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Aldebert
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Hommage aux valeureux Nisei - Chapitre 97

Lien permanentde Aldebert le 25 Sep 2017, 21:52

Naissance du 442ème RTC et du 100ème Bataillon.

Après l’attaque de Pearl Harbour en décembre 1941, les immigrants d’origine Japonaise vivant aux USA sont devenus, pour le gouvernement de ce pays, des ennemis potentiels, un danger pour la sécurité intérieure. En conséquence, applique t-il à leur égard un régime particulier de ségrégation. Qu’ils soient devenus citoyens américains ou non, ils reçoivent l’ordre de quitter le lieu de leur résidence dès le 1er avril 1942 en vertu du décret du 18 février de cette même année (Executive Order 9066) pour être recensés, regroupés et internés. Cet internement est réparti dans dix camps(*) et durera jusqu’à trois années. On compte environ 128 000 personnes d’origine japonaise, vivant aux États-Unis, touchés par cette mesure.
3- Localisation des camp  d'internement aux USA.jpg
3- Localisation des camp d'internement aux USA.jpg (79.3 Ko) Vu 794 fois

(*)Gila River(Colorado), Granada(Colorado), Heart Mountain(Wyoming), Jerome(Arizona), Manzanar(California), Minidoka(California), Poston(Arizona), Rover(Arizona), Topaze(Utah) Tule Lake(California).(NJAHS.1987(**)
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Issus de ces camps d’internement, de nombreux jeunes, sont désireux de servir leur pays d’adoption. Ils réclament le droit d’aller se battre pour le défendre. Des unités sont alors constituées au camp Shelby (Mississipi) à partir du 1er février 1943 avec les volontaires japonais de la seconde génération. Ce sont le 442ème régiment d’infanterie, le 552ème bataillon d’artillerie de campagne, la 232ème compagnie du génie.
Lorsque la guerre éclate, ces unités sont également composées d’Hawaïens mais aussi de soldats d’origine japonaise déjà en service dans l’armée américaine. Ces derniers seront les instructeurs des nouvelles recrues. On compte 33000 Nisei immigrés de la seconde génération qui participeront à la guerre (NJAHS 1991 (**).
(**)National Japanese American Historical Society.

L’ensemble régimentaire infanterie est composé du RCT 442ème et du 100ème Bataillon. Les deux unités ont été constituées et formées, indépendantes l’une de l’autre, à des moments et lieux différents, ils ne partagent pas de lignée commune.
Le 100ème Bataillon d’infanterie est la première unité d’origine japonaise créée au cours de la seconde guerre mondiale. Elle a pris naissance à Hawaï le 5 juin 1942 en tant que Bataillon provisoire d’infanterie. Les soldats incorporés dans ce régiment sont issus de diverses unités de la garde nationale hawaïenne. Le bataillon est transféré en juin 1942 au camp Mc Coy, Wisconsin puis au camp Shelby, Mississipi. Le 11 aout 1943 il est envoyé en Afrique du nord et débarque à Oran-Algérie. Le 22 septembre 1943, c’est à Salerne-Italie qu’il prend pied attaché au 133ème régiment d’infanterie, 34ème division. Le 10 juin 1944, il rejoint le 442ème RCT en Italie et devient le premier des trois bataillons qui composent ce régiment. Le 2 aout 1944 il reprend sa dénomination initiale de 100ème Bataillon pour préserver son histoire et ses traditions.
Le 24 janvier 1944, il est engagé dans la bataille de Monte Cassino où il subit de très lourdes pertes. Il obtient là, pour ses soldats, la réputation de « Petits hommes de fer ». Il est mis au repos, puis dès que les renforts eurent compensés les pertes, il est redéployé le 26 mars 1944 sur la tête de pont d’Anzio.
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En septembre 1944 il est présent sur le théâtre des opérations des Vosges

Combats pour la prise de Bruyères et de Biffontaine

Le 1er septembre 1944 les alliés s’approchent de Bruyères en Vosges, repoussant les forces allemandes, Gestapo, Waffen SS, milice française mêlées.
Pierre Moulin cite dans son livre US Samouraïs en Lorraine « Le Sipo-SD de Lyon, responsable de l’arrestation des chefs de la résistance française en 1943, se trouve au grand complet dans la cité de l’Avison. Werner knab, Klaus Barbie, Harry Stengritt, Krül . Les collaborateurs du PPF de Doriot avec à leur tête, Marcel Bergier, Charles Marandin ». Une centaine de SS français commandée par Müller qui s’est notamment distingué dans le massacre de résistants français dans le Vercors, tous accompagnent cette retraite.

La 36th Division du Texas (141th 143nd Texas), commandée par le major général John Dahlquist, est engagée dans les combats qui se déroulent pour prendre Bruyères, qui reçoit pour le prix de sa libération un déluge de 35 000 obus. Le 442nd RCT (Regimental Combat Team) Nisei, y sera rattaché ainsi que le 100th battalion.

Les hommes du 442nd RCT engagés dans les combats pour la libération de Bruyères tous d’origine japonaise, sont en général de petite taille et trouvent quelques difficultés à s’équiper avec des vêtements standards US, qui ne sont pas à leur mesure. Ce problème est un bien mince détail par rapport aux combats meurtriers au cours desquels ils seront engagés par la suite et qu’ils livreront toujours héroïquement ne faiblissant jamais. Ils ont été acheminés sur le front en renfort, une partie en train, l’autre en camion remontant la vallée du Rhône.

Sont engagés également dans cette offensive, le 179th RI de la 45th DI, une compagnie du 636th, Bataillon antichars, une compagnie du 83rd, bataillon de mortiers de 120, un escadron de chars du 752nd. Quelques éléments du 36th groupe de reconnaissance et la 88th compagnie sanitaire, le 111th Génie, le 552nd artillerie de campagne.


Les troupes US progressent s’acheminant souvent guidées par un FFI enfant du pays. Le groupe FFI du secteur fournit en permanence des informations au PC US sur les positions des troupes allemandes et leur nombre. Certaines de ces informations communiquées seront déclarées par Pierre Moulin dans son livre « d’une utilité stratégique vitale pour les jours à venir ».
Les guides FFI qui les accompagnent sont: Pour le 100th battalion, André Villaumé, Jean Drahon et Marcel Bello. Pour le 2nd bataillon du 442th, André Ferry et Henri Mougeolle, et pour le 3rd battalion, Paul Charpin et Louis Thuron.

Après 10 jours de rudes combats, le 442nd RCT entre dans Bruyères le 18 octobre 1944. La ville n’est pas immédiatement totalement libérée, l’ennemi résiste. A minuit c’est chose faite, le dernier point de résistance de la place Stanislas tombe.
L’Avison, une hauteur qui domine Bruyères, reste à prendre, il le sera le 19 octobre à midi. Des tentatives de l’ennemi pour le reprendre se manifestent par des infiltrations et des attaques mettant en insécurité deux bataillons du génie. Le Pointhaie est ensuite dégagé après une offensive de trois compagnies du 100th. Les poches de résistance allemandes qui subsistaient sont provisoirement gelées en attente du résultat de cette offensive, elles seront plus tard anéanties.

C’est le 100th qui passe à l’attaque pour la conquête de Biffontaine.
Il occupe ce village après de violents combats mais se retrouve soudainement isolé. Les Allemands lancent de furieuses contre-attaques que le 100th a peine à repousser. Les Allemands demandent à plusieurs reprises qu’il se rende, la réponse est à chaque fois négative.
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Le 24 octobre, Le 442nd RTC, le 143rd et 141th du Texas viennent à la rescousse.
Le 1er bataillon du 141nd Texas qui a pour guide deux FFI, de la région se dirige, en direction du sud-est avec des cartes d’état major insuffisamment précises, en bordure d’une chaîne très boisée, escarpée, allant de Biffontaine, jusqu’au dessus d’une vallée située entre Gérardmer et Saint Dié. Il ne rencontre aucune résistance lors de sa progression au cœur même des lignes ennemies et pense avoir atteint très rapidement son objectif au milieu de l’après midi. Il a laissé loin derrière lui le soutien des chars. Il s’est en fait égaré.
Le 24 octobre les Allemands entreprennent alors une très furieuse attaque en tenailles isolant une partie du premier bataillon qui est alors coupé du reste des autres unités. Sur un effectif de 6000 Allemands, troupes fraîches venues en renfort 700 participent à l’encerclement des Texans. Ces derniers repoussent de nombreuses attaques allemandes mais se retrouvent très rapidement à court de vivres et de munitions, de médicaments, bloqués qu’ils étaient sur une crête, très exposés. Ils s’enterrent dans de profonds trous individuels, leur seul espoir de survie, qu’ils recouvrent tant que faire se peut de rondins débités la nuit venue, utilisant leur poignard, dans le plus grand silence. Les snippers allemands sont attentifs au moindre bruit qui pourrait localiser les GIs. Les deux tentatives, exercées par les autres bataillons pour les dégager de cet encerclement ont échoué. Cette situation fait grand bruit dans les plus hautes sphères du gouvernement américain. Il faut à tout prix sauver ce bataillon. Ses soldats sont les héritiers du légendaire régiment des USA, celui d’Alamo, constitué le 18 février 1823, lors de la révolution du Texas. « IL faut le dégager sinon gare ! » menace le Congrès. Le Président Franklin D. Roosevelt est tenu informé des combats. Il est en pleine campagne électorale. Cette unité du 141ème Texas ne doit pas être anéantie sans que tout soit tenté pour la secourir.
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Combats pour le sauvetage du Bataillon perdu.

Les hommes du 100th et du 442nd RCT ont été choisis et seront engagés pour cette périlleuse mission, sauver The Lost Batallion. Ils sont fatigués, ils devaient être mis au repos après la prise de Biffontaine. Mais qu’importe, les braves et courageux « Petits hommes de fer » progressent dans la boue, le froid et l’humidité, gagnant leur avance mètre par mètre, progressant d’arbre en arbre, sur un terrain souvent miné, dans un épais brouillard. Les Allemands ont construit de nombreux barrages de route fortifiés, qu’ils défendent avec acharnement. Chaque barrage gagné est un acte supplémentaire d’héroïsme de la part de ces petits hommes qui n’hésitent pas à le prendre d’assaut. Les pertes sont énormes parmi leurs rangs, les compagnies fondent comme neige au soleil devant le feu ennemi et les obus qui explosent dans les branches des sapins, projetant d’innombrables éclats de bois décimant des unités. Les hommes du 111th Génie suivent cette lente progression, ils payent eux aussi un lourd tribut. Ils détruisent les barrages à peine conquis, ouvrent et consolident la voie. Ils sont soumis à des tirs d’artillerie continuels de l’ennemi. Les véhicules d’approvisionnement et les blindés accompagnent avec beaucoup de difficultés cette lente progression sur des chemins défoncés ravinés par une pluie incessante.
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Les assiégés ont peine à croire à leur libération prochaine mais conservent le moral. Ils ont mis en commun tout ce dont ils disposaient pour une répartition équitable, vivres, cigarettes, munitions. Pour chaque attaque de l’ennemi la riposte en dépense de munitions doit être mesurée, il faut tirer au coup par coup. Le ravitaillement en eau est possible dans une rétention qui demeure très exposée le jour mais qui est aussi utilisée par l’ennemi. Pansements et médicaments manquent cruellement. Le 29 octobre trois avions parachutent des vivres aux assiégés, beaucoup tomberont dans les lignes allemandes.

Au 5ème jour de l’encerclement les hommes du 442nd ne sont plus qu’à 900 mètres des 270 Texans survivants encerclés du 1er Bataillon. Le col des Huttes est la dernière position tenue par les Allemands avant de réaliser la jonction.

Au matin du 6ème jour d’encerclement, après un redoutable tir d’artillerie, les Allemands lancent une attaque qu’ils pensent être la dernière, celle qui réduira le camp des assiégés. Celle qui fournira à Goebbels l’opportunité d’utiliser cette victoire pour alimenter sa propagande car il y croyait. Mal leur en a pris, ils attaquent le point où justement est concentrée la majorité des armes lourdes des Texans qui tirent sur les assaillants au coup par coup certes mais à coups sûrs. Au cours de la bataille les Texans récupèrent sur les soldats allemands morts, les armes et munitions afin d’appuyer encore mieux leur défense. Une fois encore l’attaque est repoussée.

Les courageux petits hommes montent alors à l’assaut au cri de Banzaï. Après un terrible corps à corps à la baïonnette, ils assurent enfin la jonction tant attendue. 25 seulement redescendront de la colline du Trapin des Saules, sur les 290 qu’ils étaient avant cet ultime assaut. 25 est le nombre de Nisei valides sur 800 hommes des compagnies I et K, partis sauver 270 hommes du Lost Battalion. La compagnie B du 100th a aussi subi de très lourdes pertes.

Malgré ces pertes importantes et l’épuisement des hommes, le 442nd demeurera sur place pendant encore 9 jours pour sécuriser le terrain conquis, ordre du Général Dahlquist. Quand il aura été relevé, il aura perdu plus de la moitié de ses effectifs.

Ce régiment, composé de soldats considérés au début de la guerre comme des descendants d’étrangers potentiellement hostiles pour les USA, finira la guerre comme l’unité la plus décorée de l’armée américaine avec 18 000 citations pour conduite héroïque.
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Après la guerre de nombreux soldats du 442nd conserveront un amer souvenir du Général Dahlquist. Ils ne comprendront pas que pour sauver l’effectif d’à peine un bataillon, il aura fallu décimer une partie d’un régiment.
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NB : La plaque de bronze fixée à l’endroit du Mémorial érigé à la mémoire des courageux Nisei, indique que l’encerclement d’une partie du 1er Bataillon du 141ème Texas a duré quatre jours. Or après avoir mené une enquête auprès du JACL(*) Californie qui m’a dirigé vers leur correspondant local, Gerome Villain, il apparait que cette information est effectivement erronée. En réalité l’encerclement s’est bien déroulé sur six jours comme il est dit dans ce texte.

(*)JACL : Ligue des Citoyens Japonais Américains

Voici le témoignage que m’a transmis Monsieur Gerome Villain :
En effet, les texans sont restés encerclés pendant plus de 4 jours....... le 141st quitta le secteur de Belmont sur Buttant le 23 octobre 1944 vers 12h00, avec pour objectif les hauteurs de Vanémont, à environ 7 km de leur assembly area. En fin d'après midi du 23 octobre, ils rencontrèrent une poche de résistance allemande, au lieu dit, " La Louvière" (hauteurs de Biffontaine) ce qui les obligea à rester sur leur position pour la nuit du 23 au 24 octobre. Au petit matin du 24, ils reprirent leur route en direction de leur objectif. Ils ne rencontrèrent que très peu de résistance mais arrivant sur leur objectif, la résistance allemande s'amplifia ....... nous sommes le 24 octobre. Les ordres sont alors de faire demi-tour, mais entre temps, les allemands avaient intelligemment fermés tous les carrefours avec des road blocs. Tous, bien sur, minés et défendus avec des MG42. Tout retour en arrière est donc impossible...... ils resteront au Trapin des Saules du 24 octobre au 31 octobre ; cependant, le 100th bn et le 3rd bn du 442 arrivèrent au Trapin des saules le 30 octobre vers 16h. Mais la nuit arrivant et le nombre de texans blessés empêchèrent toute évacuation....

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F 6 - Point de départ qui mène à la colline du Trapin des Saules,.JPG (186.58 Ko) Vu 714 fois


Oui, le chemin est long, par contre bien entretenu. En juin 2016 ils nous a fallu environ une heure pour atteindre , le Trapin des Saules à partir de Bruyères, en marchant à l'allure du promeneur.


Albert René Gilmet


Film : la Neige tombait sur les cèdres…..

Un film américain de Scott Hicks « La neige tombait sur les cèdres » adapté du roman de David Guterson évoque le douloureux moment de l’internement des Nippo-Américains après l’agression japonaise de Pearl Harbour.

Alors qu’elle vivait paisiblement dans l’ile de San Piedro, Pacifique nord, le film relate les moments difficiles vécus par la communauté Nippo-Américaine lors de sa déportation pour toute la durée de la guerre, vers le camp de Manzanar, Californie.

Le film n’obtint pas un réel succès et c’est un grand dommage. Peut-être demande t’il, avant d’être vu, d’être informé de la cause de cette déportation. En effet dans ce film elle n'est pas, à mon sens, révélée suffisamment claire, elle demeure trop entendue.
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RE: Hommage aux valeureux Nisei - Chapitre 97

Lien permanentde Aldebert le 26 Sep 2017, 10:49

Trapin des Saules.JPG
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