enfer des haies?

La première photo du lien :
http://www.privateline.com/war/personalcom.html

Et la dernière de celui-ci:
http://www.armyradio.com/publish/Articl ... mments.htm


Merci Google !! :wink:

Zgorzelsky.

Merci... enfin, ça parle pas mal de matériels développés opérationnellement dans les années 50, non ?
Donc j'en déduis qu'en 44 c'était pas mal au stage du développement, qu'en penses-tu ? J'ai aussi l'impression que cela a été pas mal utilisé dans le pacifique - références multiples aux Marines dans le texte - or à ce qu'il me semble les marines - pendant la sgm - n'ont opéré que dans le pacifique...
Mais bon, je fais mon tatillon, le principal étant que techniquement le concept était bien connu et fonctionnait et je ne le pensais pas, merci de m'avoir appris cela !

J'ai un doute là, ça existait comme appareil à l'époque ? C'est pas postérieur... je suis ok pour les radio portatives mais dubitatif quant aux talkie...

Je posséde moi même un BC 611 (talkie walki US) de terrain, avec encore le n° de fréquence du poste, et les 2 batterie daté 1943, comme l'appareil. C'est une pièce super sympa mais lourde. Le plus impressionnant, c'est la taille de l'antenne.

Ah ouai,le talkie est pas trop grand mais l'antenne...

En effet la guerre des haies fut terrible, pour plein de raison!
Pendant toute cette p"riode, il a plut sans arrêts jour et nuit, interdisant ainsi l'appui des forces de l'air, les chars, les canon anti-chars s'embourbaient dans les champs, qui était cloturés par des immenses taluts, sur lesquelles poussait une végétation de broussailles.Chaques champs, de quelque tailles que ca soit était cloturé par ces talus et ces haies, formant ainsi un véritable labyrinthe ou les troupes se perdaient.
Dans chaque "cloture", il y'avait une entrer pour les charettes et les agriculteurs, ces entrer était garder par des canons anti-chars allemands, il fallait donc passez par dessus les haies. Seulement les chars montrait ainsi leurs ventre , leurs points faibles.
Le terrain n'était pas donnait l'avantage a la défensive non a l'offensive, position sur laquelle était les américains.
Ceux qui par malheur montait aux arbres pour essayer de ce repérer, était imméiatement abbatue par...un américains!Car la plupart des divisions américaines engagé la dedans n'avait jamais subit l'épreuve du feu, aussi le s hommes trop sur le qui-vive tirait au premier son, au premier déplacement!

Tu vien de faire la définition de Normandie!! :wink:

A priori, par la suite les soldats ont eu recours au bon vieux procédé du mot de passe... Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a jamais eu d'accident malencontreux.

D'ailleur dans le film("le jour le...")un soldat entend du bruit et ce sert alors de son criquet ,il entend la réponse et pense que c'est bon et c'est en fait un allement qui rechargeai son arme;pense tu que cela aurait pus réellement ce passer ,ou alors qui c'est vraiment passer?

Il est couramment dit que tout ce qui est dans le jour le plus long est vrai, cette anecdote est en tout cas assez plausible (si tu fais un comparatif des deux sons, le doute est en tout cas possible...)

D'ailleur dans le film("le jour le...")un soldat entend du bruit et ce sert alors de son criquet ,il entend la réponse et pense que c'est bon et c'est en fait un allement qui rechargeai son arme;pense tu que cela aurait pus réellement ce passer ,ou alors qui c'est vraiment passer?

Je pense aussi que c'est très possible, l'Allemand a entendu le bruit du criquet et à partir de ça, il a chargé son arme, comme le dit Yves, les bruits sont assez semblables, d'où la confusion.

Je pense aussi que c'est très possible, l'Allemand a entendu le bruit du criquet et à partir de ça, il a chargé son arme, comme le dit Yves, les bruits sont assez semblables, d'où la confusion.

Je ne le répéterai surement pas assez mais il y a une erreur dans le film : si vous regardez bien cette sène, le soldat allemand recharge son fusil Mauser (d'où le "clic clac" ) et pourtant tire DEUX fois sur le pauvre para SANS éjecter sa première douille... erreur des services de bruitages hollywoodiens.