J'ai profité de mes vacances pour assouvir ma curionsté.
Je désirais savoir comment avait été ressentie et traitée la bataille des Ardennes et surtout comment les Autorités y avaient réagi.
J'ai donc parcouru les exemplaires de "Vers l'Avenir" de cette période : 11/12/1944 -31/ 01/1945 tenus au Centre de Documentation de la Bibliothèque Centrale Communale de Namur
Et ce qui m'a le plus inquieté n'est pas dans ce que je trouvais, mais bien dans ce que je ne trouvais pas .
Ce journal, comme les autres avait ses attachés parlementaires et ses envoyés permanents au 16 Rue de la Loi à BRUXELLES. S'il y avait été question de quoi que ce soit pour notre sujet, ils en auraient traité dans leurs articles.
Pas plus les deux assemblées parlermentaires (Sénat er Chambre) que le Gouvernerment Hubert PIERLOT VI ne se sont inquiétée de ce qui se passait, couvrant les Provinces de Luxembourg, Liège et Namur.
Je comprends que la crise, au début ne montrait pas toute sa purulence, mais quand ce furent des localites comme Saint Vith tombée et Bastogne cernée ne devait - il pas y acvoir lieu à s'inquiéter? Dès le 22 /12/1944 ne devait - il pas y avoir une prise en compte de ce qui, dès alors, était étabil comme important. Les relations qu'en faisait Paul LEVY, le correspondant de guerre de ce quotidien étaient suffisamment alarmantes.
Pas un mot de tout celà, ni même de s'inquiéter de ce que deviennent les habitants, (je comprends qu'ils ne sachent pas faire beaucoup pour les "réoccupés) mais ne fut - ce que dans les localités (pour la seconde fois) libérées. Pas un mot, ne fut-ce que pour aller se rendre compte de l'état du pays aprés le tsunami noir et vert de gris.
Je ne m'explique pas ce manque total de conscience des Autorités de l'époque de notre pays
D'avance merci de vos lumières
Bonne soirée / Bonne journée.