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-- Besoin naturel --
Posté:
28 Mar 2006, 20:52
de Blairojunior
Bonsoir à tous, me revoila...
L'autre jour, alors que j'étais en virulente discution avec un ami, il nous ai venue une question, comment les pilotes et équipages de chars ou d'avions faisaient-ils leur besoins ?
je suppose qu'ils ne s'arrètaient pas sur le bas côté comme les cyclistes ... :lol:
Merci d'avance
Posté:
28 Mar 2006, 22:11
de hilarion
Dans les douilles
Posté:
28 Mar 2006, 22:26
de Prosper Vandenbroucke
hilarion a écrit:Dans les douilles
Dans les chars peut-être, mais dans les avions?
T'as déjà essayé toi,de faire pipi ou les reste dans une douille de .50 ou d'un obus de 20mm, le tout à 9.000 pieds d'altitude?
J'ai lu quelque chose la dessus concernant les équipages de bombardiers mais je ne sais plus où
Prosper
Posté:
28 Mar 2006, 22:52
de sky
slt
en periode d'entrainement ou de repos,dans la nature.
en combat,je crois tout simplement que l'envie devait disparaitre avec le stress de la bataille.
j'ai travaille dans le batiment et quand pas moyen de faire ces besoins,et bien,on s'en passe et on se retient!!!
apres,il y a peu etre des combines de militaire,a eux la parole.
cdt
sky
Posté:
30 Mar 2006, 01:34
de Keffer
J'ai travaillé sur la restauration d'un Lancaster et la 1e fois que je suis entré dedans j'ai été très surpris de voir des toilettes à l'arrière du fuselage, juste avant le poste de mitrailleur arrière. Par contre je ne me souviens pas avoir vu qqchose de semblable dans des B17 ou B24.
Pour les chasseurs, vu la durée des missions bcp plus courte que celles des bombardiers, je pense que le problème devait moins se poser... Mis à part pour les missions d'escorte de bombardiers, et là le pilote devait se sentir bien seul...
Posté:
30 Mar 2006, 15:52
de Kanemoto
Sur le Nord Atlas, les toilettes étaient succintes, un rideau derrière lequel se trouve un tuyau equipé d'un entonoir à son extrémité, c'est suffisant.
J'ai servi dans les blindés mais le problème ne se pose pas vraiment car les engagements ne sont pas suffisament long pour que ce soit problèmatique, d'une manière générale, un soldat en campagne boit, mange, fume, dort, etc quand il en a le temps ou l'occasion, il n'attend pas d'en avoir envie.
Posté:
30 Mar 2006, 17:40
de Alexandra
Bonsoir à tous
Etant une ancienne de la cavalerie blindée, je peux affirmée que les toilettes (de quelque pays et quelque période se soit) était dans la douille, ou à l'extérieur (chose impossible au combat) et aucun char au monde n'est équipé de toilette. Donc, pipi (et le reste avant) sinon... après...ou pendant avec tout les sarcasmes que cela comporte (cela ne m'est jamais arrivée).
Cdlt Alex
Posté:
30 Mar 2006, 17:54
de Seth Soldier
Keffer a écrit:J'ai travaillé sur la restauration d'un Lancaster et la 1e fois que je suis entré dedans j'ai été très surpris de voir des toilettes à l'arrière du fuselage, juste avant le poste de mitrailleur arrière. Par contre je ne me souviens pas avoir vu qqchose de semblable dans des B17 ou B24.
Il me semble que sur les b17, ils en existent, mais en plus moderne quand même :lol:
wow que c'est trés instructif les bande dessinés (même si je ne me souviens plus du titre)
Posté:
30 Mar 2006, 20:03
de Audie Murphy
Kanemoto a écrit:Sur le Nord Atlas, les toilettes étaient succintes, un rideau derrière lequel se trouve un tuyau equipé d'un entonoir à son extrémité, c'est suffisant.
J'ai servi dans les blindés mais le problème ne se pose pas vraiment car les engagements ne sont pas suffisament long pour que ce soit problèmatique, d'une manière générale, un soldat en campagne boit, mange, fume, dort, etc quand il en a le temps ou l'occasion, il n'attend pas d'en avoir envie.
Je crois avoir lu dans un roman de Sven Hassel que les tankistes agissaient de cette façon, mais lors d'une «urgence», un des leurs avait fait ses besoins dans une chaudière, soulevant l'ire du reste de l'équipage... Qui ont tôt fait de l'obliger à se débarasser de la chaudière arômatique dès qu'une accalmie s'est présentée.
Posté:
30 Mar 2006, 20:16
de Prosper Vandenbroucke
Bonsoir à toutes et à tous,
Je tiens quand même à signaler que lors du débarquement les soldats avaient reçus lors de leur dernier repas un médicament qui bloquait toute fonction naturel pendant plusieurs heures si pas plusieurs jours.
Je ne sais pas si ce médicament, si il existait avant le D-Day, a été employé sur des troupes de l'arme blindée ou sur des aviateurs.
Bien cordialement
Prosper