angleterre de se lancer hardiment dans une voie nouvelle et féconde.
Il lui était possible, si elle l’avait voulu, de mettre fin à la guerre au début de 1941. Elle avait affirmé sa volonté de résistance dans le ciel de Londres, elle avait à son actif les humiliantes défaites des Italiens en Afrique du Nord. L’Angleterre traditionnelle eût fait la paix. Mais les Juifs ne l’ont pas toléré. Ses hommes de main, Churchill et Roosevelt, étaient là pour l’empêcher.
Cette paix pourtant eût permis de tenir les Américains à l’écart des affaires de l’Europe. Celle-ci, sous la direction du Reich, se serait rapidement unifiée. Le poison juif éliminé, cela devenait chose facile.
La France et l’Italie, battues à tour de rôle et à quelques mois de distance par les deux puissances germaniques, s’en seraient tirées à bon compte. L'une et l'autre auraient dû renoncer à une politique de grandeur hors de saison. Elles eussent renoncé du même coup à leurs prétentions en Afrique du Nord et au Proche-Orient, ce qui eût permis à l'Europe de faire une audacieuse politique d'amitié à l'égard de l'Islam. Quant à l'Angleterre, débarrassée de ses soucis européens, elle pouvait se consacrer entièrement au salut de l'Empire. L'Allemagne enfin, ses arrières étant assurés, pouvait se jeter à corps perdu dans ce qui constituait sa tâche essentielle, le but de ma vie et la raison d'être du National-Socialisme : L'écrasement du bolchevisme. Cela entraînait comme conséquence la conquête des espaces, à l'Est, qui doivent assurer l'avenir du peuple allemand.
Les lois de la vie comportent une logique qui ne se confond pas nécessairement avec notre logique.
Nous étions disposés à des compromis, prêts à jeter nos forces dans la balance pour faire durer l'Empire britannique. Et tout cela alors que le dernier des Hindous m'est au fond beaucoup plus sympathique que n'importe lequel de ces insulaires arrogants. Les Allemands seront heureux plus tard de n'avoir pas contribué à la survie d'une réalité périmée que le monde futur aurait eu de la peine à leur pardonner. Nous pouvons prophétiser aujourd'hui, quelle que soit l'issue de cette guerre, la fin de l'Empire britannique. II est touché à mort. L'avenir du peuple anglais, c'est de mourir de faim et de tuberculose dans son île maudite.
Aucun rapport entre l'obstination britannique et la résistance acharnée du Reich. D'abord, l'Angleterre avait le choix, rien ne la contraignait à se lancer dans la guerre. Non seulement elle s'y est lancée, mais elle l'a provoquée. Il va sans dire que les Polonais, s'ils n'avaient été poussés par les bellicistes anglais et français, eux-mêmes excités par les Juifs, ne se seraient pas senti la vocation du suicide. De toute façon, l'Angleterre, même après avoir commis cette erreur, pouvait encore tirer son épingle du jeu, soit après la liquidation de la Pologne, soit après la défaite de la France. Cela n'eût sans doute pas été très honorable pour elle, mais dans ce domaine son amour-propre n'est pas très chatouilleux.
Elle n'avait qu'à rejeter sur ses ex-alliés l'entière responsabilité de sa défection, comme elle et la France le firent pour la Belgique en mai 1940. Nous l'eussions d'ailleurs aidée à sauver la face.
Au début de 1941, elle pouvait, dans de meilleures conditions encore, après ses succès d'Afrique et ayant rétabli son prestige, se retirer du jeu et conclure une paix blanche avec nous. Pourquoi a t'elle préféré subir la loi de ses alliés juifs et américains, en fait plus voraces que ses pires adversaires ? Car la Grande-Bretagne n’a pas mené sa propre guerre, elle a fait la guerre que lui ont imposée ses implacables alliés.
Mais l’Allemagne n’avait pas le choix. Dès que fut affirmée notre volonté de réunir enfin tous les Allemands dans un grand Reich et d’assurer à celui-ci les conditions d’une indépendance véritable, autrement dit la possibilité de vivre, d’emblée tous nos ennemis se dressèrent contre nous. La guerre devenait inévitable du seul fait que le moyen de l’éviter eût consisté pour nous à trahir les intérêts fondamentaux du peuple allemand. Nous ne pouvions nous contenter pour lui des apparences de l’indépendance. C’est bon pour des Suédois et pour des Suisses qui sont toujours prêts à se gargariser avec des formules creuses pourvu qu’ils se remplissent les poches. La République de Weimar ne prétendait pas davantage. Mais voilà une ambition qui ne pouvait convenir au Troisième Reich !
Nous étions condamnés à faire la guerre. Notre unique préoccupation consistait donc à faire le choix du moment le moins défavorable, et il va sans dire qu’une fois engagés il ne pouvait être question pour nous de reculer. Nos adversaires n’en veulent pas seulement à la doctrine nationale-socialiste. Ils en veulent au National-Socialisme d’avoir permis l’exaltation des qualités du peuple allemand. Ils veulent donc la destruction du peuple allemand, il n’y a aucun malentendu à ce propos. Pour une fois, la haine se montre plus forte que l’hypocrisie. Merci à l’adversaire du service qu’il nous rend en nous livrant aussi clairement le fond de sa pensée !
A cette haine totale qui nous submerge, nous ne pouvons répondre que par la guerre totale. Luttant pour survivre, nous luttons désespérément. Quoi qu’il arrive, nous mènerons jusqu'à la mort notre combat pour la vie. L'Allemagne sortira de cette guerre plus forte que jamais, et l'Angleterre plus faible que jamais.
L'histoire prouve que pour l'Allemagne le malheur et l'adversité constituent souvent le prélude indispensable aux grands relèvements. Les souffrances du peuple allemand au cours de cette guerre, et il en a souffert incomparablement plus que n'importe quel autre peuple, ce sont ces souffrances mêmes qui l'aideront, si le sort est pour nous, à surmonter sa victoire. Et au cas où la Providence l'abandonnerait, en dépit de ses sacrifices et de son opiniâtreté, c'est qu'alors elle l'aurait condamné à des épreuves plus grandes pour lui permettre d'affirmer son droit à la vie.
Churchill est malheureusement un vieillard, tout juste capable d'exécuter les ordres du démentiel Roosevelt.
D’abord les situations ne sont nullement comparables. Il faut se replacer dans les conditions de l’époque. Du point de vue de l’Angleterre, Pitt avait parfaitement raison de ne pas transiger avec Napoléon. En s'obstinant comme il l'a fait, dans des conditions impossibles, Pitt préservait les chances qu'avait son pays de jouer le rôle qui fut le sien au 18ème siècle. C'était une politique de vie. En refusant de s'entendre avec moi, Churchill a entraîné son pays dans une politique de suicide. Il a commis la même erreur que commettent les généraux qui conduisent une guerre selon les normes de la guerre précédente. Il s'agit là de schémas qui ne sauraient se superposer. Le fait nouveau, c'est l'existence de ces géants que sont les États-Unis et la Russie. L'Angleterre de Pitt assurait l'équilibre mondial en empêchant toute hégémonie en Europe, en empêchant donc que Napoléon arrivât à ses fins. L'Angleterre de Churchill, tout au contraire, devait permettre l'unification de l'Europe pour maintenir cet équilibre.
Je me suis efforcé d'agir, au début de cette guerre, comme si Churchill devait être capable de comprendre cette grande politique. Il était capable, dans un moment de lucidité, de la comprendre.
Mais il est depuis trop longtemps lié aux Juifs. Mon idée, en ménageant les Anglais, était de ne pas créer l'irréparable à l'Ouest. Plus tard, en attaquant à l'Est, en crevant l'abcès communiste, j'ai eu l'espoir de susciter une réaction de bon sens chez les Occidentaux. Je leur donnais l'occasion, sans y participer, de contribuer à une œuvre de salubrité, nous laissant à nous seuls le soin de désintoxiquer l'Occident. Mais la haine qu'éprouvent ces hypocrites pour un homme de bonne foi est plus forte que leur instinct de conservation. J'avais sous-estimé la puissance de la domination juive sur les Anglais de Churchill. Ils préfèrent en effet sombrer dans la déchéance plutôt que d'admettre le National-Socialisme. Ils eussent admis à la rigueur un antisémitisme de façade de notre part. Mais notre volonté inébranlable de miner à sa base la puissance juive dans le monde, ils n'ont pas un estomac assez solide pour digérer cela !
Le génie de Pitt, c'est d'avoir pratiqué une politique réaliste, en fonction des données du moment. Une politique qui a permis l'extraordinaire essor de son pays et qui lui assura la suprématie mondiale au cours du 18ème siècle. La copie servile de cette politique, et sans tenir compte de circonstances qui ne sont plus les mêmes, ce qu'a fait Churchill, est une pure absurdité. C'est que le monde a changé depuis le grand Pitt ! Si les changements ont été relativement lents pendant un siècle, la première guerre mondiale les a précipités, et la présente guerre nous a conduits à des échéances.
Au début du 18ème siècle, du point de vue de la puissance, l'Europe seule comptait. Les grands empires asiatiques étaient tombés dans un sommeil qui ressemblait au sommeil de la mort. Le Nouveau Monde n'était qu'une excroissance de l'Europe, et personne, raisonnablement, ne pouvait prévoir le prodigieux destin des treize colonies anglaises qui venaient de s'émanciper. Treize ! Moi qui ne suis pas superstitieux, cela m'inciterait à le devenir ! Ce nouvel Etat de quatre millions d'habitants qui s'agrandit démesurément en l'espace de cent ans pour accéder, au début du 20ème siècle, à la puissance mondiale...
Dans la période décisive qui se situe entre 1930 et 1940, la situation était toute différente de ce qu'elle était du temps de Pitt et de Napoléon. L'Europe, épuisée par la grande guerre, avait perdu sa primauté, son rôle directeur n'était plus reconnu. C'était encore l'un des centres d'attraction de la planète mais qui perdait de plus en plus de son importance - à mesure que s'accroissait la puissance des Etats-Unis d'Amérique, celle du colosse Russo-asiatique, celle enfin de l'Empire du Soleil Levant.
Si le destin avait accordé à une Angleterre vieillissante et sclérosée un nouveau Pitt au lieu de ce demi Américain ivrogne et enjuivé, ce nouveau Pitt eût aussitôt compris que la traditionnelle politique d'équilibre de l'Angleterre devait s'exercer à une autre échelle, à l'échelle mondiale. Au lieu de maintenir, de susciter et d'exciter les rivalités en Europe, afin qu'y persistent les divisions, l'Angleterre devait tout au contraire laisser se faire l'unification de l'Europe, à défaut de l'encourager. Alliée à une Europe unie, elle conservait la possibilité de jouer un rôle d'arbitre dans les affaires du monde.
Tout se passe comme si la Providence avait voulu punir Albion des nombreux crimes qu'elle a commis au cours de son histoire, ces crimes qui ont fait sa force. L'arrivée de Churchill, à une période décisive pour l'Angleterre et pour l'Europe, c'est la punition choisie par la Providence. C'était l'homme qu'il fallait à l'élite dégénérée de Grande-Bretagne. C'est à ce Barnum sénile qu'il appartenait de décider de ce que serait le sort d'un immense empire et en même temps celui de l'Europe. L'on peut se demander si le peuple anglais a conservé, à travers la dégénérescence de ses élites, les qualités qui justifièrent sa domination sur l'univers. J'en doute, car chez lui nul sursaut ne s'est produit, semble t'il, pour répondre aux erreurs de ses chefs. De nombreuses occasions se sont présentées pourtant qui eussent permis à l’Angleterre de se lancer hardiment dans une voie nouvelle et féconde.
Il lui était possible, si elle l’avait voulu, de mettre fin à la guerre au début de 1941. Elle avait affirmé sa volonté de résistance dans le ciel de Londres, elle avait à son actif les humiliantes défaites des Italiens en Afrique du Nord. L’Angleterre traditionnelle eût fait la paix. Mais les Juifs ne l’ont pas toléré. Ses hommes de main, Churchill et Roosevelt, étaient là pour l’empêcher.
Cette paix pourtant eût permis de tenir les Américains à l’écart des affaires de l’Europe. Celle-ci, sous la direction du Reich, se serait rapidement unifiée. Le poison juif éliminé, cela devenait chose facile.
La France et l’Italie, battues à tour de rôle et à quelques mois de distance par les deux puissances germaniques, s’en seraient tirées à bon compte. L'une et l'autre auraient dû renoncer à une politique de grandeur hors de saison. Elles eussent renoncé du même coup à leurs prétentions en Afrique du Nord et au Proche-Orient, ce qui eût permis à l'Europe de faire une audacieuse politique d'amitié à l'égard de l'Islam. Quant à l'Angleterre, débarrassée de ses soucis européens, elle pouvait se consacrer entièrement au salut de l'Empire. L'Allemagne enfin, ses arrières étant assurés, pouvait se jeter à corps perdu dans ce qui constituait sa tâche essentielle, le but de ma vie et la raison d'être du National-Socialisme : L'écrasement du bolchevisme. Cela entraînait comme conséquence la conquête des espaces, à l'Est, qui doivent assurer l'avenir du peuple allemand.
Les lois de la vie comportent une logique qui ne se confond pas nécessairement avec notre logique.
Nous étions disposés à des compromis, prêts à jeter nos forces dans la balance pour faire durer l'Empire britannique. Et tout cela alors que le dernier des Hindous m'est au fond beaucoup plus sympathique que n'importe lequel de ces insulaires arrogants. Les Allemands seront heureux plus tard de n'avoir pas contribué à la survie d'une réalité périmée que le monde futur aurait eu de la peine à leur pardonner. Nous pouvons prophétiser aujourd'hui, quelle que soit l'issue de cette guerre, la fin de l'Empire britannique. II est touché à mort. L'avenir du peuple anglais, c'est de mourir de faim et de tuberculose dans son île maudite.
Aucun rapport entre l'obstination britannique et la résistance acharnée du Reich. D'abord, l'Angleterre avait le choix, rien ne la contraignait à se lancer dans la guerre. Non seulement elle s'y est lancée, mais elle l'a provoquée. Il va sans dire que les Polonais, s'ils n'avaient été poussés par les bellicistes anglais et français, eux-mêmes excités par les Juifs, ne se seraient pas senti la vocation du suicide. De toute façon, l'Angleterre, même après avoir commis cette erreur, pouvait encore tirer son épingle du jeu, soit après la liquidation de la Pologne, soit après la défaite de la France. Cela n'eût sans doute pas été très honorable pour elle, mais dans ce domaine son amour-propre n'est pas très chatouilleux.
Elle n'avait qu'à rejeter sur ses ex-alliés l'entière responsabilité de sa défection, comme elle et la France le firent pour la Belgique en mai 1940. Nous l'eussions d'ailleurs aidée à sauver la face.
Au début de 1941, elle pouvait, dans de meilleures conditions encore, après ses succès d'Afrique et ayant rétabli son prestige, se retirer du jeu et conclure une paix blanche avec nous. Pourquoi a t'elle préféré subir la loi de ses alliés juifs et américains, en fait plus voraces que ses pires adversaires ? Car la Grande-Bretagne n’a pas mené sa propre guerre, elle a fait la guerre que lui ont imposée ses implacables alliés.
Mais l’Allemagne n’avait pas le choix. Dès que fut affirmée notre volonté de réunir enfin tous les Allemands dans un grand Reich et d’assurer à celui-ci les conditions d’une indépendance véritable, autrement dit la possibilité de vivre, d’emblée tous nos ennemis se dressèrent contre nous. La guerre devenait inévitable du seul fait que le moyen de l’éviter eût consisté pour nous à trahir les intérêts fondamentaux du peuple allemand. Nous ne pouvions nous contenter pour lui des apparences de l’indépendance. C’est bon pour des Suédois et pour des Suisses qui sont toujours prêts à se gargariser avec des formules creuses pourvu qu’ils se remplissent les poches. La République de Weimar ne prétendait pas davantage. Mais voilà une ambition qui ne pouvait convenir au Troisième Reich !
Nous étions condamnés à faire la guerre. Notre unique préoccupation consistait donc à faire le choix du moment le moins défavorable, et il va sans dire qu’une fois engagés il ne pouvait être question pour nous de reculer. Nos adversaires n’en veulent pas seulement à la doctrine nationale-socialiste. Ils en veulent au National-Socialisme d’avoir permis l’exaltation des qualités du peuple allemand. Ils veulent donc la destruction du peuple allemand, il n’y a aucun malentendu à ce propos. Pour une fois, la haine se montre plus forte que l’hypocrisie. Merci à l’adversaire du service qu’il nous rend en nous livrant aussi clairement le fond de sa pensée !
A cette haine totale qui nous submerge, nous ne pouvons répondre que par la guerre totale. Luttant pour survivre, nous luttons désespérément. Quoi qu’il arrive, nous mènerons jusqu'à la mort notre combat pour la vie. L'Allemagne sortira de cette guerre plus forte que jamais, et l'Angleterre plus faible que jamais.
L'histoire prouve que pour l'Allemagne le malheur et l'adversité constituent souvent le prélude indispensable aux grands relèvements. Les souffrances du peuple allemand au cours de cette guerre, et il en a souffert incomparablement plus que n'importe quel autre peuple, ce sont ces souffrances mêmes qui l'aideront, si le sort est pour nous, à surmonter sa victoire. Et au cas où la Providence l'abandonnerait, en dépit de ses sacrifices et de son opiniâtreté, c'est qu'alors elle l'aurait condamné à des épreuves plus grandes pour lui permettre d'affirmer son droit à la vie.