Alfred a écrit:les mines qui ont tué le plus de démineurs sur la zone de Dunkerque en 45/46 c'étaient les mines bondissantes elles explosaient à environ 1mètre de hauteur,il faut quand même saluer le courage de certains allemands qui se couchaient sur l'engin pour épargner la vie de leurs copains dés qu'ils entendaient le déclicannonçant l'amorçage et la mise à feu de l'engin
Il s'agissait de mines antipersonnel, soigneusement distillées et réparties aux approches et milieu du champ de mines antichar principal. Les mines étant des armes essentiellement défensives, les Alliés avaient botté en touche, à propos de leur propre mise en place, il est vrai, beaucoup moins justifiée , en Europe.
Conclusion, après la Libération, tout ce qui pouvait avoir été miné était sensé être une initiative allemande!
Sur les plages de l'Atlantique, personne n'avait été foutu de mettre la main sur les plans de minage, qui, étaient, le plus souvent, partis en fumé, avant de tomber dans les mains alliées!
Conclusion, à la Libération... 1945-1946, les prisonniers allemands (en sabots de bois non magnétiques!) partaient, tous les jours, sur les plages françouaises, au casse-pipe !
Acessoirement, mais je ne m'étendrais pas sur le sujet, les " prisonniers démineurs sur mon post N°2 sont munis de poêles à frire alliées, alors que les stocks saisis, à la fin du conflit, permettaient, largement, aux Alliés, d'équiper ces tôlards "teutons", de détecteurs allemands, largement plus performants ! On peut concéder aux Alliés une méconnaissance technique (avérée), dans le développement du matériel de détection des mines, car les compétences réelles des Soviétiques dans le domaine des mines terrestres "indétectables" avaient contraint les allemands à faire le forcing dans leur propre technologies de détections, y compris en tablant, à dater de 1943-1944, sur la détection de du faible signal "radio-actif", les russes (et les allemands, par voie de conséquence, ayant, tous deux , développé des "générations" de mines, dépourvues ou de manière insignifiante (sur le plan détection!) de pièces métalliques!
En ce qui concerne le cliché que j'ai mis en ligne, au post N°2, les démineurs allemands étaient équipés de poêles à frire alliées,, qui, alors, étaient bien incapables de détecter plus que les mines antichars et, encore, pas toutes, car il existait, dès 1944, des "saloperies" de mines quasiment indétectables ! - et n'étaient, évidemment, pas , non plus, conçues pour repérer les mines antipersonnels , la m... puissance 10, que viendra confirmer, durant la Guerre du Viet-Nam, l'emploi des mines antipersonnel "Claymores", plus des trucs similaires à la c... indétectables, utilusés ultérieurement!... Car, là, je viens de me contenter d'évoquer des générations de mines antipersonnels de 80 à 50 ans d'âge!