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SIS-SIM et SIA ITALIEN

De l'assaut sur Dakar à la bataille d'El Alamein, les combats en Méditerranée. Opération Torch et la suite logique avec le débarquement en Sicile et les affrontements dans la péninsule italienne. Anzio, Monte Cassino, le Garigliano...
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SIS-SIM et SIA ITALIEN

Nouveau message Post Numéro: 1  Nouveau message de arc_royal68  Nouveau message 06 Jan 2020, 11:45

Bonjours, identique à l'Abwehr Allemande, mais les italiens eux, était depuis plus longtemps implanté avec leurs services de renseignements dans l’hémisphère Méditerranéenne.
Ainsi ici dans ce sujet, ont pourra intégré toutes les missions, du moins qui sont connu, et que soit le Servizio Informazioni Militare (SIM)
Servizio Informazioni Segrete (SIS) et le Servizio Informazioni Aeronautica (SIA) ont effectuer ou faisait partie ou les informations transmises était capitale pour les missions.

Donc pour l'abwehr, ont connait déjà certain nom tel l'Amiral Canaris et les autres qui ont été ses subordonnés.
Mais qu'en est t'il pour le service de renseignement Italien, qui eux, depuis des années, était implanté dans la méditerranée?

Connaissez vous quelques nom?
Cela ne m'étonnerais pas, que des noms d'agent vont sortir, et qui eux seront liée à des histoire d'espionage au CAIRE, ou je vous le rappelle, que en 1942, Rommel et les hommes du Regiment "Brandenburg" de cannaris, ont réussis l'audacieuse mission, de traverser l'enfer du dessert pour faire entrer en Egypte deux espions, la distance parcouru = était plus de 3000 km.
et ici il s'agissait du comte el Mazri. travaillant pour Canaris. Ou une fois au Caire il était en liaison avec des agents Italiens et pro Allemand.


 

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Re: SIS-SIM et SIA ITALIEN

Nouveau message Post Numéro: 2  Nouveau message de Prosper Vandenbroucke  Nouveau message 06 Jan 2020, 11:59

Bonjour Georges,
Arc_Royal68 a écrit
et ici il s'agissait du comte el Mazri. travaillant pour Canaris.


N'est-ce pas le comte László Ede Almásy de Zsadány et Törökszentmiklós dont tu veux parler??? Mais je peux me tromper!!!!!
Amicalement
Prosper ;) ;)
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Re: SIS-SIM et SIA ITALIEN

Nouveau message Post Numéro: 3  Nouveau message de arc_royal68  Nouveau message 06 Jan 2020, 14:39

Oh pétard, oui je ne sais pas pour quel raison Masri.
Oui Almasy!
Et pour quel raison, aussi, ici les Allemands ne l'ont pas échanger après sa capture avec son homologue Anglais, Robert Clayton?, qui lui as été fait prisonnier pendant qu'il aidait La colonne Leclerc.
Puisque Clayton et AlMasy, eux ont fait tout les deux le sahara ensemble dans les années 20-30.


 

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Re: SIS-SIM et SIA ITALIEN

Nouveau message Post Numéro: 4  Nouveau message de Prosper Vandenbroucke  Nouveau message 06 Jan 2020, 17:09

Arc_Royal68 a écrit,
Et pour quel raison, aussi, ici les Allemands ne l'ont pas échanger après sa capture avec son homologue Anglais, Robert Clayton?


Mais Laszlo de Almásy fut arrêté en Hongrie à la fin de la guerre, me semble-t-il, et il fut interné par les Soviétiques, donc je suppose que les Soviétiques ne furent pas intéressés par un échange avec un britannique??????
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Re: SIS-SIM et SIA ITALIEN

Nouveau message Post Numéro: 5  Nouveau message de arc_royal68  Nouveau message 06 Jan 2020, 18:34

he ben, c'est si long déjà, que j'avais vue le film.
Oui, je ne sais pas, mais là je confond tout.
Operation "Sallam" le nom de l'espion Arrêter par les britannique était Johannes Eppler.
Beau père Gaffer (Egyptien) mère Allemande, ainsi chez quelques un il fut dénommé Hussein Gaffer, et chez les Allemands c'était Eppler. Et ici pour l'opération Sallam, Almaszy les as conduit en traversant le dessert, par le sud, et en retrouvant un point d'eau alors qu'ils n'en avait plus une goutte, en raison que un caillou, lors de l'explosion d'un rocher qui barrait leurs passage, leurs avait casser leurs robinet d'eau de leurs réservoir.

Donc mes excuses, en raison, que Johannes Eppler n'avais pas de liaison directe avec Clayton.


 

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Re: SIS-SIM et SIA ITALIEN

Nouveau message Post Numéro: 6  Nouveau message de alfa1965  Nouveau message 06 Jan 2020, 18:43

Les agents du SIM avaient réussi quelques jolis coups
viewtopic.php?f=23&t=40750&start=0&hilit=SIM
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Re: SIS-SIM et SIA ITALIEN

Nouveau message Post Numéro: 7  Nouveau message de arc_royal68  Nouveau message 06 Jan 2020, 22:33

Bien alors de mon côté, j'ai trouvé les infos suivantes:


 

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Re: SIS-SIM et SIA ITALIEN

Nouveau message Post Numéro: 8  Nouveau message de Prosper Vandenbroucke  Nouveau message 06 Jan 2020, 22:40

arc_royal68 a écrit:Bien alors de mon côté, j'ai trouvé les infos suivantes:

De quelles informations veux-tu parler??????
je ne vois rien!!!!!!
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Re: SIS-SIM et SIA ITALIEN

Nouveau message Post Numéro: 9  Nouveau message de arc_royal68  Nouveau message 07 Jan 2020, 00:32

donc voici, ce que ma source elle énumère:
Et oufffff je vient de terminer, et mes excuses pour l'attente.

Thaddeus Holt_ The Deceivers: Allied Military Deception in the Second World War a écrit:Le contraste avec la bouffonnerie japonaise (Hikari Kikan) c'était la compétence des Italiens. C'était le plus secret des services secrets de l'Axe sur le plan technique; reflétant peut-être une aptitude qui remonte au moins à l'âge de Machiavel et de Cesare Borgia. Mais les Italiens ont parfois fait à peine mieux que leurs alliés pour parvenir à des jugements et évaluations intégrés sur un plan stratégique.

Chacun des trois services de l'armées italiennes avait sa propre branche de service de renseignement. Pour le corps de l'armée était le Servizio de Informazione Militare, ou SIM. Le bras du renseignement de la Marine c'était le Servizio Informazioni Segrete, ou SIS. Et Celui pour la Regia Aéronautica était le Servizio Informazione Aeronautiche, ou SI A. Il n'y avait pas de coordination efficace entre eux.

Le SIS naval manquait de personnel et se concentrait sur la cryptographie et le renseignement tactique, en se concentrant sur la France et la Yougoslavie; il écoutait régulièrement le trafic de ces marines. Il ne semble pas avoir maintenu de coordination régulière avec la section cryptographique du SIM, qui a eu un certain succès contre le trafic naval britannique. Ses compétences en évaluation étaient limitées, ce qui reflète son attention première à l'intelligence tactique. Son chef jusqu'en mai 1941 était l'amiral Giuseppe Lombardi, puis l'amiral Franco Maugeri. Le renseignement aérien, le SIA, était encore plus faible, consacrant ses ressources limitées aux développements techniques étrangers et à la protection des bases aériennes contre l'espionnage étranger. Ses compétences en évaluation étaient également médiocres; en 1940, il surestimait considérablement la force aérienne française. Son chef était le général Virgilio Scagliotti.

Le SIM était infiniment le plus important de ses trois services. Administrativement, c'était un département du ministère de la Guerre, qui relevait d'un chef d'état-major adjoint - pendant la période importante de la Seconde Guerre mondiale, c'était le général Mario Roatta, qui avait lui-même as dirigé le SIM de 1934-1937 - pour ses fonctions techniques et de renseignement. . Les chefs successifs du SIM au cours de la période 1939-43 jusqu'à ce que l'Italie abandonne l'Axe étaient le successeur de Roatta, le colonel Donato Tripiccione de juillet 1937 à août 1939, le général Giacomo Carboni de novembre 1939 à septembre 1940, et le colonel, plus tard général, Cesare Arne de cette époque jusqu'au 18 août 1943; Ame était depuis le 1er janvier 1940, vice-chef de Carboni, avec toutes les responsabilités techniques et opérationnelles.

Giacomo Carboni était un homme élégant avec une moustache fine comme un crayon et un air désinvolte, qui entretenait une haute opinion de lui-même qui semble avoir été partagée par le maréchal Badoglio, le chef d'état-major, mais pas nécessairement par beaucoup d'autres, qui considéraient lui en tant que carriériste qui a fait l'éloge de Mussolini et a rejoint le gendre du dictateur et le ministre des Affaires étrangères, le comte Ciano jusqu'à ce que le vent change et qu'il passe à l'antifascisme. Carboni avait vu le service avec le SIM au cours de sa carrière, était devenu un général à un âge remarquablement jeune en 1937 et avait repris SIM en 1939. Pour l'entendre le dire, il a trouvé un bureau paresseux qui ne faisait guère plus que des journaux de presse , et en a fait en quelques mois le meilleur service de renseignement en Europe.

Si c'était le meilleur en Europe, ce n'était pas le cas de Carboni, et vous ne l'auriez certainement pas su grâce au produit que Carboni a livré dans le cadre de l'entrée en guerre de l'Italie en juin 1940. Après une visite en Allemagne au début de cette année, Carboni a rapporté que le pays était découragé et semblait déterminé à s'autodétruire. Mussolini était mécontent. Alors que le Duce approchait d'une décision de guerre, Carboni a fourni des estimations des ordres de bataille sur les français et les britanniques en France et en Afrique qui étaient grotesquement gonflés au-delà de tout ce que même Roenne en Allemagne aurait rêvé. Il n'était pas seul dans ce domaine; la SIA a également gonflé les chiffres de la puissance aérienne alliée. Ces estimations du renseignement, combinées à d'autres facteurs tels que la réticence du roi, de la marine et de Badoglio à entrer en guère, en produisant une inactivité presque totale des forces italiennes lors de leur entrée en guerre, les attachés allemands et japonais à Rome. était même étonner ou Carboni a expliqué plus tard que les exagérations du renseignement avaient été conçues pour dissuader Mussolini d'entrer en guerre: une admission aussi franche de la manipulation du renseignement pour des raisons ultérieures que l'histoire le permet. Il semble au moins possible que Carboni se soit complimenté avec Badoglio, qui ne pensait pas que l'armée et l'armée de l'air seraient prêtes pour la guerre dans les années à venir.

Carboni a été retiré du SIM le 20 septembre 1940 et envoyé au commandement des troupes. Il a été succédé par son vice-chef, le colonel (plus tard général) de quarante-huit ans, Cesare Amè. Amè a été coupé dans un tissu différent. Grand, mince, chauve, il était un professionnel avec des années d'expérience dans le SIM. Dans l'entre-deux-guerres, il avait effectué des missions en Afrique du Nord et en Corse, et servi à Vienne et à Budapest, avec de nombreux voyages en Europe centrale, dans les Balkans et en Turquie, souvent sous la couverture d'un fonctionnaire de l'office du tourisme du gouvernement italien. À la fin de l'année 1939, il avait été démis de ses fonctions avec des troupes pour succéder au poste de vice-chef de Carboni. Neuf mois plus tard, il se retrouve le successeur de Carboni. Badoglio n'a visiblement pas aimé le rendez-vous et a traité Amè grossièrement; suggérant à nouveau que Badoglio aurait pu être de connivence avec Carboni en présentant les évaluations absurdes de ce dernier à Mussolini en juin.

Trois semaines après qu'Amè a pris le contrôle du SIM, Mussolini a décidé d'envahir la Grèce - une fois de plus sur l'objection de Badoglio selon laquelle beaucoup plus de divisions seraient nécessaires que celles disponibles. Le maréchal avait raison, bien sûr. L'aventure grecque a été un fiasco embarrassant dès le départ. Badoglio a démissionné fin novembre. La décision de Mussolini d'attaquer la Grèce a été motivée par la pitié des Allemands, pas par raison, et le SIM n'a peut-être pas été sollicité pour une évaluation au préalable. (Le SIM a cependant préparé un rapport qui a profondément mal juger les qualités de combat du peuple grec.)

Le SIM qu'Amè a dirigé pendant les trois prochaines années a peut-être été ou non le meilleur service secret d'Europe, mais il a certainement dépassé de loin tout autre sur le continent en dehors de celui de l'URSS. Il était de taille modeste - dès l'entrée en guerre de l'Italie, il ne comptait que 150 officiers et de 600 enrôlés.

..............(partie non lisible)..........

et Canaris partageait avec son collègue italien certains de ses doutes sur le régime et la guerre; notamment lors d'une visite à Rome en mai 1943, lorsque en marchant en sécurité sur la vaste place de Saint-Pierre les deux ont échangé leurs vues pessimistes, et une nouvelle fois à Venise au début d'août 1943, peu de temps après la démission de Mussolmi et la convocation de Badoglio à la tête du gouvernement (le 25 juillet), lorsque Canaris a déclaré à Amè que "nous espérons également que notre 25 juillet arrivera rapidement", et au cours d'une longue marche sur le Lido, il a averti Amè des projets de vue allemands sur l'Italie. Amè, contrairement à Canaris, a gardé ses distances avec les groupes d'opposition; il a servi l'Italie, que son premier ministre soit Mussolini ou Badoglio.

Mis à part cette cordialité de haut niveau, le SIM a prudemment tenu les Allemands à distance. Du point de vue du SIM, on ne pouvait leur faire confiance pour respecter leurs accords; et il n’y avait pas peu d’antagonisme entre les services des deux pays au niveau du travail. Bien qu'ils se soient engagés à ne pas ouvrir de services clandestins en Italie, les Allemands ont continuellement essayé de le faire, leurs efforts étant continuellement combattus par le SIM. Tant dans le pays qu'à l'étranger, le SIM a traité les Allemands comme n'importe quelle autre puissance étrangère, gardant un œil sur leurs activités de renseignement et tenant des dossiers sur leur personnel "comme pour tout autre service ennemi", pour citer Fettarappa-Sandri après la guerre. Les Allemands n'étaient pas non plus informés du moindre agents double alliés que celui que le SIM a mené avec grand succès.

Cette indépendance a naturellement facilité la mise à la disposition des Alliés des installations du SIM après le changement de camp de l'Italie en 1943. Le fait que le SIM était également indépendant du Parti fasciste et de ses services secrets de police et de sécurité, de l'OVRA. Comme leurs homologues allemands, le SIM et l'OVRA étaient dans une certaine mesure rivaux et concurrents. l'OVRA a réussi à faire certains agents double britanniques qui sortirent de Suisse, tandis que pour le Sim il était inconnus; et au moins une fois que le SIM et l'OVRA ont découvert qu'ils poursuivaient tous les deux la même voie. L'OVRA, bien sûr, n'a pas pu imiter le succès de Schellenberg dans la reprise du service rival. Mussolini ne jouissait pas du pouvoir absolu que Hitler et le parti disposait de l'État. Le roi, après tout, est resté sur le trône et les forces armées, dont le SIM faisait partie, lui sont finalement restées fidèles.

Quelques jours après la rencontre d'Amè à Venise avec Canaris, Badoglio le renvoya et remit son ancien protégé Carboni à la tête du SIM. Carboni, qui avait été avec la force d'occupation italienne en Corse, avait été rappelé sur le continent en mars. Au moment du renversement de Mussolini, il a été mis aux commandement d'une unité motorisée qui était censée défendre Rome. Avec le limogeage d'Ame, à ce devoir s'est ajoutée la désignation de «commissaire extraordinaire» en charge du SIM. Quelques jours après cela, l'Italie s'est rendue.

C'était en effet la fin de service du SIM qu'Ame avait si bien menée. Le 13 octobre, l'Italie a déclaré la guerre à l'Allemagne. Le SIM a commencé à se reconstituer pour aider ses nouveaux alliés - dans quelques cas, comme la station SIM en Turquie, remettant les listes de ses agents aux Britanniques.

Le SIM avait ses faiblesses. Et n’a pas considéré les rapports de ses agents avec un œil suffisamment sceptique. Et, indépendamment des absurdités de Carboni, ses évaluations étaient parfois médiocres - bien que le chef du renseignement de Montgomery ait estimé qu'ils «faisaient des déductions beaucoup plus intelligentes des informations reçues que les Allemands». Mais Dudley Clarke considérait toujours le SIM comme digne de son acier . C'était le SIM, se souviendra-t-on, qui soupçonnait la bonne foi du fromage de bonne heure alors que l'Abwehr l'avalait en entier. Le SIM et la Force "A", comme on le verra, ont joué un jeu de miroirs délicats les uns avec les autres dans les cas Capricorne et Lilou au début de 1943. Le capricorne, a déclaré Clarke plus tard, "c'était l'un des nombreux cas qui ont conféré une impression durable que la Force "A"que l'Italien était un homme plus difficile à tromper que son allié allemand », et Lilou« nous a montré à un degré marqué l'habileté et l'ingéniosité avec lesquelles le rusé italien pouvait nous jouer à notre propre jeu. Nous avons eu la chance en effet que la plupart de nos autres chaînes travaillent pour les représentants ingénus et souvent malhonnêtes du Troisième Reich. »


 

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Re: SIS-SIM et SIA ITALIEN

Nouveau message Post Numéro: 10  Nouveau message de arc_royal68  Nouveau message 07 Jan 2020, 00:49

Et si quelqu'un trouve des photos ou dispose de photo de ses généraux, il serait bienvenu dans le sujet.


 

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