Le Douglas DC-3

"Kaïos Kagathos "comme on disait en Grèce ..Pour ce que les hommes fabriquent c'est souvent vrai.............

Il équipait aussi la flotte aérienne civile d'Air Algérie années 50/60 sur les lignes intérieures. J'ai eu l'occasion d'effectuer des liaisons entre Constantine et Alger et Alger Biskra c'était à vrai dire peu confortable.
Posé sur le tarmac, l'avion n'a pas une position horizontale, son nez est plus haut que la queue, aussi quand on prend place sur son siège on a comme l'impression d'être renversé vers l'arrière. Ceci dit il est moins bruyant que l'hélicoptère Sikorsky S-58 .

[dynamo]

je suis un peu frustré quand je lis les témoignages de Loïc et d'Albert, J'ai seulement eu le droit de monter dans les Noratlas et transall.
(j'ai beaucoup décollé et peu souvent atterri)
Une seule fois, en Côte d'Ivoire, j'ai cru pouvoir prendre un DC3, et à la place j'ai embarqué dans un Piper Navajo.
Né trop tard...

.... Posé sur le tarmac, l'avion n'a pas une position horizontale, son nez est plus haut que la queue, aussi quand on prend place sur son siège on a comme l'impression d'être renversé vers l'arrière....

C'est une des caractéristiques des aéronefs équipés de train classique, ils ont le c..l plus bas que le nez. Cette technique, appliquée dés les premiers aéronefs, et largement utilisée sur la plupart des avions du conflit, n'était pas dénuée d'avantages.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Avion_a_train_classique

Le train tricycle, quand à lui, est apparu plus tardivement, mais est déjà présent durant la seconde guerre mondiale.

Il est vrai que dans le DC-3, l'inclinaison est particulièrement accentuée et l'accès aux sièges peut s'avérer périlleux. Toutefois, les glissades éventuelles sont minimisées grâce à un revêtement antidérapant sur le couloir central.

je suis un peu frustré quand je lis les témoignages de Loïc et d'Albert, J'ai seulement eu le droit de monter dans les Noratlas et transall.
(j'ai beaucoup décollé et peu souvent atterri)
Une seule fois, en Côte d'Ivoire, j'ai cru pouvoir prendre un DC3, et à la place j'ai embarqué dans un Piper Navajo.
Né trop tard...

Ça reste encore réalisable... Il existe, encore de nos jours, quelques rares destinations perdues dans des endroits inaccessibles encore desservies par DC-3....
Et si tu es amateurs d'exotisme et d'émotions fortes, tu peux toujours te faire plaisir. Des règles s'imposent toutefois, horaires particulièrement élastiques , ne pas avoir peur de voyager, entre autres, avec un fret hétéroclite souvent composé de volailles, bétails, porcins et j'en passe.... C'est loin d'être du tourisme...
Mais il faut faire vite... ces aéronefs ont largement dépassé leur potentiel et il en reste de moins en moins. A tel point qu'on s'interroge depuis des années pour le remplacer par un appareil plus moderne tout aussi polyvalent, robuste et très peu coûteux d'entretien. Dilemme insurmontable car rien d'équivalent n'existe actuellement. Il est, pour ces destinations extrêmes, toujours irremplaçable !

[Prosper Vandenbroucke]

Dans les années 1990 (1994 je crois), j'ai eu l'occasion de faire un petit vol en DC-3. Formidable, bien que j'ai appris que la semaine suivante le même appareil avait perdu une grande quantité d'huile au-dessus de la côte belge.

[dynamo]

je suis un peu frustré quand je lis les témoignages de Loïc et d'Albert, J'ai seulement eu le droit de monter dans les Noratlas et transall.
(j'ai beaucoup décollé et peu souvent atterri)
Une seule fois, en Côte d'Ivoire, j'ai cru pouvoir prendre un DC3, et à la place j'ai embarqué dans un Piper Navajo.
Né trop tard...

Ça reste encore réalisable... Il existe, encore de nos jours, quelques rares destinations perdues dans des endroits inaccessibles encore desservies par DC-3....
Et si tu es amateurs d'exotisme et d'émotions fortes, tu peux toujours te faire plaisir. Des règles s'imposent toutefois, horaires particulièrement élastiques , ne pas avoir peur de voyager, entre autres, avec un fret hétéroclite souvent composé de volailles, bétails, porcins et j'en passe.... C'est loin d'être du tourisme...
Mais il faut faire vite... ces aéronefs ont largement dépassé leur potentiel et il en reste de moins en moins. A tel point qu'on s'interroge depuis des années pour le remplacer par un appareil plus moderne tout aussi polyvalent, robuste et très peu coûteux d'entretien. Dilemme insurmontable car rien d'équivalent n'existe actuellement. Il est, pour ces destinations extrêmes, toujours irremplaçable !

je suis un grand voyageur, en janvier de cette année, j'ai visité le Cambodge et le Laos, hors zones touristiques, j'ai fait de nombreux "taxi brousse" en Afrique, également hors zones touristiques et je n'ai jamais eu l'occasion de voir un DC3, j'ai vu des sous fabrications russes qui donnaient pas envie, j'ai pris ce qui arrivait sur des "airports" pour rejoindre, bien souvent avec soulagement la "civilisation"
peut être en Amsud, que je ne connais pas bien .

... je suis un grand voyageur, en janvier de cette année, j'ai visité le Cambodge et le Laos, hors zones touristiques, j'ai fait de nombreux "taxi brousse" en Afrique, également hors zones touristiques et je n'ai jamais eu l'occasion de voir un DC3, j'ai vu des sous fabrications russes qui donnaient pas envie, j'ai pris ce qui arrivait sur des "airports" pour rejoindre, bien souvent avec soulagement la "civilisation"
peut être en Amsud, que je ne connais pas bien .

J'ai trouvé un documentaire glané sur le net, sur l'utilisation quotidienne, toujours d'actualité, des DC-3 en Amazonie colombienne. On y évoque la ville de Villavicencio, grande agglomération au pied la cordillère orientale des Andes, ou je suis passé il y a quelques temps.
Son aéroport - un des très rares disposant d'infrastructures et d'une piste en dur - est le point de départ incontournable à partir duquel des DC-3 commerciaux desservent, plus ou moins régulièrement, des bourgades perdues d'Amazonie.



L'Amérique du sud n'est toutefois pas le seul continent où il est encore possible de croiser cet aéronef bien particulier. On le rencontre occasionnellement dans certains pays d'Afrique et d'Asie (Indonésie, Philippines). Il en existait, il y a encore quelques temps, en Australie et, sous toutes réserves, en Nouvelle Zélande, mais j'ignore s'ils sont encore opérationnels. Mais ce n'est pas exhaustif, bien que le DC-3 soit de plus en plus en sursis et disparaîtra irrémédiablement à court terme.

Il est vrai qu'après avoir visionné ce documentaire, certaines situations peuvent en décourager quelques-uns, surtout en qualité de passager.....

[dynamo]

j'ai pas envie, (à 65 ans) de mourir jeune !

J'avais eu l'occasion de faire un vol en DC-3 de ligne en Amérique du Sud, Brésil ou Uruguay (vu mon grand âge, je ne me rappelle plus exactement...) dans les années 80. J'avais adoré le bruit, les odeurs, les vibrations et les sensations ! Et j'avoue que ça me botterait terriblement de renouveler l'expérience (mais pas à bord d'un DC-3 turbinisé... berk...) !

dynamo... le risque ne me fait pas peur... quand c'est l'heure, c'est l'heure ! Bon... c'est vrai que depuis un certain accident (grue tombée sur un bus en 1981 à Lausanne, j'aurais dû être parfmi les morts ce jour-là) et la façon dont je l'ai évité, ça fait 40 ans que je me considère comme un mort en sursis, et considère que chaque jour vécu est tout bénéfice !