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Dunkerque, 1940: une tragédie française

Nouveau messagePosté: 16 Sep 2017, 13:03
de carcajou
Dunkerque, 1940: une tragédie française. Jacques Duquesne. Flammarion. 350 p. septembre 2017.

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« Le journaliste retrace les quinze jours de l'opération Dynamo, du 21 mai au 4 juin 1940. Les forces armées françaises et britanniques, battant en retraite devant la Wehrmacht, résistent un temps à Dunkerque avant d'être évacuées vers le Royaume-Uni. Le récit historique se double d'un témoignage personnel: l'auteur avait 10 ans à l'époque et a connu la débâcle.»

Re: Dunkerque, 1940: une tragédie française

Nouveau messagePosté: 16 Sep 2017, 13:14
de Desmond
Hâte de le lire !

Re: Dunkerque, 1940: une tragédie française

Nouveau messagePosté: 16 Sep 2017, 13:22
de carcajou
Moi aussi !

Re: Dunkerque, 1940: une tragédie française

Nouveau messagePosté: 17 Sep 2017, 18:03
de Prosper Vandenbroucke
Bonjour et merci Dany!!!!

Re: Dunkerque, 1940: une tragédie française

Nouveau messagePosté: 17 Sep 2017, 18:15
de Shyraku
Un livre à demander pour Noël ;)

Re: Dunkerque, 1940: une tragédie française

Nouveau messagePosté: 17 Sep 2017, 20:22
de dynamo
Trés vulgarisé ...
Bien pour une approche de la bataille de Dunkerque.
Seulement une approche.

Re: Dunkerque, 1940: une tragédie française

Nouveau messagePosté: 20 Sep 2017, 23:38
de Soxton
Le "haltbefehl" est évoqué par Duquesne. Je ne peux pas vous dire exactement le contenu mais un passage du bouquin est semblable à l'argumentation de KH Frieser. Duquesne a-t-il lu Frieser ? Je ne pense pas. La ressemblance est fortuite. Il n'est pas rare que deux auteurs arrive à la même conclusion. Je donnerai plus de précision quand j'aurai récupéré un exemplaire de "Dunquerque 1940".

Pour réfuter la « théorie du marécage » KH Frieser s'appuie sur cette citation du général Halder :

« À l'époque, il [Hitler] donna comme motif que les chars ne se prêtaient pas à une utilisation en terrain imbibé d'eau. En revanche, dans la campagne de Russie, en 1941, il avait personnellement donné l'ordre, en dépit de toutes les mises en garde, de mettre en service les mêmes types de chars dans des terrains marécageux et plein d'eau : autour du lac d'Ilmen, plus tard autour de Schlüsselburg et enfin à Tikhvine. »