Transmission photographies par la résistance

Extrait de la notice wikipedia de l'ancien prefet de Bretagne, Jean Quenette:
Quand Jean Quenette arrive en Bretagne, de nombreux réseaux sont implantés dans la région. Il intègre le réseau Johnny-Ker7, où il est agent P1 (fonction régulière dans le réseau, tout en gardant une activité officielle). Ces actions lui vaudront après la guerre un certificat de résistance. Il fait également partie ensuite des réseaux Andromède et Rafale, dépendants du BCRA de Londres et visant à transmettre par radio des renseignements militaires urgents. Alors qu’il a la possibilité de rejoindre le gouvernement d’Alger en novembre 1942, après l’envahissement de la zone occupée par les Allemands, il reste finalement à son poste à la demande de la Résistance.

Les ambassades neutres en territoire occupé, de même que les représentations alliées et allemandes dans ces mêmes pays neutres étaient surveillées comme du lait sur le feu. Cà grenouillait sec, par exemple, au Portugal, mais la moindre personne qui en franchissait la porte était systématiquement "détronchée". Un agent ou, même, un simple "facteur", évitait comme la peste de s'y pointer. Tout se déroulait dans des planques "anonymes"... et on en revient, toujours, aux contraintes techniques du matériel nécessaire, en amont, pour enregistrer correctement (!) sur un support argentique, en aval, pour en assurer le développement.

En zone il y avait le passage par la zone libre et la ligne de démarcation, en fait soit des opérations type lyzander avaient lieu soit les messages passaient par la ligne de démarcation, le plus difficile , et ensuite passaient la frontière espagnole.
La frontière suisse était bien plus surveillée, par tout le monde d'ailleurs alors l'espagnole permettait bien plus de voies de passage.
D'ailleurs le passage des frontières françaises ou non durant les occupations serait un bon sujet de discussion.