lebel a écrit:Hola companero
Gracias por tu contribucion , bien detallada , y los vinculos internet incluidos
Merci,
Mais revenons au sujet...
La “Bandera Juana de Arco” en combat«[...] Sur le journal d’ opérations de la 13ª division nationale s’est écrit que« le 12 Décembre 1937, la
"Bandera Juana de Arco" est déplacée de Saragosse à Cosuenda "et le 29 du même mois est signalé qui s’unit avec la
VI Bandera de la Legion, la Bandera Juana de Arco” Mais que ce soit une Bandera (unité type bataillon) ou une compagnie, l'unité française prit part à la bataille de Teruel, agissant le 6 Février 1938 dans une opération en association avec la 21ème Compagnie de la Légion, qui a subi de lourdes pertes. Il s'agit notamment de la mort de
Raul Reul, belge,qui est décédé alors qu'il faisait feu avec une mitrailleuse ,et blessés,
Edouard Schmitlein Gastinel, Marcel Caseau et Jean Harold Paquis.Bataille de Teruel
Image:
http://commons.wikimedia.org/wiki/File: ... Teruel.pngAprès ces combats, l'unité française a été réagroupée à Calatayud (ville près de Saragosse), où elle faisait le numéro 67 parmi les compagines de la Légion, et elle fut rejoit dans la
XVII Bandera de la Legion qui était dans processus de création. Le séjour à l'arrière-garde, a été prise par quelques volontaires pour essayer de faire défection à son pays, particulièrement mécontents par le comportement de leur commandant, le
capitaine Courcier, dont les transfuges
Jean Lacomte et Renout-ce dernier son assistant- ont dénoncé des accusations, et le commandement supérieur a ouvert une enquête sur sa conduite militaire et son comportement moral, et le 4 mars 1938, conformément au rapport du Service de renseignement militaire (plus tard on montra qu'il avait été préparé selon les informations fournies par ses ennemis politiques), la Légion a demandé la dissolution de l'unité et ses composants ont été partagés parmis les autres unités, décidant également résilier le contrat avec
Courcier, accusé d'avoir omis de maintenir la discipline de ses hommes et de n’être pas très efficace en raison de son âge et son manque de préparation militaire.
Le 13 mars l’O.K. du Commandement Géneral arriva, mais le jour 21 on rejeta ladite ordre, tout était préparé pour continuer l’ enquête et vérifier le contenu des allégations et en fin, la supériorité signa un rapport sur le comportement des plaignants. Le 15 avril le commandement de la Bandera confirma que le
capitaine Courcier, au front, de sa compagnie traversa l’Ebre le 2 mars et il s’avait comporté ce jour et la journée suivante avec un grand courage, démontrant un excellent comportement. Tout comme possédant des qualités exceptionnelles, de capacité, de courage et d’'esprit militaire, il a été blessé. Par conséquent, on demanda de lui continuer à appartenir à la Legion.
Medalla de sufrimientos por la patria (blessé)http://commons.wikimedia.org/wiki/File: ... patria.jpgCourcier fut ,de nouveau, blessé le 30 mars sur le front de Lerida, blessure qui a été qualifié si grave, qu’il a reçu la médaille pour
“Sufrimientos por la Patria (Souffrances pour la Patrie). Lors ce temps, l'enquête s'est poursuivie pour juger son comportement, et on vérifia que toutes les accusations étaient fausses, le 25 mars 1939, tout le dossier se déclara sans effet. […]
À suivre, un autre moment.
Traduction et adaptation personnelles de l’article de José Luis de Mesa Gutierrez “La Bandera francesa “Jeanne d’Arc” durante la guerra civil” publié dans le magazine HISTORIA Y VIDA nº 320 novembre 1994.Excusez moi pour mon "pénible" français et à bientôt.Hasta otra.