Mais je vais rougir à cet afflux de compliments!
Même, moi, en feuilletant le bouquin 'en dur", je m'étais dit...
Mais, put..., ce mec donne l'impression de savoir de quoi qu'il cause! Là, où j'ai failli me baver dessus, c'est en relisant le chapitre "Munitions". Il est, quand même, bon de savoir que, dans un lointain passé, ton serviteur avait loupé son Bac "Math-Elem", par le biais d'un 2/20 rédhibitoire, à l'épreuve de Chimie! Or, à la lecture, les différentes formules de poudres propulsives - bases et dérivées - semblent (presque) claires! Certes, j'avais eu droit, pour ce chapitre, à l'aide de deux camarades, l'un instructeur-démineur de la Protection Civile, qui passe son temps à faire péter des munitions 14-18 & 39-44, l'autre, docteur es-chimie... sauf que, aussi compétents que pouvaient être ces deux soécialistes, leurs explications professionnelles incontestables, étaient "imbitables" par le lecteur normal et, notamment, par, l'auteur (vu son incompétence avérée dans le domaine de la chimie !)
. Du coup, j'avais récolté leurs infos ( bien souvent) "hermétiques" et j'étais parti à la pêche dans les vieux grimoires techniques publiés bien avant ... 1914! En fait, il n'y a rien de tel que de se cogner ces "vieilleries", datant de l'époque de "l'à-peu-près" (tout est relatif! ), pour (presque) comprendre correctement l'évolution des poudres, en 50 ans!... et si, on y rajoute, la crotte de goéland, alias le guano, çà baigne!
C'est le seul moment, où j'en avais sérieusement sué; le reste avait été une histoire de connaissances "générales" du sujet, l'exploitation et le "déchiffrage" de documents primaires, roupillant dans certains "rolls" US NARA, que j'ai la chance d'avoir en copie.
Après, pour quelques pièces, il m'a fallu contredire, après un sérieux "potassage", certaines affirmations erronées britanniques & américaines (devenues la règle!), issues du rapport britannique - très complet mais erroné - de 1948 et des dossiers établies par les services techniques de l'armée américaine, en 1945 - c'est le cas, par exemple, pour la très complexe filiation IG 18- IG 42!
-, plus la découvertes de pièces très improbables, jamais fabriquées en série," égarées" dans plusieurs milliers de feuillets sans intérêt!
Arrête de dire que mon style est suranné, vu que j'ai des amis, habitués à mon phrasé habituel, à base de virgules, points-virgules et longues phrases, qui ont été, "agréablement" surpris par la concision - globale.. il ne faut pas rêver, non plus:
- de mon propos.
Cà dépend du sujet traité! Si tu décris, par exemple, une bataille navale, tu te retrouves à empiler toutes les actions qui se déroulent au même moment, en essayant de ne pas casser le rythme réel! Si les deux adversaires tirent, en même temps, à 10H45, il est impératif d'essayer de "fusionner" les deux actions, pour valoriser leur simultanéité. C'est loin d'être simple! De toute manière, je reste fidèle à l'écriture du XIXème et du début du XXème siècles (mes sources!). La relation écrite, en phrases courtes, est un pratique anglo-saxonne, due à la relative pauvreté de son vocabulaire! Na!