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1941-45 - Déportations massives ordonnées par STALINE

Après l'opération Barbarossa, les forces de l'Axe contraignent l'URSS au repli.
Après une série de succès, l'Allemagne s'enlisera progressivement puis cédera à Stalingrad et à Koursk.
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Re: 1941-45 - Déportations massives ordonnées par STALINE

Nouveau message Post Numéro: 21  Nouveau message de Loïc  Nouveau message 21 Avr 2017, 15:34

comme orientation bibliographique il y'a eu aussi en 1982 Aleksandr Nekritch qui doit bien se trouver encore dans les réserves de vos bibliothèques locales
exilé au temps de l'Union Soviétique il avait écrit Les Peuples punis - la déportation et le sort des minorités soviétiques à la fin de la Seconde guerre mondiale
http://www.monde-diplomatique.fr/1995/01/A/6058
sans éluder la collaboration, c'est la participation des peuples Caucasiens dans les rangs de l'Armée rouge qui est rappelée et donc le caractère inique de ces déportations collectives

comme au temps de Napoléon où les régiments Tatars et Kalmouks déferlaient sur l'Europe l'extrait du Monde mentionne la levée du 255e Régiment Spécial de Cavalerie Ingouche mais il y'a eu la création de Divisions entières Spéciales de Cavalerie comme les 106e 110e 115e,
le 189e Régiment et la 110e étant par exemple des unités Kalmouks (peuple bouddhiste)

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Re: 1941-45 - Déportations massives ordonnées par STALINE

Nouveau message Post Numéro: 22  Nouveau message de carlo  Nouveau message 21 Avr 2017, 20:40

Christian27 a écrit:Pour ce qui est des déportations en URSS, le pire que j'ai lu concerne le peuple Tatar dans le Caucase. Lire le livre de Eric Hoesli
La Conquête du Caucase.


Il n'y a pas de populations tatars dans le Caucase, les seuls "Tatars" a avoir été déportés en nombre, sont les Tatars de Crimée (en fait une population distincte des autres Tatars de Russie). La minorité ethnique la plus touchée par les déportations (et ce dès l'avant-guerre) est, comme en 1915-16 avec les déportations de l'empire russe, celle des Allemands (souvent mélangés à des Polonais, comme en 16, on les avaient mélangés à des Juifs) où on tourne autour du million de déportés. Dans le Caucase, les déportations les plus massives ont touché les Tchétchènes, les Ingouches et les Balkars (les deux premiers parlent des langues caucasiennes proches, les Balkars sont turcs, les trois sont musulmans). L'insurrection tchétchène commence en fait avant l'invasion nazie avec la guerilla des frères Israilov en février 1940. Après 1941, la région est marquée par des désertions massives et le soulèvement gagne du terrain entraînant même des bombardements aériens. L'Abwehr entrera en contact avec les leaders tchétchènes, ce qui permettra une opération contre les puits de pétrole de Grozny, une des rares opérations sous couverture d'envergure réussie par les Allemands en URSS. Mais c'est bien l'intensité de l'insurrection qui motive la décision de déportation, plus que la collaboration, finalement assez superficielle, avec les Allemands. Mais il aurait fallu admettre l'ampleur de cette rébellion, ce qui explique que les autorités soviétiques préféreront parler de collaboration.
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Re: 1941-45 - Déportations massives ordonnées par STALINE

Nouveau message Post Numéro: 23  Nouveau message de kfranc01  Nouveau message 21 Avr 2017, 21:08

Bonsoir, :D

Je considère, peut-être à tors, que la déportation des peuples ou des pows, sont un seul et même sujet, la relégation des indésirables de la société soviétique stalinienne . ;)

Un document "La déportation des peuples vers l’Asie centrale" de Mme Ohayon glané sur le site "https://hal.archives-ouvertes.fr":


Historique des déportations en une dizaine de page, agréable à lire. 8)

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Re: 1941-45 - Déportations massives ordonnées par STALINE

Nouveau message Post Numéro: 24  Nouveau message de Prosper Vandenbroucke  Nouveau message 21 Avr 2017, 21:23

Bonsoir et merci pour la mise en ligne de ce lien vers le fichier Pdf, Bernard
Bien amicalement et bonne soirée
Prosper ;) ;)
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Re: 1941-45 - Déportations massives ordonnées par STALINE

Nouveau message Post Numéro: 25  Nouveau message de Christian27  Nouveau message 26 Avr 2017, 05:25

Texte très fort extrait de l'introduction du livre de Vassili Grossman Vie et destin, par Etkind

Efim Etkind was a Soviet philologist and translation theorist. In the 1960s and 1970s he was a dissident; from 1974 he lived in France.

p.14 à 18 Vie et destin Vassili Grossman - France loisirs
Dans les deux cas, il s'agit seulement de trouver un vague et illusoire fondement théorique à la contrainte imposée au peuple pour assurer son pouvoir. Avec une franchise inouïe, inimaginable dans la littérature soviétique officielle - et pas seulement officielle -, Vassili Grossman relève cette similitude. Il n'hésite pas, lorsqu'il parle de la réalité nazie, à user de termes qui désignent habituellement des réalités soviétiques. Ainsi ce dialogue dans un hôpital militaire :
« Moi, à vrai dire, j'avais des doutes sur B. J'ai pensé : « Celui-là, il est au parti ».
- Non, je ne suis pas au parti » (II, 9).
Une phraséologie parfaitement soviétique. Or, les interlocuteurs ne sont autres que Gerne et Fresser. Ils parlent du lieutenant Bach qui, quelques pages plus loin, dans le même hôpital, se livre aux réflexions suivantes :
« ... Quand il entendait les paroles éhontées de ces professeurs chenus qui déclaraient que Faraday, Darwin et Edison n'étaient qu'une bande de filous qui avaient pillé la science allemande et que Hitler était le plus grand savant de tous les temps et de tous les peuples, il pensait avec une joie mauvaise : « Toutes ces inepties finiront bien par être balayées un jour ». Il avait le même sentiment à la lecture de ces romans qui décrivaient, à grand renfort de mensonges effarants, des hommes sans défauts, le bonheur des. ouvriers et des paysans bien dans la ligne, le beau travail d'éducation des masses accompli par le parti. Mon Dieu, quels misérables poèmes paraissaient dans les revues... » (II, 10). Remplacez « allemande» par «russe» et « Hitler » par « Staline », tout le reste concorde. Quand le SS Liss tente de convaincre le vieux léniniste Mostovskoï que les deux systèmes sont identiques, il ne fait qu'exprimer la conviction profonde de l'auteur. Quand le même Liss évoque le rôle de la police au sein de l'État, il ne parle pas seulement de l'Allemagne, mais aussi de la Russie : « La SD respirait et vivait partout, que ce soit à l'Université, dans la signature du directeur d'un aérium d'enfants, dans les auditions des futurs chanteurs d'opéra, dans les décisions du jury chargé de choisir les tableaux de l'exposition de printemps, comme dans la liste des candidats aux élections du Reichstag.
« Toute la vie tournait autour d'elle. C'était grâce au travail de la police politique secrète que le parti avait toujours raison, que sa logique ou son illogisme triomphait de toute autre logique et sa philosophie de toute autre philosophie. Elle était la baguette magique! Il suffisait de la laisser tomber pour que toute magie disparaisse, pour que le grand orateur se transforme en simple bavard et que les sommités de la science ne soient plus que les vulgarisateurs des idées des autres. Il ne fallait la laisser échapper à aucun prix. » Ou prenons l'exemple de Chalbe, membre important du parti nazi, qui explique à l'officier Lehnard qu'il n'y aura pas de révolte dans l'armée allemande : « C'est maintenant qu'apparait pleinement la sagesse du parti, dit-il. Nous n'avons pas hésité à extirper du corps du peuple non seulement les parties contaminées, mais même certaines parties saines d'apparence, mais qui risquaient de pourrir dans les moments difficiles. Nous avons purgé les villes, les armées, les campagnes et l'Eglise des esprits forts et des idéologues hostiles. La médisance, les injures et les lettres anonymes fleuriront, mais il n'y aura pas de rébellion, même si ce n'est pas simplement sur la Volga que l'ennemi nous encercle, mais jusque dans Berlin ! Nous pouvons tous en être reconnaissants à Hitler... » (III, 33).
De quel espoir peut-on parler, si nous sommes placés devant deux camps qui, tels des miroirs, se renvoient une image identique? On peut, bien sûr, répliquer qu'il y a tout de même une différence : les nazis ont fondé leur totalitarisme sur l'idée nationale, les communistes sur la notion de classe. Mais très logiquement, Vassili Grossman nous montre que l'internationalisme des communistes dégénère en un nationalisme étatique que rien ne distingue plus de l'idéologie nazie. Cette dégénérescence, amorcée il y a bien longtemps, trouve sa justification, reçoit la sanction suprême après la victoire de Stalingrad. Pour Grossman, Stalingrad a aidé « la population et l'armée à se forger une nouvelle conscience d'elles-mêmes... » L'histoire de la Russie « devenait l'histoire de la gloire russe, au lieu d'être l'histoire des souffrances et des humiliations des ouvriers et des paysans russes. Le national changeait de nature, il n'appartenait plus au domaine de la forme, mais au contenu, il était devenu un nouveau fondement de la compréhension du monde (...). Ainsi, la logique des événements a fait que, au moment où la guerre populaire atteignit son plus haut point pendant la défense de Stalingrad, cette guerre permit à Staline de proclamer ouvertement l'idéologie du nationalisme étatique» (III, 19).
Curieux paradoxe : c'est à Stalingrad que ces deux régimes, apparemment antagonistes, finissent par se rejoindre. D'où l'ambiguïté de Stalingrad, maintes fois soulignée par Vassili Grossman : le triomphe des armes soviétiques dissimule à la fois la grandeur et l'horreur. La grandeur, car la victoire de Stalingrad est le triomphe d'un peuple; l'horreur, car la victoire du peuple s'avéra être le triomphe de Staline et de son régime impérial. « Le triomphe de Stalingrad joua un rôle déterminant dans l'issue de la guerre, dit Vassili Grossman. Et il ajoute : mais la dispute silencieuse qui oppose le peuple et l'État tous deux vainqueurs, se poursuit. De cette dispute dépendent le destin de l'homme et sa liberté » (III, 15). Sur la Volga, c'est le destin de notre siècle, le destin de tous les États, des alliances avec ou contre l'Allemagne, de tous les partis politiques d'Europe ou d'Amérique, de tous les rescapés du nazisme, qui se joue. C'est vrai. Mais déjà, autre chose se profile : la catastrophe, pour les vaincus, bien sûr, mais aussi pour les vainqueurs.
« Ce qui se jouait, c'était le sort des Kalmouks, des Tatars de Crimée, des Tchétchènes et des Balkares exilés sur ordre de Staline en Sibérie et au Kazakhstan, ayant perdu le droit de se souvenir de leur histoire, d'enseigner à leurs enfants dans leur langue maternelle. Ce qui se jouait, c'était le sort de Mikhoels et de son ami, l'acteur Zouskine, des écrivains Bergelson, Markish, Féfer, Kvitko, Noussinov, dont les exécutions devaient précéder le sinistre procès des médecins juifs, avec en tête le professeur Vovsi. Ce qui se jouait, c'était le sort des Juifs que l'Armée Rouge avait sauvés et sur la tête desquels Staline s'apprêtait à abattre le glaive qu'il avait repris des mains de Hitler, commémorant ainsi le dixième anniversaire de la victoire du peuple à Stalingrad » (III, 10).
A l'instant même où l'un des adversaires écrase l'autre, l'on s'aperçoit qu'ils sont jumeaux. Leur connivence ne date pas d'hier, même s'ils cachaient soigneusement leurs points communs. Le totalitarisme allemand jouait la comédie de l'antibolchevisme ; mais il baptisait son régime « socialiste et ouvrier », donnait à Hitler le titre de « guide très sage », prenait le drapeau rouge comme emblème et fixait ses grandes fêtes le 1er mai et le 6 novembre. Le totalitarisme soviétique, lui, vouait aux gémonies la phraséologie nazie, la doctrine raciste et jusqu'aux fascistes antisémites; mais après Stalingrad, tout en conservant son discours hypocrite de propagande, il se lance irrévocablement dans le racisme et l'antisémitisme qui deviennent la grande caractéristique du régime. Notons que, persuadés de la force invincible et de l'attrait magique de la théorie lumineuse du marxisme-léninisme, les communistes soviétiques ne se donnèrent même pas la peine de mettre en accord ces deux idées contraires - le socialisme avec l'antisémitisme (ou, tout simplement, avec le délire nationaliste).
D’où vient une ressemblance aussi stupéfiante ? Comment, au vingtième siècle, deux formes, si différentes et si semblables, de totalitarisme exterminateur ont-elles pu naître ? Qui en porte la responsabilité ? Cette question préoccupe nombre d'individus. Elle est effectivement d'une importance capitale pour notre temps. Les réponses apportées sont multiples. Pour les uns,, les responsables sont les politiciens de gauche qui pensaient transformer l'homme en changeant la société alors que l'homme ne peut être changé. Pour les autres, la responsabilité incombe aux matérialistes occidentaux qui ont rejeté la profonde spiritualité caractérisant la religion au Moyen Age ; pour les troisièmes, aux Juifs qui se sont vengés du christianisme en inventant le marxisme qui, né en Allemagne, s'implanta en Russie et provoqua en Allemagne la victoire des nazis; pour les quatrièmes aux réalisations scientifiques et techniques, au progrès qui privent les hommes de toute spiritualité, les transforment en robots-consommateurs; pour les cinquièmes, aux philosophes, partisans de systèmes théoriques achevés et qui sont prêts à sacrifier l'humanité à leurs idées abstraites; pour les sixièmes, à des aventuriers avides de pouvoir, qui peuvent parvenir à leurs fins grâce â des techniques de propagande inconnues jusqu'ici qui provoquent des psychoses collectives et permettent l'extermination de millions de personnes.
La réponse de Vassili Grossman est tout autre. Dans son épopée Vie et destin, elle n'est qu'esquissée et sera définitivement formulée dans le roman Tout passe..., commencé en 1955 et achevé en 1963, après la confiscation du manuscrit de Vie et destin. Grossman estime que la Russie a suivi une évolution contraire à celle de l'Occident. L’histoire de l'Occident, c'est un accroissement constant et progressif de la liberté; l'histoire de la Russie est marquée par un accroissement tout aussi systématique de l'esclavage. « ... Pendant mille ans, le progrès et l'esclavage russes se sont trouvés enchainés l'un à l'autre. Toute percée vers la lumière creusait encore plus profond la fosse noire du servage. » Au vingtième siècle, Lénine renforce ce lien, « favorisant un nouvel asservissement des paysans et des ouvriers, transformant les hommes de culture en larbins de l’Etat… » C’est alors que se produisit ce qui devait placer la Russie au centre de toutes les préoccupations : « la synthèse du socialisme et de l’absence de liberté » ; elle stupéfia le monde et permit de créer un Etat extrêmement puissant. Il apparu qu’on pouvait « bâtir une nation et un Etat au nom de la force, au mépris de la liberté ». « Les apôtres européens des révolutions nationales entrevirent la flamme qui venait d’Orient. Les Italiens, puis les Allemands, développèrent, à leur façon, l’idée du national-socialisme. »Car tout vint de là, « la loi russe millénaire devint la loi du monde entier ».
Les particularités de l’évolution russe – une progression constante en faveur d’un esclavage toujours plus grand – furent adoptées par d’autres nations. La « synthèse du socialisme et de l’absence de liberté » s’avère être une forme d’Etat si pratique et si puissante qu’elle évince toutes les autres : la démocratie faiblit, la société démocratique cède le pas au régime totalitaire, elle n’est pas en mesure de rivaliser avec la dictature du parti et de ses guides. Pour Vassili Grossman, cette explication concilie perspective historique et nécessité sociale, elle est plus vraisemblable que toute théorie abstraite sur le Mal éternel et l’impuissance du Bien. Pour l’auteur, les écrits d’Ikonnikov ne sont pas une absurdité ; ils affirment que « les hommes qui veulent le bien de l’humanité sont impuissants à réduire le Mal sur terre », que l’enseignement chrétien lui-même a coûté plus de victimes que « les crimes des brigands et des criminels, faisant le mal pour le mal » et que la seule issue pour les hommes est la « bonté privée d’un individu à l’égard d’un autre individu, une bonté sans témoins, une petite bonté sans idéologie. On pourrait qualifier de bonté sans pensée. La bonté des hommes hors du Bien religieux ou social ».
Est-ce vraiment la seule solution ? Vassili Grossman n’en connaît pas d’autre, même s’il en perçoit toute la naïveté. Toute tentative d’imposer à l’humanité un Bien général, obligatoire, absolu, se termine par une catastrophe sanglante, semblable à celles qui ont accompagné toute l’histoire du christianisme, les mouvements socialistes ou la religion musulmane

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