Aldebert a écrit:Il semble que ce soit plus une raison politique que médicale. La contamination continuera à se propager particulièrement dans les transports en commun ou les gens sont à touche touche et où les futurs contaminés seront en outre rassurés par l'autorisation officielle de l'abandon du port du masque.
Le nombre, de contaminés supplémentaires, consécutif à cette décision aura sans doute moins d'impact négatif sur les élections à venir que cette petite liberté enfin retrouvée.
Ce matin une infirmière a effectué sur ma personne un PCR. Je serai donc officiellement reconnu contaminé et donc non tenu, je pense, de recevoir une 4ème injection.
Encore faut-il connaitre le variant qui ma atteint ???
Mon épouse me dit que je serais capable d'en créer un nouveau, si c'était le cas, espérons qu'il s'agira d'OMEGA...le der des der
Voui, la "promiscuité" est la "misère" des urbains, notamment, dans les transports en commun et les lieux très fréquentés. Par contre, nous, les "ruraux", çà fait un bail que nous ne sommes plus contraints au port du masque, sauf que, dans mon coin, les transports en commun se résument, de fait, à un TER de la SNCF très peu fréquenté - d'ici qu'on nous supprime la ligne, il n'y a pas loin! - et que le port du masque se résumait au boulot, pour les actifs, dans les magasins,les espaces fermés accessibles au public et aux "simagrées" dans les restos (y compris sur les terrasses spacieuses!).
Dans les rues, parcs, etc., c'était, déjà, au bon vouloir de l'utilisateur, car on ne s'y bouscule pas et il est très facile de respecter une distance de sécurité"; c'est, même, toujours, le cas, à plus de 95%, avec ou sans masque, aux caisses des super et hypermarchés "ruraux" - celà, dit, l'alsacien rural est naturellement respectueux des règles.
Par contre, à Strasbourg, grosse agglomération, c'est nettement plus sportif et, en centre-ville, dans certaines vieilles artères étroites très fréquentées, pourtant, en plein air (!), la légitime prudence incite, toujours, à porter un masque. De toute manière, comme la circulation "totomobile" est devenue très compliquée et chère - les possibilités de stationnement sont rares, le tarif des parcmètres prohibitif et les parkings du centre-ville, généralement complets, pratiquent, également, des tarifs douloureux; de toute manière, nous sommes sensés arborés, depuis plus de 2 ans, une vignette "écolo" de catégorie 1, 2 et, selon la pollution ambiante, 3, qui est , systématiquement refusée aux malheureux propriétaires de véhicules de plus de 10 ans d'âge. Comme à 75 ans révolus, je ne me vois pas utiliser une trottinette ou un vélo électrique, pour effectuer les 55 bornes (Aller!) qui m'éloignent de la capitale de "Choucroute", devenue le territoire d'une peuplade (très minoritaire, mais très, agissante), de bobos-écolos-gauchos, j'y limite au maximum, mes déplacements.
C'est un peu comme à Paris, même la bourgeoisie aisée finit par, progressivement, migrer vers la "campagne" proche. Les plus beaux immeubles strasvourgeois datent du début du siècle dernier, le m² y coûte une fortune, mais les architectes d'alors n'avaient pas prévu de garage ou parking, qui, eux-mêmes, sont rares et coûteux à louer! Avec un ménage "à l'aise", disposant de deux voitures, la facture "stationnement et garage" grimpe très vite et vient s'ajouter à la, déjà, très douloureuse taxe immobilière, celle ponctionnée aux "heureux" propriétaires! Le centre de Strasbourg va finir, à l'instar de celui de Paris et d'autres grandes cités françaises, comme "ville-relique", dédiée à un tourisme sans âme, dans le même esprit que le Château de Versailles, ceux de la Loire, les pyramides "du Caire", la Vallée des Rois de Louxor ou le temple d'Ankor!