Bonsoir,
PIERRE.S a écrit:Yvonnick pensait sans doute aux camps implantés en Bretagne (Quimper, Rostrenen, Rennes, St Brieuc...)
Tout à fait.
Sur le site
Chemins de mémoire en lien plus haut, je suis étonné par cette information:
A partir de janvier 1943, devant les besoins du front de l'Est, la Wehrmacht mobilise tous ses moyens et le gouvernement français répond favorablement à la demande allemande de faire assurer la garde dans certains frontstalags par des officiers français. Ce transfert crée une situation inédite et suscite des interrogations puisque les anciens officiers français des troupes indigènes deviennent subitement leurs geôliers. Ceci accroîtra la démoralisation des prisonniers ainsi que le sentiment d'avoir été trahis au nom d'une raison d'Etat ...D'après ce que je comprends, c'étaient des officiers de l'armée et non pas des gendarmes. Quel était leur statut? Et qui dit officiers dit sous-off et hommes de troupe car je n'imagine pas des officiers français commandant de la troupe allemande. J'ai un peu de mal à concevoir des soldats français prisonniers gardés par des officiers français.