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Léon Martin, maire de Grenoble

Nouveau messagePosté: 11 Avr 2014, 23:14
de alfa1965
Si l'armée d'occupation italienne ne s'est pas montrée aussi féroce que celle allemande, sans persécution contre les Juifs ou crimes de guerre, les agents de l'Ovra, la police politique du régime s'est montrée active, ainsi le maire socialiste de Grenoble, Léon Martin, a été emprisonné en Italie pour s'en évader après la chute de Mussolini le 25 juillet 1943.
http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_Martin
ALEX

Re: Léon Martin, maire de Grenoble

Nouveau messagePosté: 12 Avr 2014, 07:36
de ANCIENFACTEUR
Pendant l'occupation de Grenoble, par les italiens, puis les allemands, Mr Cocat était maire de Grenoble,. Il prononcera l'éloge funébre du dernier prefet vichissoy Pilippe Ftrantz, assassiné
par la resistance. (CDL comite de liberation)

Re: Léon Martin, maire de Grenoble

Nouveau messagePosté: 12 Avr 2014, 17:54
de brehon
Bonjour,

Ce n'est donc pas en qualité de maire que Léon Martin a été emprisonné, puisqu'il ne l'était plus depuis 1935.

Re: Léon Martin, maire de Grenoble

Nouveau messagePosté: 12 Avr 2014, 18:04
de Prosper Vandenbroucke
Oui en effet Yvonnick. bien vu.
Quelques explications seront sans doute la bienvenue.
Amicalement
Prosper ;)

Re: Léon Martin, maire de Grenoble

Nouveau messagePosté: 12 Avr 2014, 18:58
de fbonnus
brehon a écrit:Bonjour,

Ce n'est donc pas en qualité de maire que Léon Martin a été emprisonné, puisqu'il ne l'était plus depuis 1935.


Visiblement une évidence ... voilà de quoi relancer des débats intéressants ...

Re: Léon Martin, maire de Grenoble

Nouveau messagePosté: 12 Avr 2014, 20:56
de Didier
Bonsoir,

C'est dans la page wiki en lien il était résistant, je cite :

"Le 10 juillet 1940, Léon Martin vote contre les pleins pouvoirs à Philippe Pétain (il est député). Il s'engage ensuite dans la Résistance, comme dirigeant fondateur du réseau Franc-Tireur dans la région alpine, avec Eugène Chavant, Jean Perrot et Aimé Pupin. Il distribue des tracts et des journaux clandestins et aide les réfractaires au Service du travail obligatoire à rejoindre le maquis. Il est arrêté le 4 avril 1943 par des soldats italiens (l'Italie occupant les Alpes depuis novembre 1942) et incarcéré aux forts de l'Esseillon en Savoie. Cinq mois plus tard, il s'évade, grâce à la chute de Mussolini, et retourne en France. Il participe alors à la Résistance dans le Massif central."

Didier