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La mise en place de la Resistance dans les Alpes Maritimes

Répondant à l'appel du Général de Gaulle, des milliers de combattants français se lèvent en Europe et en Afrique. Retrouvez ici la 1ère DFL, la 2ème DB, les FAFL, FNFL... Mais aussi celles et ceux qui ont résisté à l'occupant en entrant dans la clandestinité pour rejoindre le maquis ou les groupes de résistants.
MODÉRATEUR : gherla

La mise en place de la Resistance dans les Alpes Maritimes

Nouveau message Post Numéro: 1  Nouveau message de Mahfoud06  Nouveau message 25 Oct 2007, 14:04

Le 25 Juin 1940 à 0h35 les hostilités cessent sur tous les fronts de France .

La population des Alpes-Maritimes stupéfiée par la débacle militaire a accueilli Pétain comme un sauveur et l'Armistice comme une délivrance . La Population cherche avant tout à se nourrir les denrées commençant alors à se rarifier . Les réactions, très rares vis à vis de l'Armistice furent des réactions passionnelles en premier lieu . Peu à peu l'esprit de Resistance prends forme dans la Région .
Je vais essayer de dresser la mise en place des premiers principaux groupes de Resistance des Alpes Maritimes .
Sur Nice :

Tout d'abord , un élève du Cours Complémentaires St Lambert à Nice , Jacques Antoines , agé de 15 ans créera avec quelques uns de ses camarades un groupe . Celui-ci s'appellera Groupe Lorrain . Ces derniers inscrivent des inscriptions anti-nazie sur les murs de Nice .
Jacques Antoine sera arrêté le 26 Juin 1941 . En Octobre 1940 , Lustéguy , le Président de la Fédération des Anciens Combattants des Alpes Maritimes avec quelques autres , dont Alphonse Lauron révoltés par la mise en place de la Légion Française des Combattants qui va se substituer aux anciennes associations se regroupent . En Novembre 1940 à Nice un jeune étudiant Jacques Peirani crée une section de Jeunes du mouvement :" Vérité" . En Janvier 1942 un élève du Lycée Masséna, Joseph Arnaldi , crée un groupe avec une dizaine de ses camarades de classe .

A Cannes


Image


En septembre 1940 , Emmanuel D'Astier de la Vigerie et le Commandant d'Aviation Corniglion Molinier créent à Cannes puis à Clermont-Ferrand un petit groupe qu'ils appellent la " Dernière Colonne ". Ce premier noyau, auquel participent Lucie et Raymond Aubrac, ainsi que le philosophe Jean Cavaillès, se lance dans des actions de contre-propagande en placardant dans quelques villes du Sud de la France (Lyon, Clermont-Ferrand, Vichy, Nice, Marseille, Nîmes) des affiches anti-collaborationnistes. " La Dernière Colonne ", encore inexpérimentée, ne survit pas à cette première action d'envergure ; en février 1941, des colleurs d'affiche sont arrêtés, puis la propre nièce d'Emmanuel d'Astier, Bertrande, et le groupe doit se disperser. Poursuivi en justice, Emmanuel d'Astier entre dans la clandestinité.

A Antibes


L'avocat Alex Roubert prend contact avec des personalités socialités repliées : Dormoy et Brumel ; des acteurs de cinéma qui refusent l'armistice comme René Lefevre et Claude Dauphin avec l'équipe du journal :" Le Canard enchainé" .

Le Docteur Lévy aidé du Commandant Vallet du pharmacien Olivier ( qui deviendra par la suite maire d'Antibes à la Libération et quelques autre crée un groupe qui refusera l'Armistice .[/align]
Un jeune grassois raconte ses années sous la botte nazie..de la Résistance à la Libération pour finir son parcours dans la 2ème DB[/b] : http://www.grasse-historique.fr/v2/docs/resistant.pdf

Source : Site : Fondation Resistance

Livre : La Résistance et la libération de Nice


 

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Nouveau message Post Numéro: 2  Nouveau message de Borovic  Nouveau message 25 Oct 2007, 21:43

Bonsoir,

..... et avec nos amis italiens (CVL) à partir de mai 1944 de Barcellonette à Nice. Des hommes comme Max Juvenal, Jean Lippmann, Maurice Plantier, Tancredi Galimberti, Giorgio Bocca, Detto Dalmastro, Costanzo Picco et d'autres, trop souvent oubliés.
Sur ce sujet :
.... "Les Italiens tombés en France pour la liberté" (1945) Parri, Venturi
.... "Les volontaires étrangers dans la résistance française" (1960) Hugonnot, Laroche dit "Boris Matline"
.... "On les nommait des étrangers" (1965) Laroche
.... "L'organisation et les opérations des FFI dans le 06 en 1944" (1972) Girard
.... "Rosselli revient. Du Monte Palato au col de Larche" (1949) Ferrero

Ainsi que plusieurs publications locales en italien (Cuneo) de D.L. Bianco, P. Burdese, M. Calandri

Sans oublier les FTP-MOI

Cordialement.


 

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Nouveau message Post Numéro: 3  Nouveau message de Mahfoud06  Nouveau message 26 Oct 2007, 06:48

Borovic a écrit:Bonsoir,

..... et avec nos amis italiens (CVL) à partir de mai 1944 de Barcellonette à Nice. Des hommes comme Max Juvenal, Jean Lippmann, Maurice Plantier, Tancredi Galimberti, Giorgio Bocca, Detto Dalmastro, Costanzo Picco et d'autres, trop souvent oubliés.
Sur ce sujet :
.... "Les Italiens tombés en France pour la liberté" (1945) Parri, Venturi
.... "Les volontaires étrangers dans la résistance française" (1960) Hugonnot, Laroche dit "Boris Matline"
.... "On les nommait des étrangers" (1965) Laroche
.... "L'organisation et les opérations des FFI dans le 06 en 1944" (1972) Girard
.... "Rosselli revient. Du Monte Palato au col de Larche" (1949) Ferrero

Ainsi que plusieurs publications locales en italien (Cuneo) de D.L. Bianco, P. Burdese, M. Calandri

Sans oublier les FTP-MOI

Cordialement.




Merci Borovic sur ces précisions :D . IL est vrai que les actions italiennes sont trop souvent oubliées au dépends des autres :( d'ailleurs à ce sujet est-il vrai que de nombreux soldats italiens se soient fait fusillés près de nice à l'armistice de septembre 1943 ? J'ai lu sa sur un forum mais je ne saurais me rappeller le nom :roll:


 

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Nouveau message Post Numéro: 4  Nouveau message de Borovic  Nouveau message 26 Oct 2007, 08:06

Bonjour,

.... "pres de Nice" .... faudrait chercher (mon coin est plutôt du côté de l'Abbaye de Boscodon)

.... ce sujet est traité dans un film tres bien fait : "Capitaine Corelli" avec Nicolas Cage.

Bonne journée


 

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Nouveau message Post Numéro: 5  Nouveau message de Mahfoud06  Nouveau message 26 Oct 2007, 11:55

Oui en effet, il s'agit de la division italienne acqui qui stationnait sur l'île de céphalonie j'ai d'ailleurs fait un topic dessus :D


http://www.debarquement-normandie.com/p ... ight=acqui

Cordialement


 

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Nouveau message Post Numéro: 6  Nouveau message de Borovic  Nouveau message 27 Oct 2007, 22:18

Bonsoir,

... merci pour ce sujet sur la division "Acqui".

- "Capitaine Corelli" un rare film sur l'armée italienne. Un autre, également bien fait "Don Gnocchi" qui traite du journalier d'un aumônier militaire italien sur le front Est (Téléfilm en deux parties de 2004 je crois) ... à découvrir

Cordialement


 

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Nouveau message Post Numéro: 7  Nouveau message de sekhmet  Nouveau message 28 Oct 2007, 10:09

salut à tous,
Lorsque je faisais des recherches sur les réfugiers (ceux de l'exode) l'année dernière, j'ai trouvé ceci sur les Alpes-Maritimes, une chronologie des évènements.

L’année 1940
Le département est touché par le conflit en raison de l’entrée en guerre de l’Italie.
Fin mai : afflux de réfugiés belges et nordistes.

Le mois de juin
Le 10, les italiens déclarent la guerre (Mussolini espère récupérer Nice et la Savoie). La disproportion des effectifs est grande. Les Français : 35 000 hommes et 420 canons, les Italiens : 140 000 hommes et 1 300 canons.
La ligne des forts et des fortins que les français ont construits à la fin du XIXe face à la ligne de crêtes tenue par les italiens bloque ceux ci. 7 soldats français et 179 soldats italiens trouvent la mort.
Le 25, signature de l’armistice. Les Alpes-Maritimes font partie de la zone libre à l’exception de trois communes occupées : Isola et Fontan (partiellement), Menton (en totalité) et qui seront annexées de fait.
Juillet 1940 - Novembre 1942 - La zone libre et le régime de Vichy.

10 juillet. Vichy - Les pleins pouvoirs votés au Maréchal Pétain.
Le vote des parlementaires des Alpes-Maritimes.
Pour : les députés Baréty et Bounin. Les sénateurs Dreyfus et Médecin.
Contre : le député Hennessy.
Trois députés n’ont pas pris part au vote. Jonas qui a quitté la France pour les Etats-Unis en juin 1940 ; les communistes Barel et Pourtalet emprisonnés depuis l’automne 1939.
• Les administrations locales
Le Conseil général, supprimé, est remplacé par une commission administrative de neuf membres, nommés par le ministre de l’Intérieur.
Une loi de décembre 1940 décide que les villes de plus de 2 000 habitants auront un maire nommé par le gouvernement, qui confirme Jean Médecin dans ses fonctions.
• La collaboration
5 octobre 1940. Création de la première section départementale de la légion française des combattants à Nice (50 000 adhérents à la fin de 1941).
• La vie quotidienne
Le chômage s’accroît : l’horticulture est frappée par la perte des marchés extérieurs, le trafic portuaire diminue, l’hôtellerie est en crise.
Les studios de la Victorine, modernisés dans les années 30, sont en pleine activité : 20 films sont tournés de février à décembre 1941.
Novembre 1942 - Septembre 1943. - L’occupation italienne
A la suite du débarquement des alliés au Maroc et en Algérie, les Alpes-Maritimes sont occupées par les italiens (c’est la fin de la zone libre).
De nombreux juifs, fuyant les allemands, s’installent dans les Alpes-Maritimes,
(plus de 3 000).
Les italiens s’opposent à toute arrestation des juifs.
Février 1943. Institution du Service du Travail obligatoire (S T O) : sur 11 500 requis pour travailler en Allemagne en 1943, 3 200 seulement partent.
Développement de la Résistance. En 1943, de véritables maquis s’installent dans l’arrière-pays. Apparition d’une presse clandestine.
Juillet 1943. Jean Médecin est écarté de la mairie. S’il affirme son attachement au maréchal Pétain, il insiste publiquement sur le caractère français de Nice ; il refuse de débaptiser la Promenade des Anglais.

Septembre 1943 - Août 1944 - L’occupation allemande
Aussitôt après la capitulation italienne (8 septembre), les allemands pénètrent dans les Alpes-Maritimes et remplacent les italiens qu’ils désarment.
Les autorités françaises réintègrent Menton, Fontan et Isola qui cessent d’être annexées de fait par l’Italie.
Aggravation de la situation des juifs. On estime à 6 000 (sur 25 000) le nombre de juifs déportés.
Les bombardements
Le pont du Var (plusieurs fois de novembre 43 à août 44) ce qui vaut à Saint-Laurent d’être citée avec Caen “villes les plus sinistrées de France”.
La gare de marchandises de Saint-Roch à Nice, le 26 mai 1944 ; 284 morts, 100 disparus, 480 blessés, 600 immeubles détruits ou endommagés.
Un bombardement à La Bocca cause 40 morts et 160 blessés.
Les allemands détruisent à Nice le Casino de la Jetée - promenade.
La répression (1944)
Juin : Jean Médecin, arrêté par la milice, est interné à Belfort (où il sera libéré).
11 juin : 5 élèves du lycée Masséna sont exécutés à Saint-Julien-du-Verdon.
7 juillet : Torrin et Grassi sont pendus sur l’avenue de la Victoire.
12 août : 15 maquisards français et italiens sont fusillés à Sospel.
15 août : 22 détenus (dont 3 femmes) sont fusillés à l’Ariane (Nice).

La libération (après le débarquement du 15 août 1944 au Dramont).
Les américains pénètrent le 25 août à Cannes et Grasse, le 26 à Antibes, Cagnes, Vence.
28 août, Nice se libère elle-même ; les américains rentrent dans la ville le 30.
La majeure partie du département est libérée le 6 septembre

Juin 1940
L’évacuation de Menton :
Décidée par le commandement militaire français, préparée dès le 25 mai, elle a lieu le 3 juin. 15 700 personnes sont évacuées vers Antibes et Cannes.
Le 7 juin, les mentonnais sont conduits vers les Pyrénées orientales, où ils sont répartis dans 83 communes (à Prades un immeuble devient la “mairie de Menton”).
A partir d’octobre, un grand nombre d’entre eux rejoindront le département du Var.
La guerre (déclarée par les italiens le 10 juin) :
Le 20 juin, les italiens occupent la baie de Garavan et une partie de la baie ouest de Menton. Mais ils sont stoppés grâce à la résistance du fort du Cap-Martin.
L’armistice (24 juin) - Menton est occupée par les Italiens.

Juin 1940 - Septembre 1943 - Menton annexée de fait par les Italiens
Les occupants veulent italianiser la ville
L’Italien devient la langue officielle et obligatoire ; l’enseignement est donné en italien ; la signalisation des rues est en italien. De nouvelles bornes kilométriques indiquent la distance de Menton à Rome. Les habitants reçoivent une carte d’identité italienne et utilisent des timbres postes italiens. Un nouveau journal paraît, intitulé “Il Nizzardo”. La lire est la monnaie légale.
Les Français sont peu nombreux
Le recensement du 23 avril 1941 dénombre 6 700 habitants dont 4 500 italiens et 500 italiens qui avaient été naturalisés français.

Septembre 1943 - Septembre 1944 : Menton occupée par les allemands
8 septembre 1943 - L’arrivée des allemands provoque le retour de Menton au sein du département des Alpes-Maritimes. Le drapeau français est à nouveau hissé, les fonctionnaires français reviennent. Les inscriptions italiennes disparaissent.
Février - Mars 1944 - Evacuation du bord de mer. Création de la “zone réservée alpestre” dans laquelle Menton est comprise. La vie devient très difficile.
29 août 1944 - Des SS occupent Menton. 6 otages sont fusillés.
6 septembre 1944 - Les allemands quittent Menton où pénètrent le 8 des parachutistes canadiens et américains. Les Allemands, sur les hauteurs, continuent pendant plusieurs semaines à bombarder la ville (la guerre a endommagé 75 % des immeubles et en a détruit 10 % entièrement).

Octobre 1944 - Combats dans la région de la Bévéra
En trois semaines, le village de Castillon n’est plus qu’un amas de ruines.
Sospel, qui a durement souffert des bombardements américains, est libérée le 28 octobre.
Hiver 1944-1945
La haute vallée de la Roya, le massif de l’Authion, les crêtes frontalières de la Vésubie et de la Tinée sont toujours occupés par les allemands.
Les habitants de Breil, Fontan et Saorge sont évacués et conduits à Turin.
Avril 1945 - Combats dans la haute vallée de la Roya
Le 9, le général de Gaulle annonce à Nice la prochaine offensive (80 000 personnes écoutent l’orateur installé au balcon du casino place Masséna).
Le 12, les français qui viennent de remplacer les américains enlèvent l’Authion.
Le 13, Breil est libérée - le 14, Tende, la Brigue et Vintimille sont occupées.
Mise en place des délégations spéciales qui remplacent les conseils municipaux en vigueur sous Vichy. Le 19 septembre 1944, Virgile Barel est nommé président de la délégation spéciale de Nice.
L’épuration
Si des exécutions sommaires ont lieu (10 fusillés le 23 septembre au Fort-Carré d’Antibes), les tribunaux légaux n’ont pas été d’une grande sévérité. Sur les 4 487 inculpés jugés entre le 20 octobre 1944 et le 31 juillet 1947, 24 ont été condamnés à mort (dont les 3/4 graciés).
Jean Médecin et J. Bounin, entré dans la Résistance et devenu commissaire de la République à Montpellier, sont déclarés éligibles par le gouvernement.
Les conséquences de la guerre
L’essor démographique est brisé
1936 : 514 000 habitants - 1946 : 453 000 habitants (le nombre des étrangers a diminué de moitié).
Dans les régions frontalières de l’Italie certaines communes ont payé un lourd tribut :
- Menton : 1936 : 21 700 habitants. 1946 : 13 800 habitants.
- Breil a perdu 46 % de sa population, Sospel 44 %, Lantosque 36 %.
- Castillon, qui reçoit la croix de guerre, meurt du conflit. 1963 : 301 habitants, 1946 : 47 habitants (1982 : 79 habitants). Le nouveau village est construit à plusieurs kilomètres de l’ancien.
Le département est classé dans le tiers des départements les plus ravagés par la guerre. 16 000 habitants ou bâtiments publics détruits (en partie ou totalement).
Les élections municipales d’avril - mai 1945
Les femmes votent en France pour la première fois.
Nice (où Jean Médecin n’est pas candidat). Au second tour, la liste socialiste - MRP l’emporte. L’avocat J. Cotta, socialiste, est élu maire.

http://www.cg06.fr/cg/histoire-1914-chronologie.html

bonne journée

Sekhmet


 

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Nouveau message Post Numéro: 8  Nouveau message de Mahfoud06  Nouveau message 29 Oct 2007, 08:56

Merci beaucoup Sekhmet j'ai également la chronologie des evenements mais elle n'est pas aussi complète que celle que tu as trouvée . :D :cheers:


 

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Nouveau message Post Numéro: 9  Nouveau message de sekhmet  Nouveau message 29 Oct 2007, 11:49

salut à tous,

Je l'ai trouvée par hasard en cherchant des éléments sur les réfugiers pendant la SGM, dans le but de faire un inventaire de documents d'archives sur les réfugiers.

Cordialement

Sekhmet


 

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