26 mars 1944 : l'attaque des maquis de Glières
Première bataille entre la Résistance et les Allemands, l'attaque des Glières a un retentissement considérable
Les forces de Vichy avaient voulu réduire elles-mêmes ce maquis installé depuis janvier 1944 sur le plateau des Glières, en Haute Savoie. Des combattants de l'Armée secrète et des Franc-Tireurs-et-Partisans s'étaient rassemblés autour de cette zone de parachutage d'armes qui devait devenir une base d'opérations essentielle pour le harcèlement des Allemands lors du débarquement.
- L'attaque des Allemands
L'opération Française ayant échoué, les Allemands décident d'intervenir eux-mêmes, avec tout de même l'aide de la Milice de Vichy. Ils préparent une attaque d'envergure, appuyée sur plusieurs milliers d'hommes, l'aviation et l'artillerie. Le rapport de force est disproportionné, les maquisards, qui sont moins de 500, n'ont aucune chance, mais le combat revêt une importance psychologique : il faut combattre pour l'honneur ! Mais sans sacrifier inutilement les hommes : dans la nuit du 26 au 27 mars, la capitaine Anjot décide l'évacuation.
- Un grand retentissement
Abondamment relayée par Radio Londres, la bataille des Glières, pourtant une défaite, devient rapidement une légende : le symbole de la Résistance Française.
Dans les mois suivants, le maquis des Glières est reconstitué et reçoit de nombreux parachutages d'armes. La Haute Savoie sera libérée dès le 19 août, avant même l'arrivée des troupes Alliées.
Première bataille entre la Résistance et les Allemands, l'attaque des Glières a un retentissement considérable
Les forces de Vichy avaient voulu réduire elles-mêmes ce maquis installé depuis janvier 1944 sur le plateau des Glières, en Haute Savoie. Des combattants de l'Armée secrète et des Franc-Tireurs-et-Partisans s'étaient rassemblés autour de cette zone de parachutage d'armes qui devait devenir une base d'opérations essentielle pour le harcèlement des Allemands lors du débarquement.
- L'attaque des Allemands
L'opération Française ayant échoué, les Allemands décident d'intervenir eux-mêmes, avec tout de même l'aide de la Milice de Vichy. Ils préparent une attaque d'envergure, appuyée sur plusieurs milliers d'hommes, l'aviation et l'artillerie. Le rapport de force est disproportionné, les maquisards, qui sont moins de 500, n'ont aucune chance, mais le combat revêt une importance psychologique : il faut combattre pour l'honneur ! Mais sans sacrifier inutilement les hommes : dans la nuit du 26 au 27 mars, la capitaine Anjot décide l'évacuation.
- Un grand retentissement
Abondamment relayée par Radio Londres, la bataille des Glières, pourtant une défaite, devient rapidement une légende : le symbole de la Résistance Française.
Dans les mois suivants, le maquis des Glières est reconstitué et reçoit de nombreux parachutages d'armes. La Haute Savoie sera libérée dès le 19 août, avant même l'arrivée des troupes Alliées.
Ecrit par: webmaster, Le: 13/06/11