Post Numéro: 7 de warbird 14 Mai 2006, 09:59
je vais essayer de resumé la vie de cet ecrivais pour le moins brillant mais aussi un fasciste du meilleur cru
il est né le 31 mars 1909 a perpignan son pére st Cyrien seras tué en 14.
A 16 ans il entre en khâgne au lycée louis le grand de paris, il y feras la connaissance de son meilleur ami et futur beau frére Maurice Bardèche.
En 1928, il est recu 28eme sur 30 a Normale Lettre
1931, il publie son premier essai : Présence de Virgile, entre temps il echoue 2 fois a l'agregation en 30 et 31, il se lance donc definitivement dans la littérature, participe a plusieur journaux et en 31 il est nommé responsable de la page littéraire du journal "l'action Française" dirigé par Charles Maurras.
Progressivement il va se détacher des idées nationaliste de l'action francaise pour se rapprocher des idées fasciste de JE SUIS PARTOUT, dont il devient le rédacteur en chef en 1937.
Lors de la période 31 à 39 il déborde d'activité, rédacteur en Chef, critique littéraire, publie des essais sur corneille, jeanne d'arc, Virgile, 2 volume sur la guerre d'espagne, un recueil de critique, un essai sur le théâtre contemporain et 5 romans, dont un est proposé en 38 pour le prix fémina et un autre en 39 pour le Goncourt.
Ces idées fasciste en font, en 1939, un des leaders de l'extrême droite, ses cibles favorites a l'epoque sont la démocratie, et l'antisemitisme, au sujet de la republique : En finiras t-on jamais avec les relents de pourritures parfumée qu'exhale encore la vieille putain agonisante, la garce verolée, fleurant le patchoulie et la perte blanche, la République, toujours debout sur son trottoir. Elle est toujours là, la craquelée, la lezardée, sur le pas de sa porte, entourée de ses michets et de ses petits jeunots, aussi acharnés que les vieux. Elle leur a tant rapporté de billet dans les jaretelles comment auraient ils le coeur de l'abandonner malgré les blennoragies et les Chancres? ils en sont pourris jusqu'aux os.
En septembre 39 il est mobilisés, affecté sur la ligne maginot il est fait prisonnier le 25 juin 40, comme lieutenant, il est envoyé dans un oflag, d'où il seras liberé en 1941.
De retour a Paris il reprend son poste de redacteur en Chef de je suis partout, vomissant sa haine du juif qu'il garderas jusqu'a la fin de sa vie, qui se rapproche.
En 1943, il démissionne de son poste de redacteur en chef, en effet sentant le vent tourné il aurais voulu donner a son journal une approche plus littéraire, mais se heurte aux éléments dur tel Cousteau ou Rebatet.
Il continue a écrire pour des journaux notamment "la Revolution Nationale".
A la libération il est a Paris se cache dans une chambre de bonne, rue de Tournon, c'est la qu'il apprend que sa mére à été arrétée.
Il décide donc de se livrer, il est arrété envoyé a Noisy puis a Fresne.
En Prison il continue a écrire, des piéces de théâtre, des Essais et même une traduction de Shakespeare.
Puis vient le temps du procés, on l'interrogeas pendant plus de 2 heures, son atitude : répondre clairement et calmement en essayant de garder le plus possible la parole, il se montre particuliérement brillant, les observateurs de l'époque disent qu'il surclasse largement le président Vidal chargé de mener les débats. ils affirment que ses déclarations antirépublicaines et antisémite n'ont rien a voir avec la guerre, qu'elle represente son opinion la plus profonde et qu'on peux les ressentirs dans ses ecrits d'avant guerre : ses derniers mots furent Je ne puis rien regretter de ce qui a été moi même. les requisitoires des défenseurs suivent, il n'a plus la parole, lorsque le président lit la sentence de mort il est calme, dans le tribunal on entend des huées des Cris "assasins" "c'est une honte", il répond "c'est un honneur".
Des personnalités de la literature, font signer une petition pour un recours en Grace auprés du général De Gaulles, qui la refuseras.
Robert Brasillach est fusillé le 6 février 1945 au fort de Montrouge