Le LORMIER nouveau est arrivé !
Posté: 31 Mar 2011, 07:53C'est nouveau, ça vient de sortir !
Version officielle reprise sans modification sur un site commercial : De l'action de la Résistance, on croit aujourd'hui tout connaître et l'on se persuade que, les années passant, l'Histoire s'est décantée de sa part d'ombres et de malentendus. Pourtant, chaque fois que l'on dépoussière un dossier, que l'on tente de comprendre ce que furent les années noires de l'Occupation, on se trouve confronté à un certain nombre d'interrogations qu'aucune réponse ne parvient à satisfaire. Car la Résistance, aussi noble fût-elle dans son élan patriotique pour la liberté, eut aussi ce qu'il convient bien d'appeler ses " affaires ".Ces " grandes affaires de la Résistance ", Dominique Lormier, historien scrupuleux et incontesté, a choisi aujourd'hui de les éclairer. Sous sa plume, des noms prestigieux sont en quête d'une réhabilitation ou, plus justement, d'une vérité : Jean Moulin, Robert Leblanc, Georges Guingouin, André Grandclément, Henri Romans-Petit, et tant d'autres...Ecrit avec une rigueur particulière, cet ouvrage nous conduit sur tous les fronts où se jouèrent les grands actes de la Résistance, en Aquitaine comme en Rhône-Alpes, en Normandie comme en Bretagne, du Mont-Mouchet jusqu'aux bois sombres du Limousin. Et nous y (re) découvrons des personnalités hors du commun qui furent souvent de grands chefs et durent parfois, à la Libération, affronter la jalousie et la vengeance de leurs compatriotes. Voici donc rassemblées ici, avec le recul indispensable, toutes les pièces à conviction nécessaires à la compréhension de ces " affaires ". Et cela donne un livre passionnant.
Comme pour chaque nouvelle saison, nous sommes gratifiés du LORMIER nouveau ! Mais contrairement au Beaujolais qui ne nous prend la tête qu'une foi(e) par an, cet auteur prolifique sévit au rythme des saisons, comme les meilleures séries américaines. Voici l’épisode "montée de sève" de cette année.
J'avoue avoir reposé rapidement le bouquin sur le présentoir de mon Carreclerc favori (ou Lefour, je ne sais plus bien). J'ai vérifié par palpation pour l'affaire des "Maquis des Vosges", vers la fin de l’ouvrage, Quelle affaire au fait ? C’est une grand mot avancé pour faire vendre ? Je connaissais déjà l’affaire Grégory à Lépange sur Vologne (commune jumelée avec Noisy le Petit) dans ce coin là, mais l’affaire DES maquis ? Je vois un rapide survol des différents maquis, sans lien entre eux. Aucune analyse n’est venue m’apporter un début de commencement d’élément de thèse au sujet d’une « affaire ». Une fois de plus l'auteur s'est contenté de reprendre (je suis sympa) de vieux textes très généraux (je devais dire ici deux vieux textes), avec les habituelles fautes de frappe sur les noms propres non détectables par le correcteur automatique Word-Gates. La prochaine fois, faudra recopier moins vite ou écrire plus lisiblement ! La belle affaire !
Un exemple: MEYER devient ici MAYER, sans prénom. Pas grave me direz-vous ? Si ! Car il faut bien savoir si on parle de René MEYER ou de Henri MEYER, les deux ayant sévi sur place, à Viombois, mais pas tout à fait dans le même camp. Je pourrais multiplier les cas.
Bref, faites comme moi, faites une bonne affaire, économisez et lisez Histomag !
Version officielle reprise sans modification sur un site commercial : De l'action de la Résistance, on croit aujourd'hui tout connaître et l'on se persuade que, les années passant, l'Histoire s'est décantée de sa part d'ombres et de malentendus. Pourtant, chaque fois que l'on dépoussière un dossier, que l'on tente de comprendre ce que furent les années noires de l'Occupation, on se trouve confronté à un certain nombre d'interrogations qu'aucune réponse ne parvient à satisfaire. Car la Résistance, aussi noble fût-elle dans son élan patriotique pour la liberté, eut aussi ce qu'il convient bien d'appeler ses " affaires ".Ces " grandes affaires de la Résistance ", Dominique Lormier, historien scrupuleux et incontesté, a choisi aujourd'hui de les éclairer. Sous sa plume, des noms prestigieux sont en quête d'une réhabilitation ou, plus justement, d'une vérité : Jean Moulin, Robert Leblanc, Georges Guingouin, André Grandclément, Henri Romans-Petit, et tant d'autres...Ecrit avec une rigueur particulière, cet ouvrage nous conduit sur tous les fronts où se jouèrent les grands actes de la Résistance, en Aquitaine comme en Rhône-Alpes, en Normandie comme en Bretagne, du Mont-Mouchet jusqu'aux bois sombres du Limousin. Et nous y (re) découvrons des personnalités hors du commun qui furent souvent de grands chefs et durent parfois, à la Libération, affronter la jalousie et la vengeance de leurs compatriotes. Voici donc rassemblées ici, avec le recul indispensable, toutes les pièces à conviction nécessaires à la compréhension de ces " affaires ". Et cela donne un livre passionnant.
Comme pour chaque nouvelle saison, nous sommes gratifiés du LORMIER nouveau ! Mais contrairement au Beaujolais qui ne nous prend la tête qu'une foi(e) par an, cet auteur prolifique sévit au rythme des saisons, comme les meilleures séries américaines. Voici l’épisode "montée de sève" de cette année.
J'avoue avoir reposé rapidement le bouquin sur le présentoir de mon Carreclerc favori (ou Lefour, je ne sais plus bien). J'ai vérifié par palpation pour l'affaire des "Maquis des Vosges", vers la fin de l’ouvrage, Quelle affaire au fait ? C’est une grand mot avancé pour faire vendre ? Je connaissais déjà l’affaire Grégory à Lépange sur Vologne (commune jumelée avec Noisy le Petit) dans ce coin là, mais l’affaire DES maquis ? Je vois un rapide survol des différents maquis, sans lien entre eux. Aucune analyse n’est venue m’apporter un début de commencement d’élément de thèse au sujet d’une « affaire ». Une fois de plus l'auteur s'est contenté de reprendre (je suis sympa) de vieux textes très généraux (je devais dire ici deux vieux textes), avec les habituelles fautes de frappe sur les noms propres non détectables par le correcteur automatique Word-Gates. La prochaine fois, faudra recopier moins vite ou écrire plus lisiblement ! La belle affaire !
Un exemple: MEYER devient ici MAYER, sans prénom. Pas grave me direz-vous ? Si ! Car il faut bien savoir si on parle de René MEYER ou de Henri MEYER, les deux ayant sévi sur place, à Viombois, mais pas tout à fait dans le même camp. Je pourrais multiplier les cas.
Bref, faites comme moi, faites une bonne affaire, économisez et lisez Histomag !
