Forum Le Monde en Guerre

gernika a écrit:zut pour un essai à partir d'envoi par le forum c'est raté

Felipe del Rio a écrit:

Bonjour,

Un peu plus.

Les origines de la police basque actuel ( Ertzaintza) comme force de police basque integrale, peuvent être attribués aux anciennes milices municipaux, très communs dans toute l'Espagne, qui étaient des organisations populaires au service des municipalités, créées pour répondre à la nécessité pour la sécurité publique. Cependant, il a fallu attendre le XIXe siècle et il s'agit de la création des premiers organismes professionnels comme la police. C'était une réponse résolue au banditisme, qui était le résultat des bouleversements politiques et sociaux de la fin du XVIIIème siècle. Le contexte crucial pour configuration s'est produite au cours de la Première Guerre carliste (1833), lorsque les “miqueletes” de Biscaye et Guipuzcoa et le “miñones” d’Alava ont commencé leurs activités.

Pendant la guerre civile espagnole, le gouvernement autonome basque du président José Antonio Aguirre , prit leurs pouvoirs de maintien de la paix sociale et l'ordre public, il dissout les forces de sécurité existantes (guardia de asalto et guardia civil) et il créa une nouvelle organisation appelé la police “Ertzaña” qui,d’abord, était la Police militaire de Euzkadi la “ Ertzaña” Elle a été formée par la “Ertzaña” ordinaire et la “ Ertzaiña Igiletua” ou section motorisée sous le commandamente du conseiller de l'Intérieur du Pays Basque Telesforo Monzon ( Partit Nationaliste Basque) et avait son siège à Bilbao dans le Palace de Ibaigane (il abrite aujourd'hui les bureaux de l'Athletic club de Bilbao de football).
Le mot ertzaina ("Gardien du peuple") a été créé par Esteban Urkiaga "Lauaxeta" célèbre écrivain nationaliste basque qui a été fusillé par les rebelles fascistes pendant la guerre civile espagnole.
Aujourd'hui, ses successeurs sont la police autonome basque, dite la “Ertzaintza”.

Source du texte: Traduction et adaptation personnelles de http://es.wikipedia.org/wiki/Ertzaintza

Excusez-moi pour mon pénible français. Hasta otra.

Felipe del Rio a écrit:Bonjour,

Le palais de "Ibaigane" de nos jours.




Hasta otra.