40 millions d'otages??
Posté: 04 Sep 2008, 19:02
Bonjour,
Je vais reformuler ma question en essayant de ne pas déclancher une rafale de points d'exclamation.
Tout d'abord une précision: je m'interesse à cette période depuis très peu de temps et je suis un néophyte en histoire.Je m'y interesse pour essayer de comprendre l'environnement dans lequel mon père à vécu sa jeunesse (embarqué vers Casa le 18.6.40, bombardé par les américains le 8.11.42....). Pardonnez-moi donc de ne pas être un savant infaillible.
Je reformule: la plupart du temps le sujet de l'armistice est abordé de façon "émotionnelle" à travers les choix de quelques figures historiques. Donc ,sans émettre de théories fumeuses, peut-on raisonnablement penser que les décideurs ont tenu compte des désirs de la population. Est-ce que le peuple avait une quelconque valeur dans la décision. Pardonnez- moi encore mais j'ai du mal à digérer le schéma classique qui consiste à classer les français de l'époque en 2 catégories: d'un coté les vils défaitistes incapables et de l'autres quelques centaines de visionnaires. La disproportion est trop grande pour que le choix de l'armistice ne relève que de l'incompétence.
Je vais reformuler ma question en essayant de ne pas déclancher une rafale de points d'exclamation.
Tout d'abord une précision: je m'interesse à cette période depuis très peu de temps et je suis un néophyte en histoire.Je m'y interesse pour essayer de comprendre l'environnement dans lequel mon père à vécu sa jeunesse (embarqué vers Casa le 18.6.40, bombardé par les américains le 8.11.42....). Pardonnez-moi donc de ne pas être un savant infaillible.
Je reformule: la plupart du temps le sujet de l'armistice est abordé de façon "émotionnelle" à travers les choix de quelques figures historiques. Donc ,sans émettre de théories fumeuses, peut-on raisonnablement penser que les décideurs ont tenu compte des désirs de la population. Est-ce que le peuple avait une quelconque valeur dans la décision. Pardonnez- moi encore mais j'ai du mal à digérer le schéma classique qui consiste à classer les français de l'époque en 2 catégories: d'un coté les vils défaitistes incapables et de l'autres quelques centaines de visionnaires. La disproportion est trop grande pour que le choix de l'armistice ne relève que de l'incompétence.