Gaston a écrit:dynamo a écrit:des milliers de médecins, de gardes, de cuisiniers, de gestionnaires, etc, etc.
Possible que les médecins et cuisiniers aient été recrutés parmi ces prisonniers, pour libérer du personnel US... ça me semble assez logique, en tous cas...
dynamo a écrit:160000 hommes c'est la population d'une grande ville, c'est vertigineux, la gestion devait être compliquée voir impossible.
dynamo a écrit:Dog Red a écrit:Un camp de rassemblement de 160.000 prisonniers de guerre en Allemagne en avril 1945 !
incroyable !
3 repas par jour = 480000 rations
des milliers de m3 d'eau par jour
autant de milliers de m3 d'eau sale à évacuer y compris les matières fécales.
des milliers de médecins, de gardes, de cuisiniers, de gestionnaires, etc, etc.
Cela me semble irréel
dynamo a écrit: si c'est des troupes qui se sont rendues, elles sont peut être restées en unités constituées.
Didier a écrit:Car vu de prêt c'était çà
ici sur la controverse ayant agité les USA sur le sujet
https://www.warhistoryonline.com/world- ... -camp.html
Dog Red a écrit:Didier a écrit:Car vu de prêt c'était çà
ici sur la controverse ayant agité les USA sur le sujet
https://www.warhistoryonline.com/world- ... -camp.html
La légende précise bien qu'il s'agit d'enclos de transit.
Ce ne sont pas des camps avec le minimum de confort nécessaire et imposé par les traités.
Les prisonniers de guerre allemands qui y sont "enfermés" sont en attente d'être pris en charge.
A cette échelle, rien que le transfert en camions (souvent les camions vides qui retournent vers l'arrière après avoir alimenté le front) est un casse-tête logistique qui demande un long délai d'absorbtion.
A Mons, début septembre 1944, l'enceinte de l'ancienne abbaye de Bélian avait pareillement servi d'enclos (appelés aussi "la cage" dans les rapports US) ; les photos sont les même mais je ne les ai pas sous la main.
Elle n'avait vu passer que +/-4.000 POWs en 4 jours mais déjà à cette échelle c'était une difficulté pour la seule division US qui les avait en charge... ...alors que dire au printemps 1945 en Allemagne, quand il y a 40 fois plus de prisonniers à prendre en charge ?
Loïc Charpentier a écrit:
Il s'agit d'une StuG-Brigade en Tchécoslovaquie. L'unité avait garé ses canons d'assaut le long d'une route, puis son personnel s'était empilé dans les camions; en général le chef d'unité prenait la tête du convoi, puis tout le monde allait "tranquillement" faire sa reddition aux troupes américaines, qui les attendaient à 500 m ou une borne de là.
Il faut juste imaginer l'immense boxon, que ces redditions en masse, qui s'étaient déroulées dans un délai très bref, avaient pu alors, constituer. Les Alliés avaient, certes, pris des dispositions, mais ils avaient, néanmoins, été très vite débordés.
Didier a écrit:Je n'ai pas dis le contraire, ni posé une critique "anti US"
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