Connexion  •  M’enregistrer

Continuer la lutte?

De l'assaut sur Dakar à la bataille d'El Alamein, les combats en Méditerranée. Opération Torch et la suite logique avec le débarquement en Sicile et les affrontements dans la péninsule italienne. Anzio, Monte Cassino, le Garigliano...
MODÉRATEURS : Gherla,alfa1965

Nouveau message Post Numéro: 91  Nouveau message de Enrico Cernuschi  Nouveau message 11 Mai 2008, 21:32

The legend about an evil plot by few men against the French people will to fight in June 1940 until victory or further human losses, both soldiers and civilians, is a ridiculous one, like the idea the French had the same opportunities of the British.
The UK had the Channel between itself and the Panzer, the French not.

It's impossible, then, to forget easy the factors which induced the people to prefer an armistice at an impossible fighting at home and in Africe. The first is fear, the same panic which throw some millions of people on the roads trying to avoid the German columns. It's unuseful to try to understand those unfortunate families reaction with the not so bad German attitude in 1940-1943 during that phase of the occupation.
They could not know what would have been the future German policy in their country. They knew only (and they were correct) what had been Poland's fate and they were fearful to face the same firing squads.
Any French government retreat in North Africa to go on with the war (or a succesful very few French golpe against the government to fight beyond the sea) would have to persuade the French governors, commands, troops and civilians, that it was worth to fight even at the price of new Polish style massacres, violences, plunders ect at Home.
In Nov. 1942 such a fear had been tempered by the quite different german policy materialized in 1940-1942, but it was not, however, an easy exercise and it needed time: weeks for a first collaboration with the Allies, months for a joint leadership between Giraud and De Gaulle, years for the political possibility to declare, at Algiers, a French government the British and USA did not recognize avoiding, at least, by mere chance the AMGOT rule over France.
In June 1940 such a slow process would be impossible.

Edit:

Traduction:

La légende d'un complot maléfique fomenté par quelques hommes contre le souhait du peuple français de continuer le combat en 1940 jusqu'à la victoire ou du moins jusqu'à des pertes humaines plus importantes, autant civiles que militaires, est complètement ridicule, tout comme l'idée que la France avait les mêmes opportunités que les Britanniques. Ces derniers avaient la Manche entre eux et les Panzer, la France, non.

C'est impossible alors d'oublier facilement les facteurs qui ont incité le peuple à préférer l'armistice à un combat infaisable sur le sol français et en Afrique. Le premier est la crainte, la même que cette panique qui a poussé des millions de personnes sur les routes pour fuir les colonnes allemandes. Il est inutile d'essayer de comprendre la réaction de ces pauvres familles en face de l'attitude "pas trop mal" des Allemands pendant l'occupation entre 1940 et 1943.

Ils ne pouvaient deviner vers quelle politique allaient s'orienter les Allemands dans leur pays. Ils savaient seulement (avec raison) quel avait été le destin de la Pologne et ils avaient terriblement peur de subir le même sort. Toute retraite du gouvernement vers l'Afrique pour continuer la guerre ( [??? golpe???]) aurait obligé à persuader les gouverneurs, commandants, troupiers et civils français qu'il était utile de continuer le combat malgré le prix de massacres comme ceux de Pologne, des violences, des pillages, etc... au pays.

En novembre 1942, une telle peur aurait été vécue différemment suite à la politique allemande qui s'est matérialisée entre 1940-1942 mais tout cela nécessitait du temps: des semaines pour une première collaboration avec les alliés, des mois pour un leadership conjoint entre Giraud et De Gaulle, des années pour la possibilité de proclamer, à Alger, un gouvernement français que les Britanniques et les Américains n'auraient pas reconnu, en evitant, de très peu la possibilité que les règles de l'AMGOT sévissent en France. En juin 1940, une évolution aussi lente était impensable.


 

Voir le Blog de Enrico Cernuschi : cliquez ici


Nouveau message Post Numéro: 92  Nouveau message de Enrico Cernuschi  Nouveau message 11 Mai 2008, 21:54

Once we have considered the political not feasibility to go on with the war in Africa we can consider the logistic problem.

North Africa, not to mention West Africa and the other minor garrisons in Congo ect. had been depleted in May 1940 of their tiny stocks for Home. The few elite divisions too available there had been transferred and melted in the battle.
When Weygand (who did not believe since his first day of command in the idea of a resistence abroad as th ebattle had to be won or lost at Home) noted the deposts were empty he was only right.

The idea to be supplied by Britain in 1940 is then a ridiculous one. The French rifles, machine guns and guns used bullets and munitions different from the British ones. To manifacture them would have needed months or, better, years not forgetting, of course, that the British industry an the Commonwealth one had in 1940 the capacity to supply the very small British Army and not the bigger French one in Africa. The idea the British, who had lost almost everything in France, would give up the idea to deliver the few munions they could make to the French in Tunisia, Algeria and Marocco (there were since 1939 three divisions there facing the menace of Seven Spanish ones) while their own country was facinf the menace of an invasion is an other funny one.
The choice the British could give the French troops new stocks of weapons able to use the Made in England munitions is an other silly program. The British had not enough weapons to mobilize again the empty hands soldiers who were back from Dunkirk.

The suggestion USA could grant the French the weapons and the munitons too in 1940 is, at least, whisful thinking only. Washington could send during Summer 1940 only an amount of old rifles and guns with very little munitons able to arm a Corp, not an Army.

Then ther's the Air Force problem. The zincs had been transferred by their pilots, all right, but the land personnel? Without the miserable mechanics (and the logistic chain of the North Africa airports was not enought for the forces yet present there in May 1940) the planes would be unserviciable after few days (not a single week) of oeprations, training and transfers included. And the bullets? And the bombs? And, above all, the spares? Cannibalizing the planes was not a solution, as the Campaign of France had yet confirmed.

For the navy the problem is the same. After a season it would become just rusty steel. Oran had no real facilities, think only at the time she needed to repair someway the Provence and above all Dunkerque, not to mention Richelieu.

Without an adequate air umbrella (with the souvenir of the defeat suffered at Home for the same alleged cause), with a fleet damned to be reduced more an more in efficency, troops, pilots and sailors whose morale would be in ashes for the defeat at home and the unknown fate of their families, in a wrecked logistic condiction and as an ally the same traitors who had escaped when asked to act as the second branch of the Arras attempt on 21 May 1940 and had, according the opinion of the huge majority of the people, went away at Dunkir at the expenses of the poor French soldier a 1940 campaign in North Africa was a military nonsense.

War was over for France in 1940 (and later too)

EC

Edit:

Traduction:

Une fois que nous avons établi la non-faisabilité politique du projet de guerre en Afrique, nous pouvons considérer le point de vue logistique.

L'Afrique du Nord, sans compter l'Afrique de l'Ouest et les autres garnisons mineures au Cogo, etc. ont été vidées de leurs inventaires en mai 1940 au profit de la Mère patrie. Le peu de divisions d'élite présentes dans ces colonies ont été transférées également pour être lancées dans la bataille.
Quand Weygand (qui ne croyait pas à l'éventualité d'une résistance à l'étranger depuis son premier jour comme commandant: la bataille devait être gagnée ou perdue en France) mentionna que les dépôts étaient vides, ils l'étaient réellement.

L'idée d'être ravitaillé par l'Angleterre en 1940 est ridicule en soi. Les munitions des carabines, mitrailleuses et canons français n'étaient pas du même calibre que celles utilisées par les Britanniques. Usiner de telles munitions aurait nécessité des mois, voire des années, sans oublier que les industries britanniques et celles du Commonwealth parvenaient à peine à suppléer aux besoins de l'Armée britannique. Penser que les Britanniques, qui avaient presque tout perdu en France, allaient produire les modestes quantités de munitions qu'ils pouvaient se permettre afin de ravitailler les Français en Tunisie, en Algérie et au Maroc (il y avait trois divisions présentes là depuis 1939 pour s'opposer aux sept espagnoles), pendant que leur pays risquait une invasion ? C'est un peu gros, non ?

Le choix de produire des armes pour les Français afin de pallier à l'incompatibilité des munitions est un programme tout aussi impensable. Il fallait d'abord penser à rééquiper les troupes dont les armes avaient été perdues à Dunkerque.

Du côté américain, l'entreprise demeure elle aussi utopique. Washington, à l'été 40, ne pouvait se permettre que l'envoi de quelques vieux fusils et canons avec juste assez de munitions pour équiper un Corps d'armée et non une armée entière.

Maintenant, il y a le problème de l'armée de l'air. Les appareils avaient été transférés par leurs pilotes, d'accord, mais qu'en était-il du personnel de soutien terrestre ? Sans les mécaniciens (et la chaîne logistique des aéroports d'Afrique du Nord était insuffisante pour les forces présentes en mai 1940), les avions auraient été hors de service après quelques jours (pas même une semaine) d'opérations, entraînement et transferts inclus. Et les obus ? Et les bombes ? Et mieux encore, les pièces de rechange ? Utiliser les pièces d'un appareil pour en réparer un autre n'aurait pas été une solution comme le confirma la campagne de France.

Pour la marine le problème est similaire. Après une saison, de l'acier rouillé. Oran n'avait pas les installations nécessaires, pensez seulement au temps requis pour réparer le Provence ou mieux encore le Dunkerque, sans parler du Richelieu.

Sans une protection aérienne adéquate (avec le souvenir de la défaite en France pour la même raison), avec une force combinée air-mer condamnée à s'amoindrir de plus en plus en efficacité, troupes, pilotes, marins dont le moral s'affaiblirait conséquemment à la défaite sur le sol de la Mère patrie et l'ignorance du sort des familles restées là-bas; avec des conditions logistiques qui tombent en ruines; avec comme alliés les mêmes traîtres qui ont déguerpi quand on leur avait demandé d'être la seconde branche de la tentative d'Arras le 21 mai 1940 et ont, selon l'opinion de la majorité des gens, abandonné les Français à leur triste sort à Dunkerque; peut-on réellement envisager sérieusement une campagene en Afrique du Nord ? Un non-sens militairement.

La guerre était terminée pour la France en 1940 (et plus tard également).

EC


 

Voir le Blog de Enrico Cernuschi : cliquez ici


Nouveau message Post Numéro: 93  Nouveau message de Bruno Roy-Henry  Nouveau message 11 Mai 2008, 23:19

Sorry, mon anglais est trop mauvais et je crains des contre-sens...

Pour moi, conséquence forcée, la prose d'EC est nulle et non avenue. Mais si quelqu'un veut bien traduire, je me ferais un plaisir de répondre ! :mrgreen:


 

Voir le Blog de Bruno Roy-Henry : cliquez ici


Nouveau message Post Numéro: 94  Nouveau message de Audie Murphy  Nouveau message 12 Mai 2008, 04:37

Je vais tenter de traduire quand je le pourrai.


 

Voir le Blog de Audie Murphy : cliquez ici


Nouveau message Post Numéro: 95  Nouveau message de Pacificelectric  Nouveau message 12 Mai 2008, 12:51

Enrico, envoie une caisse de Chianti à Audie pour le motiver......


 

Voir le Blog de Pacificelectric : cliquez ici


Nouveau message Post Numéro: 96  Nouveau message de Enrico Cernuschi  Nouveau message 12 Mai 2008, 18:12

Horreur. Le chianti c'est toscane! Lambrusco de Bologna or rien.

EC


 

Voir le Blog de Enrico Cernuschi : cliquez ici


Nouveau message Post Numéro: 97  Nouveau message de Prosper Vandenbroucke  Nouveau message 12 Mai 2008, 18:30

Enrico Cernuschi a écrit:Horreur. Le chianti c'est toscane! Lambrusco de Bologna or rien.

EC

Hi Enrico,
Audie shall be pleased with some slices of prosciutto or Mortadella.
He doesn't support italian wine.
Kindly regards
Prosper ;)
Hi Enrico,
Audie sera déjà content avec quelques tranches de jambon ou de Mortadelle
Il ne supporte guère le vin italien.
Amitiés
Prosper ;)
L'Union fait la force -- Eendracht maakt macht

Image
http://www.freebelgians.be

Administrateur d'Honneur
Administrateur d'Honneur

Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 99337
Inscription: 02 Fév 2003, 21:09
Localisation: Braine le Comte - Belgique
Région: Hainaut
Pays: Belgique

Voir le Blog de Prosper Vandenbroucke : cliquez ici


Nouveau message Post Numéro: 98  Nouveau message de Audie Murphy  Nouveau message 12 Mai 2008, 19:03

Je supporte assez bien le vin peu importe la provenance. Mais avec ou sans, j'ai maintenant traduit tous les messages d'Enrico. À vous de retourner voir, j'ai édité chaque message.

En passant, excellente analyse Enrico. Je partage ton avis à 99 % !


 

Voir le Blog de Audie Murphy : cliquez ici


Nouveau message Post Numéro: 99  Nouveau message de Enrico Cernuschi  Nouveau message 12 Mai 2008, 20:48

Audie,

nous vous félicitons pour vos exploits.
Et maintenon j'ai une mission de la plus haute importance à vous confier:
c'est une mission secrète, bien entendu.

EC


 

Voir le Blog de Enrico Cernuschi : cliquez ici


Nouveau message Post Numéro: 100  Nouveau message de Bruno Roy-Henry  Nouveau message 12 Mai 2008, 22:38

Enrico Cernuschi a écrit:L'ouverture d'un front en Afrique du Nord n'est pas une option en 40 car:

a) Le peuple français dans sa majorité demandait la paix depuis l'invasion de mai 40; l'appel de De Gaulle sur la BBC était une sorte de tragi-comédie qui n'avait été entendue dans les premières semaines que par quelques milliers de Français (3000 tout au plus) sur une population de 40 millions de personnes, soit un pourcentage insignifiant. Les choses ont changé plus tard, mais pas réellement avant l'automne 1943. Nous parlons pourtant des jours, voire des heures de juin 1940. Il n'y avait pas l'ombre d'une chance pour un M. Untel comme le futur Grand Charles d'impressionner qui que ce soit, et encore moins que moins les plus de 20 millions de Français requis pour changer le cap de la politique du pays.


Cette opinion est bien trop catégorique. Le voeu du peuple français en temps de guerre compte pour rien. Les élites de 1914/18 ont su le rappeler, Clémenceau notamment.

Il ne s'agit donc pas d'impressionner qui que ce soit. Il suffit qu'une majorité de ministres se prononce pour la guerre à outrance. Notons d'ailleurs que cette éventualité a été envisagée par Pétain lui-même si les Allemands avaient exigé la livraison de la Flotte ou l'occupation de l'Empire...

b) [Ici, j'ai eu du mal à traduire à cause de la longueur de la phrase, donc en gros:] La seule alternative logique qu'il restait au jeune général récemment promu et sans appui, premier homme de l'armée, dévoué aux plus illustres Weygand et Gamelin, sans compter le grand respect porté au Maréchal Pétain partout au pays, était Reynaud. Même le Président Lebrun, au 16 juin, avait perdu toute confiance envers le Premier [ministre ?] (qui n'était pas supporté par la totalité de ses ministres et qui commençait à douter - avec raison - de lui-même devant les dimensions de la défaite. Il était un solide économiste, mais pas le leader d'un pays en guerre qui doit faire face au désastre. Sa conduite pendant et après la crise confirme qu'il ne pouvait tout simplement pas la maîtriser - En passant, je crois que même Napoléon n'y serait pas parvenu, c'était pire qu'en avril 1814 et juin 1815).


Ah, si on parle de Napoléon... :mrgreen:

Pour rester sérieux, il suffisait que Mandel se prononce pour la guerre et prenne les mesures appropriées. Il ne l'a pas fait parce qu'il était juif, ce qui lui posait un problème de conscience... De Gaulle n'avait évidemment -à cet instant- aucun prestige, ni même aucun poids. Mais il a quand même accompli ce qui devait être... :cheers:

c) Donc aucun leadership pour un Français combattant en Afrique. Qu'en est-il d'un parti prêt pour cette mission ? Pas un seul parti ne proposa un tel plan; seulement quelques personnes à l'intérieur de ces partis. Ils étaient peu et sans support parlementaire. Vous n'avez qu'à compter les passagers du Massilia et leur rang pour vous assurer que leur influence sur la Chambre atteignait à peine 5% alors que le Sénat brillait par son absence mis à part un seul homme.
Dans ces conditions, seul un putsch pouvait conduire au choix politique de continuer le combat en Afrique.


Voilà une opinion trop tranchée. Surtout si l'on se rappelle de la position de Noguès et même de Darlan. Quant au parlement, il était prorogé. Il suffisait de le convoquer à Alger et ceci aurait soulagé beaucoup de ces messieurs...

d) Mais un coup d'état nécessite le support de l'Armée (qui s'opposait depuis le début à cette option), du temps pour planifier et de solides communications de la part des membres du complot. Ces conditions tenaient du rêve en juin 1940. Dans des conditions plus tranquilles, en mars 1940, il aurait été possible de changer Daladier pour Reynaud et d'offrir aux Britanniques une alliance à la vie à la mort en espérant ne pas avoir à faire face réellement à un tel dilemme; en juin 1940, il n'y avait aucune chance de voir un acte aussi sordide se réaliser. La seule façon d'agir, comme l'admit tristement le Président Lebrun dans la nuit du 16 au 17 juin 1940, était d'écouter les recommandations du peuple avant tout et celui-ci demandait la paix en croyant, comme la majorité des Italiens, Américains et autres peuples étrangers en 1940, que la guerre se terminerait sous peu.


Un putsch n'est pas un coup d'état. Nul besoin de procéder comme le fit Pétain le 11 juillet. Naturellement, il fallait l'accord du président de la République. Mandel ne pouvait succéder à Reynaud sans l'accord de Lebrun.

Ce dernier se moquait bien d'écouter le peuple... Comment croire et défendre une telle naïveté dans ces tristes circonstances ? Lebrun écoutait la majorité des ministres; il a écouté Reynaud qui lui a proposé de nommer Pétain à sa place. Mandel et Reynaud auraient facilement pu organiser un scénario pour que le premier succède au second, au besoin sans vote du cabinet Reynaud en train de se liquéfier...


 

Voir le Blog de Bruno Roy-Henry : cliquez ici


PrécédenteSuivante

Connexion  •  M’enregistrer

Retourner vers LA GUERRE EN AFRIQUE, EN MEDITERRANEE ET EN ITALIE




  • SUR LE MEME THEME DANS LE FORUM ...
    Réponses
    Vus
    Dernier message
 
  ► Les 10 Derniers Posts du jour Date Auteur
    dans:  Quiz suite - 7 
il y a 5 minutes
par: Prosper Vandenbroucke 
    dans:  Les Feux de la rampe 2.0 : La guerre en Indochine, 1 er septembre 1939/14 septembre 1956. 
Aujourd’hui, 09:46
par: iffig 
    dans:  Les Feux de la rampe 2.0 : Épaves de guerre (1936-1945) 
Aujourd’hui, 08:56
par: NIALA 
    dans:  Navire russe Kommuna 
Aujourd’hui, 08:31
par: NIALA 
    dans:  Uniformes des Etats baltes : la Lettonie 
Hier, 21:52
par: iffig 
    dans:  Identification d'un MS-406-C1 
Hier, 19:56
par: coyote 
    dans:  Polikarpov I-16 : le chasseur de 1941 ... 
Hier, 17:40
par: Marc_91 
    dans:  Coulommiers 
Hier, 12:13
par: coyote 
    dans:  Recherche déportation Pologne 
Hier, 11:22
par: Prosper Vandenbroucke 
    dans:  Moteurs d'aviation soviétiques 
Hier, 09:38
par: Marc_91 

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 83 invités


Scroll