Ce livre, qui comblait une lacune, avait fait l'objet au lendemain de sa sortie d'une démolition apparemment érudite d'une chapelle universitaire, fière de sa connaissance du japonais.
Il est bon de le rappeler car on trouve parfois encore le poison https://journals.openedition.org/cipango/361
sans l'antidote (un droit de réponse imposé par l'intéressé à la grande fureur de la revue Cipango, au point que, dans l'article précédent, aucun lien n'y renvoie !)
https://journals.openedition.org/cipango/393 .