On ne peut guère reprocher aux Français, après une période très exceptionnelle de plus de 75 ans de paix mondiale, si on veut bien mettre à part l'Indo - garantie sans appelés - , puis l'Algérie, de commencer à faire la tronche et, pour certains, en avoir ras le pompon, après un année de confinement, plus ou moins "sévère", pour tenter de réprimer la pandémie covidienne. A chaque génération ses "misères". De surcroit, les plus jeunes, depuis 1995, à la louche, n'ont pas, non plus, connu les "gaités " du Service Militaire.
Il convient, aussi, de comparer les bilans, les pertes françaises en 14-18 avaient été de 1,7 millions de mort (civils et militaires), celles de 39-45, 568 000, dont 217 600 militaires. Pour mémoire, le bref conflit (6 mois) de 1870, nous avait, quand même, coûté 139 000 morts militaires, sachant que nous n'avions jamais été foutu d'aligner plus de 250 000 pinpins, début août 1870, mais que nous nous étions, quand même, retrouvés avec près de 510 000 prisonniers de guerre en février 1871!
Je passe sur les dégâts de la Grippe Espagnole, l'arrière-grand-mère du Covid-Machin, qui aurait entrainé, en 1918, la mort de 240 000 personnes, en France, 4 millions en Europe... et , peut-être, mondialement, 100 millions de morts, selon les dernières études!
Suivant les époques, on a les misères "qu'on peut".
... Entre 40 et 44, nos aïeux avaient découvert les "bienfaits" de la bicyclette et le gazogène, de nos jours, nous avons, toujours, "l'immortelle" bicyclette, plus la trottinette et voiture électriques! ... Sachant que nous aurions redécouvert, depuis lors, les avantages supposés du rutabaga...Beurk! A quand le retour des semelles en bois, qui avaient refait mode, au début des années 70, pour d'élégants "sabots" féminins, portés avec les pantalons "patte d'ef" ?