Page 1 sur 1

1976 - L'affaire Peiper.

Nouveau messagePosté: 02 Oct 2014, 16:19
de pili
J'avais pour ainsi dire 16 ans quand Peiper, ignoble type, fut déclaré décédé. Je l'en souviens très bien. Mais a-t-on des certitudes sur sa fin ? Ou existe-t-il "l'ombre d'un doute" ?

http://fr.wikipedia.org/wiki/Joachim_Peiper

Re: 1976 - L'affaire Peiper.

Nouveau messagePosté: 02 Oct 2014, 17:02
de alfa1965
Moi aussi, je me rappelle dans ma ville un grand tag : Peiper assassin. Pourquoi vivait-il en France ?

Re: 1976 - L'affaire Peiper.

Nouveau messagePosté: 02 Oct 2014, 17:11
de alfa1965
Image
Il me semblait bien que Peiper avait un rapport avec des crimes de guerre en Italie, à Boves dans le Piémont :
25 civils exécutés au titre de représailles

Re: 1976 - L'affaire Peiper.

Nouveau messagePosté: 02 Oct 2014, 17:35
de Prosper Vandenbroucke
Bonjour Alex,
Peiper a été condamné à mort (pour l'affaire du Massacre de Baugnez) lors du procès de Dachau en 1946.
Sa peine fut commuée en détention à perpétuité avant d'être requalifiée à 30 ans de réclusion. (Je cite de mémoire).
Il fut cependant libéré après 10 ans de réclusion. (Prison de Landsberg d'où il fut libéré en 1956)
Il travailla pendant un certain temps en Allemagne, notamment chez Porsche à Frankfurt et chez Volkswagen. Après avoir séjourné peu de temps à Stuttgart 1957-1960 ?), il s'installe en France ( à Traves en Haute Saône).
Son épouse quitte Traves le jour avant que le chalet de Traves ne flambe dans la nuit du 13 au 14 juillet 1976.
Depuis le moment de son décès et encore jusqu'à maintenant un doute subsiste quant à l'identité du corps retrouvé dans les décombres. Bien qu'il y eu, semble-t-il, des certitudes quant à l'identité rien n'a jamais filtré officiellement.
De toute façon, Joachim "Jochen" Peiper allait avoir (ou va avoir) 100 ans le 30 janvier 2015.
Amicalement
Prosper ;)

Re: 1976 - L'affaire Peiper.

Nouveau messagePosté: 05 Oct 2014, 15:26
de teddyboy
dans le n°56 de "2e guerre mondiale" de ce mois, il y a tout un dossier sur le mythe Peiper qui en ressort sérieusement ébranlé (pour ne pas dire plus)