Ag10 - Dans un verger près de la rue de Dalhem à Visé ( coordonnées approximatives : 50°43'32.1"N 5°42'14.1"E )

Etat : n/a.
Accessibilité : Correcte.
Visitable : n/a.

Ag10 était le dernier abri la tête de pont d'Argenteau. Il a été détruit. Il était situé dans un actuel verger, à quelques 200 mètres de Vi1.
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"Les prisonniers de guerre sont aux mains de la puissance ennemie,
mais non aux mains des individus ou des corps de troupe qui les ont capturés.

Ils doivent être traités, en tout temps, avec humanité
et être protégés notamment contre les actes de violence,
les insultes et la curiosité publique.

Les mesures de représaillesn à leur égard sont interdites."

Convention de Genève relative au traitement des prisonniers de guerre.
1929

Jacques Auguste COLIN - NOUVELLE

Saint Valentin n’y fut pour rien..!

Aux temps de mon histoire, on ne parlait pas de la Saint Valentin…Seuls les
vieux curés en soutane et barrette noires, invoquaient parfois ce saint le 14 février,
parmi la quinzaine de martyrs cités dans le calendrier romain, lors de la messe basse
de six heures, devant quelques vieilles pécheresses chapeautées, elles aussi de noir
vêtues…
Quelques vieux « oiseleux » gardiens des grandes forêts d’Artois savaient qu’à
ce temps de l’hiver, les jolis pinsons des arbres se mettaient à arborer leur nouveau
plumage coloré pour séduire une des rares oiselles de leur secteur jalousement
gardé…
On était pourtant dans une période joyeuse et festive, propice aux amours
nouvelles, trois ans après la fin de la grande boucherie de 14-18...
……………………………………….........
Le printemps s’annonçait radieux et Marthe Louise s’engagea sur le quai du
Commerce pour rejoindre le bureau de l’Intendance où, depuis u...

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Un témoignage sur la guerre 14/18. Dans le village de Nivolas-Vermelle (38300) était installé un hopital de campagne à coté de la poste.La carte est adressée de Ste Anne (sur Gervonde situéé
à quelques kilométres) mais la carte porte les cachets de la poste de Nivolas et de l'H.M. de campagne.

Décidément ! Je ne devais pas encore classer cette affaire.
La tempête ayant enfin pris fin en France, je rangeais déjà les mauvais moments vécus
dans mon livre de souvenirs... Lorsque l'auteur de la liste de départs en Allemagne me
rencontra un jour, en dehors de l'Usine, pour --tenez-vous bien-- implorer mon pardon
avec insistance (sic). Je n'ai pas souvenance des propos que je lui ai réservés, mais ils ne
furent certainement pas ceux qu'il espérait entendre. Je lui ai fait comprendre que lui
seul était responsable de s'être engagé dans cette entreprise traîtresse et qu'il méritait
d'être traduit en Justice, au même titre que les nombreux "COLLABOS".
J'ignore le sort qui lui a été réservé. Je ne me souviens même plus de son nom...
Chers Amis, cet Article termine la revue des évènements qui ont le plus marqué ma vie
civile ou professionnelle tout au long des quatre années de l'Occupation. Si certains faits
réapparaissaient dans ma mémoire, je vous promets de vous les glisser...

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