Soldats Allemand devant wagon camouflé Septembre 1938

Bonjour à toi,

On peut penser dans un premier temps, à un tableau d'art abstrait. Quel talent, à mon humble avis, pour le photographe de rendre un double très concret de la séparation: les deux vopos de faction dans le petit mirador qui semble en suspension au-dessus du mur. A gauche le zébrage de la barrière ce transforme en pointillés vers nul part...et les rails du tramway interrompus par les blocs de béton décrépis : la destination est impossible.
Photo: R. Häusser
Patrick

bonjour,
je souhaiterais avoir des renseignements, des photos sur mon grand père matricule 1877. Pour l'instant j ai peut de chose:
- une citation a l'ordre 17 juin 1940 dessus il est écris qu'il était sous le chef d'escadron Adol
le motif de la citation : agent de liaison plein de courage et de sang froid. a assuré du 12 mai au 16 juin 1940 la liaison avec les éléments au contact notamment les 6 et 7 juin 1940 sous de violent bombardement .
A cette époque il s'appel Julien Bourbon
j'ai un deuxième document de la fédération national des déportés du travail, il a reçu de l'ordre fédéral du mérite la médaille de bronze en 1975 . Sur ce diplôme il s'appelle Camille Bourbon .

Dans mes souvenirs, je me rappelle qu'il m' avait raconté qu'il conduisait une moto pendant la guerre, et qu'il l'a restitué a son propriétaire à la fin de la guerre.
je me rappelle aussi que ma grand mère l'appelait Baptiste, je crois, car il a eu 3 prénoms.

je me pose alors plusieurs question le concernant:...

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Olivier PIGOREAU
Sanglante randonnée - Les Français de la division « Brandebourg » et des formations de chasse SS
Paris, 2013, Histoire & Collections - 357 p., cartes et illustrations, sources et bibliographie - 22 € - ISBN : 978-2-35250-266-1

lundi 20 mai 2013, par Guillaume Lévêque

Spécialiste des Français passés au service du nazisme, le journaliste Olivier Pigoreau explore avec ce nouveau livre une page méconnue de la Collaboration militaire. En s’appuyant sur un important travail de dépouillement de sources, mené notamment dans les fonds de la justice civile et militaire, il retrace le parcours d’un noyau d’environ 250 renégats français qui endossèrent l’uniforme allemand de la division d’élite Brandebourg. Contrairement à leurs homologues de la LVF et des SS français, ils présentent la triste originalité d’avoir été employés contre leurs propres compatriotes sur le territoire national. Ils constituèrent une compagnie qui sévit principalement contre la Résistance de la mi-1943 jus...

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Autre débilité du grand âge: confondre Auguste et Olivier...!
"c'est pas rigolo....savez vous?...'