Bonjour,
M'adressant à un dénommé Richard dont je ne me souviens pas de son pseudo, j'ai écrit ceci quelque part sur ce forum
<< Voilà qu' au moment des événements de mai 1968 à Rennes, je découvre un "Historia magazine" relatant l'aventure du Bismarck.
Les récits des capitaines de corvette Peter Kemp et Gerhard Junack m'ont énormément passionné.>>
et j'avais ajouté :
<< Nous aurons probablement l'occasion d'y revenir.>>
Voici donc venue cette occasion...
Actuellement, je n'ai pas visionné entièrement les deux video documentaires : "Qui a coulé le Bismarck ?" et "Expédition Bismarck"
Je peux tout d'abord apporter quelques éléments de réponse à Prosper....
Prosper Vandenbroucke a écrit:Le Bismarck encaissa trois torpilles en provenance du "Dorsetshire", cependant et jusqu'à aujourd'hui, on ne sait si le fait de couler est dû à ce torpillage ou à un sabordage (Selbstversenkung)
Quoi qu'il en soit il y eu 116 survivants (la liste figure sur le site dont je donne le lien ci-dessous) sur 2014 membres d'équipage.
Le Bismarck s'est sabordé sur ordre du chef mécanicien Lehmann.
Tous les hommes encore vivants sur un effectif de près de 2200, ont quitté le navire...
85 hommes sur les 400 qui flottaient dans l'eau furent recueillis par le croiseur anglais "Dorsetshire"...
Le "Maori" en recueillit 25...
Dix heures plus tard un U-boot en sauva 3 et quarante heures plus tard ce fut un bateau météorologique allemand qui en recueillit 2
La majorité des dégâts causés au Bismarck furent l'oeuvre des torpilles lancées par les avions provenant du porte-avions britannique "Ark Royal".
Je dois donc visionner les deux documentaires et revoir le récit du Capitaine de corvette Gerhard Junack sur "Les dernières heures du Bismarck" afin d'en faire un résumé et revenir sur la cause de son repérage avant la série des malheurs qui l'ont frappé.
Gerhard Junack, rescapé du naufrage, était l'officier second du chef mécanicien Lehmann.
Il fut fait prisonnier pendant cinq années en Angleterre et au Canada. Il fut libéré en 1947.
A plus tard si vous le voulez bien...
Cordialement,
Roger