Le 13 février 1951, s'ouvre devant le tribunal militaire de Marseille, le procès du massacre de Valréas. Parmi les accusés au nombre desquels figurent Schwinn, Sohn et Henrich, Demetrio est seul à comparaître.

Face à ses juges, l'accusé s'en tient à ses déclarations au cours de l'instruction. Il n'est en rien impliqué dans l'exécution, clame-t-il, avant de revenir sur ses faits et gestes à Valréas le 12 juin 1944. Vers 13 heures explique-t-il, son groupe et lui ont été pris à parti par des maquisards alors qu'ils s'apprêtaient à attaquer. A l'issue d'un bref engagement, ils ont capturé 10 à 12 hommes, qu'ils ont emmenés à Valréas et remis à un officier.

Demetrio s'est rendu à l'hôtel de ville sur ordre du capitaine Träger. « Je me suis installé à la mairie, déclare-t-il, et ai reçu une quinzaine de personnes, certaines pour faire des dénonciations.

D'après Demetrio il a entendu des premiers coups de feu alors qu'il se trouvait à la mairie... , de ce fait il ne se trouvait pas sur le l...

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41eme groupe colonial force terrestre anti-aerienne ;gcacdca maroc : groupe colonial artillerie cote defence contre avion du maroc


bonjour ,je posséde divers document et quelques photos et cherche toutes infos ,insignes etc de la dca au maroc 1941 a 1945 ,
question : je ne retrouve aucune trace la 183 eme batterie autonome fta maroc en 1941 un insigne existe ?. et casi rien sur le 25 gc fta , un insigne existe ?








je compte constituer un manequin merci d'avance

"La chance et l'incertitude sont les éléments les plus courants
et les plus importants de la guerre."

Carl VON CLAUSEWITZ
"De la guerre", 1832

Dimanche 4 avril 1943 : À bien regarder, il conviendrait plutôt de parler de la Ville de Paris. Mais il s'agit du
bombardement de l'hippodrome de Longchamp. Un dimanche après-midi ensoleillé propice aux promenades
des Boulonnais. La décision des Alliés de condamner la collaboration industrielle des Usines Renault au
bénéfice de l'Allemagne nazie s'est traduite par un nouveau raid, venant compléter celui du 3 mars 1942.
Mais cette fois-ci, il s'est agit de l'aviation américaine. Bien que protégée et guidée par les chasseurs de
la RAF, le largage en plus haute altitude s'est traduit par un manque flagrant de précision. Toujours aidés
par le tracé de la Seine, les appareils ont débuté leur travail assez tôt pour être opérants. Le bilan à cet
endroit est lourd, 300 morts et 900 blessés...la poursuite de l'itinéraire meurtrier fut plus restreint qu'en
1942, on déplora cependant une centaine de victimes à l'approche des Usines Renault, notamment a la
station de Métro "Pont de Sèvres"...

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François Angelier élogieux à propos du Château des millions d'années dans le journal Le Monde du 20 mars 2015 (supplément littérature spécial Salon du Livre de Paris).